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22 Mai 2025 : Véritable « Success Story » pour le Toyota RAV4. Avec la Corolla, le RAV4 fait partie des piliers de la gamme en Europe. C’est lui qui a lancé la mode des SUV. En 1994, il se présentait comme un petit SUV urbain avec ses 3.71m. Il a réussi à intéresser une large clientèle, mais avait également la réputation, d’être très fiable. Au fil des années, il s’est transformé en vraie familiale. En 2025, le constructeur nippon présente cette sixième génération, qui repose toujours sur la plate-forme TNGA GA-K. Résultat, il n’a pas pris un centimètre en longueur, avec ses 4.60m. Son style est toujours aussi anguleux. C’est ce qui fait toute son originalité. La face avant évolue dans les grandes largeurs, avec une signature lumineuse inspirée du bZ4X, son pendant électrique. La calandre est plus discrète, mais il faut savoir qu’elle sera différente selon la finition choisie. De profil, les ailes arrière sont très marquées, et les passages de roue sont toujours aussi carrés. La poupe arbore elle, un éclairage plus moderne, sur fond noir, avec l’inscription RAV4, en son centre. La finition GR Sport, proposera un design un peu plus agressif, avec une calandre et des jantes spécifiques. Les réglages châssis seront plus fermes. Dans l’habitacle, c’est du sérieux, avec une planche de bord anguleuse, une instrumentation numérique de 12.3 pouces sans casquette pour le conducteur, un écran central tactile de 12.9 pouces, et quelques touches physiques, qui profitera à l’ergonomie. Le système multimédia a été amélioré, grâce à un nouveau logiciel développé en interne, et de nouvelles fonctionnalités concernant les aides à la conduite. Pas mal d’améliorations côté mécanique, avec un 4 cylindres hybride et hybride rechargeable, qui s’adapte aux nouvelles normes. Ce Toyota RAV4 sera disponible en version Hybride 2WD de 183ch, Hybride 4WD de 191ch, Hybride rechargeable 2WD de 268ch, et Hybride Rechargeable 4WD de 304ch. Concernant les modèles rechargeables, on a droit à une batterie plus volumineuse, d’une capacité de 22.68kWh, qui permet de rouler en mode électrique, pendant une centaine de kilomètres. Elle encaisse une charge de 11kW en courant alternatif, et de 50kW en courant continu. Les fans du modèle devront être patients, avec un véhicule qui sera disponible en Europe, uniquement au deuxième trimestre 2026.


21 Mai 2025 : Il est dur de faire renaître une marque automobile, surtout, quand elle est aussi prestigieuse. La firme « De Tomaso » a été fondée en 1959, par un Argentin, installé en Italie. Ca nous rappelle un peu l’histoire de Pagani. S’il y a bien un modèle qui a marqué l’histoire du petit constructeur, c’est la fameuse Pantera, qui a été commercialisée de 1970 à 1995. La société a fait faillite en 2004, puis en 2012, avant d’être racheté pour une bouchée de pain, par un consortium chinois, en 2019. Bref, elle est maintenant entre de bonnes mains. Les nouveaux dirigeants ont pris leur temps, afin d’annoncer le lancement d’un nouveau modèle. La De Tomaso P72 a demandé six ans de gestation. Après le concept de 2019, on peut enfin découvrir la version de série et la fiche technique qui va avec. Le style rappelle les monstres de compétition des années 70, avec un design tout en courbe. Elle s’inspire également de la De Tomaso P70, qui a été produite qu’à un seul exemplaire, en 1965, et qui était le fruit d’une collaboration, entre Alejandro De Tomaso et Caroll Shelby. Le châssis est en fibre de carbone, tout comme la carrosserie. La teinte, blanche et or rose, est à craquer. L’habitacle reprend les mêmes couleurs. Métal sculpté, carbone apparent, tringlerie de boîte bien visible, ça claque énormément. Sous le capot, cette De Tomaso P72 fera appel à un bon vieux V8 américain, comme la Pantera à son époque. Il s’agit du V8 5.0L Ford Coyote, qui profitera d’une cure de vitamines. Grâce à un compresseur plus volumineux, la puissance atteint 700ch, pour un couple de 818nm. On a affaire à une propulsion, avec boîte manuelle à 6 rapports. La suspension est réglable manuellement. Les chronos, on s’en moque chez De Tomaso. C’est bien assez performant, le 0 à 100km/h sera rapidement expédié, et la vitesse maxi n’était pas une priorité. Le tarif, inutile de demander pour un véhicule totalement personnalisable, et qui sera produit à 72 exemplaires. Oubliez également les écrans tactiles ou un quelconque système audio, De Tomaso vous demande de vous concentrer sur la conduite, et le chant du V8.      


20 Mai 2025 : La toute nouvelle Renault 4, commence à peine sa carrière. Ce petit SUV 100% électrique, est fidèle aux codes stylistiques du modèle originel. Il est plutôt sympa à regarder, ses prestations ont l’air satisfaisantes pour la catégorie, mais la philosophie a drastiquement changé. Il ne s’agit plus d’un petit véhicule fonctionnel, peu cher, et ultra-pratique. Renault mise sur ce look vintage, afin de capter une clientèle, beaucoup plus huppée. Bref, vu son tarif de base, à plus de 30 000€, on ne risque pas de la croiser à tous les coins de rue. Afin de parfaire la gamme, la marque au losange réfléchit à une version 4 roues motrices, et vient donc de présenter un concept, dont le modèle de série, pourrait débarquer en 2027. Ce Renault 4 Savane 4x4 Concept, se dote d’un bloc électrique supplémentaire sur le train arrière. La plate-forme Ampr Small accepte donc cette motorisation supplémentaire. La transmission intégrale est gérée électroniquement entre le train avant et arrière. La puissance pourrait atteindre 210ch, et la garde au sol passerait de 18cm à 19.6cm. Ce concept est équipé d’une monte pneumatique Goodyear en 225/55R18. Teinte de carrosserie vert Jade, bas de caisse noir laqué, insert type jerricane sur les boucliers, jantes pleines assombries, et un toit en tissu noir et gris, son look ne laisse pas indifférent. Renault personnalise également l’habitacle, avec une sellerie spécifique, une planche de bord et des contre-portes marron, et des inscriptions « 4 Savane ». Encore une fois, si ce modèle arrive en concession, il ne faudra certainement pas espérer, des tarifs low-cost.


19 Mai 2025 : La Jaguar Type E, qui a fait sa première apparition, au Salon de Genève de 1961, est encore considérée aujourd’hui, comme une des plus belles voitures au monde, si ce n’est la plus belle. Quand une société nous présente un restomod, on peut donc s’attendre au pire. Pas cette fois-ci, puisque cette version modernisée, provient du studio de design de Ian Callum. Le célèbre designer Britannique a longtemps collaboré avec Ford, Aston-Martin et Jaguar, avant de prendre son indépendance. Cette Jaguar Type E Restomod, reste fidèle à sa ligne d’origine, qui a été totalement lissée pour l’occasion. Son long capot avant, ses ailes arrière très galbées, sa double sortie d’échappement qui remonte sur le bouclier, tous les codes sont respectés. La caisse semble rabaissée, les feux sont à LED, et les jantes sont à la fois, originales et bien dimensionnées. Dans l’habitacle, on fait face à deux compteurs analogiques. Pas d’écran tactile qui pourrait polluer le champ visuel, Ian Callum a opté pour quatre mini-écrans numériques, qui intègrent entre autres, la navigation et le système audio. Les commandes type basculeur, le grand levier de vitesse, le frein à main traditionnel, et le grand volant en bois, tout respire la nostalgie. Si on considère les sorties d’échappement, on se doute, que ce véhicule ne sera pas électrique, mais on n’en sera pas plus pour le moment.


18 Mai 2025 : Etrange exercice de style de la part de Ford, avec cette Capri, qui met à l’honneur, l’ambassadeur de la marque, un certain Eric Cantona. Le footballeur français est une véritable légende en Angleterre. L’ancien joueur de Manchester United, a marqué les esprits par son talent, mais également par son caractère. On se rappelle, de ce coup de pied mémorable à un spectateur, qui a eu la mauvaise idée de l’insulter. Ce coup de pied, on le retrouve par exemple sur les appuis-tête des sièges avant. On retrouve sur le tunnel central, une phrase prononcée par Cantona, lors du lancement de cette Capri. L’habitacle est personnalisé, avec une couleur orange, sur le volant, les tapis de sol ou les sièges. Justement, cette teinte Signal orange, provient de la Capri Mk III des années 70 et 80. Elle recouvre la carrosserie, et on remarque quelques spécificités, comme la petite couronne sur le montant arrière, le numéro 7 au niveau des bas de caisse et la signature du champion, sur l’aile avant. Deux bandes noires habillent le capot. Etrangement, Ford ne commercialisera pas ce modèle, qui restera un exemplaire unique. Cette Ford Capri « King Eric », est équipée du bloc électrique de 286ch, positionné sur le train arrière. Il est alimenté par une batterie de 77kWh, permettant une autonomie de 627km.


17 Mai 2025 : Xpeng lançait en 2020, sa grande berline électrique P7 (dernière photo). Ce modèle chinois s’est écoulé à près de 200 000 exemplaires. Certains pays européens, comme la Belgique par exemple, ont pu disposer de quelques modèles. La puissance variait de 263 à 467ch, et l’autonomie était comprise entre 480 et 700km, selon le cycle CLTC. La Xpeng P7 se renouvellera en 2026, et le modèle de série fera son apparition, au dernier trimestre 2025. Comme pour la première génération, la nouvelle mouture sera dessinée par le designer français, Rafik Ferrag. Ce véhicule monte très clairement en gamme, avec une longueur qui frôle les 5 mètres, et une ligne aussi fluide que majestueuse. De grandes surfaces lisses, une ligne fuyante au niveau de la poupe, et une signature lumineuse qui épouse les angles du véhicule, le constructeur chinois veut un style fort pour cette nouvelle P7. Le dessin des jantes, en X, évoque bien sûr, le logo de la marque. La P7 reposera sur une nouvelle plate-forme dénommée « Kunpeng », avec une architecture 800V. La nouvelle génération de batterie, ultra-rapide 5C, serait capable d’encaisser une puissance de charge, permettant de récupérer un maximum d’énergie en moins d’un quart d’heure. Xpeng compte également proposer, un modèle hybride rechargeable, pouvant parcourir 1400km. Xpeng développe son nouveau système d’exploitation Xmart OS 2.0, avec affichage tête-haute à réalité augmentée, et un système de caméra à 360°, pouvant analyser l’environnement dans lequel évolue le véhicule. La marque promet une conduite semi-autonome de niveau 3.


15 Mai 2025 : Est-ce vraiment une surprise ? Toyota nous présente son bZ4X Touring, qui se présente tout simplement, comme une version break de son SUV, bZ4X. Mais on sait qu’il y a quelques jours, Subaru avait présenté son faux jumeau, le Trailseeker, partageant la même base technique que le Solterra et bZ4X. On croyait que c’est seulement Subaru qui jouerait la carte de l’originalité. Pas du tout, Toyota doit lui aussi, élargir sa gamme de véhicules électriques. Ce Toyota bZ4X Touring, reprend en grande partie, le style de son SUV de frère, à l’avant. C’est évidemment au niveau de la partie arrière, qu’il est transfiguré, avec un véhicule qui s’allonge de 14cm, comme le Subaru Trailseeker. Avec ses 4.83m de long, la capacité de chargement passe de 452 à 600 litres. Il s’équipe de barre de toit, pouvant accueillir une charge de 70kg. Pour ceux qui ne supportent pas la mode des SUV, ce break surélevé est un choix plutôt judicieux. En version simple traction, on disposera d’un bloc électrique de 224ch sur le train avant, associé à la nouvelle batterie de 74.7kWh. Elle encaisse une charge de 150kW, et elle est garantie 10 ans ou 1 million de kilomètres, avec un contrôle annuel obligatoire. Elle permet de parcourir 560km. Mais Toyota propose aussi, une version 4 roues motrices, avec une double motorisation électrique de 380ch. Le véhicule peut alors remorquer jusqu’à 1500kg. 


15 Mai 2025 : L’heure du facelift a sonné pour la DS 4. D’ailleurs, ne l’appelez plus DS 4, mais plutôt, DS N°4. Ce nouveau nom s’inspire comme sa grande sœur N°8, du monde de la parfumerie de luxe. La berline compacte profite d’une face avant d’un nouveau genre. Le bloc phare principal n’évolue pas, mais la calandre est redessinée, avec un bandeau noir laqué en partie haute, et un nouveau maillage. Les feux de jour, débutant aux extrémités du bouclier, se prolongent à présent sur cette calandre. A l’arrière, pas de changement notable, à part l’inscription DS Automobile N°4, qui envahit le hayon. Dans l’habitacle, il faut savoir que cette DS N°4, est une véritable référence en termes de finition. Les matériaux sont toujours aussi cossus, et toutes les selleries sont qualitatives. L’écran central tactile de 10 pouces, profite de l’interface « DS Iris System », légèrement améliorée. Le petit écran « DS Smart Touch » situé sur le tunnel central, près du boîtier de vitesse, a disparu. DS a jugé qu’il n’apportait rien côté ergonomie. Il laisse place à un petit support. L’instrumentation numérique pour le conducteur passe elle, de 7 à 10.25 pouces, avec un graphisme particulièrement travaillé. Sous le capot, on a droit au nouveau bloc 1.2 Turbo Mild-Hybrid 48V de 145ch. Bonne nouvelle, les gros rouleurs pourront toujours profiter du bloc diesel BlueHDi de 130ch, qui a tendance à disparaître de la gamme de certains modèles, du groupe Stellantis. Le bloc hybride rechargeable de 225ch, profite de quelques modifications, avec un moteur électrique plus puissant, la nouvelle boîte eDSC7, et une batterie plus grosse passant de 10 à 14.6kWh, permettant une autonomie de 80km en mode électrique. Mais la grosse nouveauté pour cette DS N°4, c’est enfin l’arrivée d’une version 100% électrique, comptant un moteur de 213ch et une batterie de 61kWh brut (58.3kWh net). DS annonce une autonomie très respectable de 450km, et une puissance de charge de 120kW, permettant de passer de 20 à 80% de capacité, en moins de 30mn. Bref, la gamme s’élargit et le look évolue, pour cette berline qui représente, on le rappelle, un tiers des ventes de DS Automobiles.    


14 Mai 2025 : Tout va très vite chez BYD. Le constructeur chinois adore maîtriser toute la chaîne de production de ses véhicules, jusqu’à la livraison de ces derniers. On le sait déjà, BYD possède des mines de lithium, notamment au Chili, ou au Brésil. BYD est également le deuxième plus gros fabricant de batterie au monde, derrière, l’autre géant chinois, CATL. Mais BYD est également le plus grand fabricant de véhicules électrifiés. D’ailleurs, sa production est passée de 3.02 millions d’unités en 2023, à plus de 4.2 millions d’unités en 2024. Pour le moment, 90% des ventes concernent la Chine, mais BYD veut améliorer son taux d’exportation. D’ici 2030, les dirigeants veulent vendre 50% de leur production totale, à l’étranger. Cela concerne bien évidemment l’Europe, mais également les pays émergents d’Amérique du Sud. Bref, le constructeur semble avoir une belle marge de progression. Pour parfaire tout ça, BYD souhaite réduire ses frais de transport. Son premier navire, BYD Explorer N°1, a pris la mer l’année dernière, et a vite été rejoint par deux autres (BYD Changzhou et BYD Hefei), en cours d’année. Ce n’est pas terminé, puisqu’un quatrième membre débarque en 2025. Si les trois premiers, d’une longueur de 200 mètres de long, peuvent embarquer 7000 voitures, le tout nouveau bébé, baptisé BYD Shenzhen, peut transporter lui, près de 9200 véhicules, grâce à ses 219 mètres de long, et sa largeur accrue. Bref, rien n’est laissé au hasard dans la stratégie des dirigeants chinois. A noter que ces quatre navires, peuvent fonctionner avec du gaz naturel liquéfié, légèrement moins polluant que le fioul. Le dernier-né peut lui, se déplacer en mode zéro émission quand il est en manœuvre dans les ports, grâce à une machinerie électrique, alimentée par des batteries BYD, bien sûr.


13 Mai 2025 : Skoda propose actuellement dans sa gamme, trois véhicules électriques, avec l’Enyaq, l’Enyaq Coupé et l’Elroq. Le constructeur Tchèque mise donc particulièrement, sur une gamme de SUV électriques, pour coller aux envies du moment. Ces trois modèles disposent d’une version RS. On a découvert il y a quelques semaines, l’inédit Elroq RS. L’Enyaq et l’Enyaq Coupé RS, profite donc d’un gros facelift et d’une remise à jour technique, pour ne pas se faire larguer par leur petit frère. Et bien sûr, on retrouve cette face avant de nouvelle génération chez Skoda, avec la calandre affinée, la disparition du logo, remplacé par le marquage Skoda, et la signature lumineuse en pointillé, séparée du bloc phare principal.  On a également droit à tout l’attirail de la gamme RS, avec une caisse rabaissée de 15mm à l’avant et 10mm à l’arrière, des boucliers spécifiques, mais également des jantes, de 20 ou 21 pouces, aux choix. A bord, le simili-cuir et la suédine, habillent ce bel habitacle, à la finition soignée. Le siège baquet, côté conducteur, propose des réglages électriques, et une fonction massante. Vous pouvez contrôler toutes les fonctions du véhicules, grâce à l’écran central tactile de 13 pouces. Ces Skoda Enyaq et Enyaq Coupé RS, embarquent toujours, la double motorisation de 340ch. La batterie gagne de 2kWh (84kWh brut et 79kWh net). Skoda annonce une autonomie en légère hausse de 13km (560km au total) pour la version Coupé. La puissance de charge passe de 175 à 185kW (10 à 80% en 26mn). Le 0 à 100km/h est effectué en 5.4s et la vitesse maxi est bridée à 180km/h.


12 Mai 2025 : Le Toyota Corolla Cross se refait une petite beauté en 2025. Ce SUV compact sorti en 2020, épaule le dynamique C-HR dans la gamme du constructeur nippon. Le Corolla Cross se veut plus classique, mais surtout, plus pratique. Ce véhicule n’a jamais été commercialisé en France, contrairement à la plupart des pays européens. A la Réunion, il est bien présent, et fait le bonheur de pas mal de familles. Il sera toujours disponible en version 1.8 Hybrid de 140ch, ou 2.0 Hybrid de 197ch. Toyota propose même en option, la transmission intégrale AWD-i. Ce millésime 2025, ajoute le mode de conduite Snow Extra, qui permet d’activer de façon permanente, le moteur électrique, positionné sur le train arrière. Le Corolla Cross profite d’un aménagement intérieur légèrement revu, avec une console centrale modifié, accueillant un nouveau boîtier de vitesse, un espace de rangement plus généreux, et un chargeur par induction plus performant. On a toujours droit à l’instrumentation de 12.3 pouces, et à un écran HD central de 10.25 pouces. Le système d’info-divertissement « Toyota Smart Connect », se veut plus réactif. Le véhicule se veut également plus silencieux, grâce à de nouveaux isolants. Le style est revu au niveau de la face avant, avec un tout nouvel éclairage full LED adaptatif, un bandeau lumineux central, et une calandre en nid d’abeille. A l’arrière, on note la présence de toute petites ailettes au niveau des feux, qui profitent eux, d’une nouvelle signature lumineuse. Ce n’est pas tout, puisque vous pourrez dorénavant opter pour une finition GR Sport, qui ajoute une calandre plus agressive, un badge Toyota assombri, une sellerie en cuir synthétique GR Sport, et des jantes en 19 pouces noires.


10 Mai 2025 : Les constructeurs français cherchent toujours des solutions, pour mettre en avant leur modèle, et particulièrement les véhicules haut de gamme, qui n’ont que rarement connu, le succès à l’internationale. La solution, c’est de faire appel aux plus hautes instances du pays. On parle évidemment du président de la République. On a pu faire connaissance avec une certaine DS 7 présidentielle, puis, Renault a enchaîné avec son Rafale. DS est de retour avec sa N°8. La toute nouvelle berline premium française a fait ses débuts, avec à son bord, le président Français, lors des commémorations de ce 8 mai. La teinte bleu saphir et le toit noir, lui vont à ravir. Une petite première pour l’occasion, puisque c’est la première fois, que le chef d’état se promenait dans un véhicule 100% électrique, lors d’un événement officiel. Bien évidemment, cette DS N°8 présidentielle, est entièrement blindée, et profite d’une finition aux petits oignons. Même si nous n’avons pas encore testé cette berline, on sait déjà que sa finition sera exceptionnelle. Le véhicule présidentiel ajoute quelques spécificités, avec une planche de bord d’une marqueterie de paille de céréales, fabriquée par les ateliers Lison de Caunes, des garnitures en satin bleu signé Hermès, et un tissu plissé bleu de l’atelier Lognon, pour les contre-portes. C’est la meilleure façon de mettre en avant, le savoir-faire français, dans le monde du luxe. Le toit ouvrant est sécurisé, et le système audio Focal, est également spécifique à ce modèle unique. Bien sûr, le Président a droit au modèle le plus haut de gamme, avec batterie de 97.2kWh. Vu le poids de l’engin, avec son blindage, l’autonomie ne doit pas égaler les 750km, du modèle de série.


10 Mai 2025 : Le Directeur général de Renault, Luca de Meo, et le service marketing de la marque, veulent frapper fort, concernant la fin de carrière de la très populaire Clio 5. On rappelle que ce véhicule, est tout simplement, le modèle le plus vendu en France en 2024, devant la Citroën C3 et la Peugeot 208. Avant de découvrir la sixième génération, prévue au début de l’année 2026, Renault souhaite booster une dernière fois, les ventes de sa citadine compacte. On a donc droit à cette nouvelle finition, dénommée Génération. La Renault Clio Evolution représentait l’entrée de gamme. La marque au losange frappe plus fort, avec cette Renault Clio Génération, qui est disponible à un tarif de 16 900€ en France (-2700€), tout en étant, mieux équipée. Renault propose des jantes alu 16 pouces en supplément, les vitres arrière surteintées, et quatre teintes de carrosserie (Orange Valencia de série, et Noir étoilé, Gris shiste ou Bleu iron en option). Cette Clio sera disponible à partir de 16 900€ en version SCE 65ch BVM5, à 18 500€ en version 1.0TCe 90ch BVM6, ou 18 000€ en version GPL 1.0TCe 100ch. L’équipement de série comprend entre autres, les feux arrière à LED, le système multimédia Easy Link 7 pouces avec réplication du smartphone, l’instrumentation numérique 7 pouces, l’aide au maintien dans la voie, le régulateur de vitesse, et la climatisation manuelle. Qui dit mieux ?  


09 Mai 2025 : A croire que le monde automobile était mieux avant. Les avancées technologiques, les systèmes connectés, les designs innovants, n’ont pas d’effets sur certaines personnes, et elles commencent à être nombreuses. Résultat, on voit naître un panel de restomods. Aujourd’hui, on s’intéresse à l’Audi Sport Quattro, le fameux coupé de la firme à l’étoile, qui faisait des heureux sur la route, mais également en course. ABT, spécialisé dans la préparation des Audi, nous présente sa vision de la bête. Cette dernière a été conçu, en partenariat avec LCE Performance. La base technique, est un châssis d’Audi 80. ABT a modifié les trains roulants, et retravaillé les réglages de suspensions, par rapport à LCE Performance. Elle reprend trait pour trait, le look du modèle originel, mais la carrosserie fait appel au carbone et kevlar. Les jantes sont un peu plus grandes également, et les pneus plus larges. D’ailleurs, il faut bien ça, pour essayer de contrôler l’engin. Le bloc 5 cylindres 2.1L Turbo de l’époque, développant 306ch, n’est plus d’actualité. ABT et LCE, font appel au 5 cylindres 2.5L Turbo des Audi RS3 et TTRS, mais avec une puissance majorée, de 530ch. ABT prévoyait de commercialiser 25 exemplaires, mais a dû ajouter cinq véhicules à sa production, afin de combler ses plus fidèles clients. Cette ABT Audi uR-Quattro, n’est donc plus disponible à la vente.


08 Mai 2025 : Brad Pitt sera à l’affiche du film F1, au mois de juin 2025, avec à ses côtés, le jeune acteur, Damson Idris. Pour tous les passionnés de Formule 1, l’attente est grande, mais il faut bien reconnaître que l’industrie cinématographique mondiale, n’a jamais véritablement réussi à nous pondre un film digne de la Formule 1. Le film Rush, de Ron Howard, sorti en 2013, est néanmoins une magnifique exception à la règle. Ce nouveau film, porté par Brad Pitt, a été réalisé avec le concours de Mercedes AMG. On rappelle que l’équipe de tournage, a réussi à se fondre dans la masse en 2024, en intégrant le paddock de Formule 1, lors de certains Grand-Prix. En attendant de voir ce que ça donne sur grand écran, Mercedes a décidé de proposer une série limitée, de son coupé GT 63. Cette Mercedes-AMG GT 63 APXGP (pour APEX Grand-Prix : équipe fictive du film), se concentre sur un certain nombre d’éléments stylistiques. On a droit à une carrosserie de couleur gris mat, avec stickers au niveau de la poupe. Une teinte Race Gold, habille la calandre Panamerica, les ailes avant, les bas de caisse, le diffuseur, et les jantes exclusives en 21 pouces.  Le véhicule est équipé d’un aileron arrière fixe, en fibre de carbone, et d’étriers de frein noir, avec système carbone céramique. Le noir et le doré, ornent également l’habitacle de cette GT 63 APXGP. Du cuir nappa et de la microfibre sur les sièges, avec surpiqûres assorties, un éclairage d’ambiance spécifique, de nombreux inserts en carbone, des seuils de porte qui s’illuminent en doré, des tapis de sol APXGP, une console centrale numérotée, le client profitera en prime, d’une housse de protection extérieure personnalisée par AMG. Ce petit monstre est toujours propulsé par son V8 4.0L Bi-Turbo de 585ch et 800nm de couple, avec transmission intégrale et boîte automatique MCT 9G. Ce futur collector sera produit à seulement 52 exemplaires.    


07 Mai 2025 : Tous les véhicules qui sortent des ateliers de Singer, sont pratiquement des œuvres d’art. Le prestigieux préparateur américain, restaure et magnifie, la mythique Porsche 911, depuis déjà quelques années. Cette fois-ci, Singer rend hommage à la fabuleuse 911 Carrera Turbo Look, de 1984. A l’époque, on avait donc droit au look de la 930 Turbo, avec voies et ailes élargies, le système de freinage, mais pas au moteur turbocompressé. On vous présente donc, la réinterprétation de Singer. Comme d’habitude, le préparateur reprend le châssis de la 911 Type de 964, sortie en 1989, et l’arrange à sa sauce. Cette Singer Carrera Coupé profite d’une carrosserie sur mesure, en fibre de carbone, avec des ailes particulièrement larges, deux types de bouclier avant, trois types d’aileron, des jantes Fuchs de 18 pouces à écrou central, et une magnifique double sortie d’échappement en titane. On note également, la présence de ces petits feux escamotables, sur le capot avant. Le client pourra donc, modifier certains éléments de la carrosserie, tout comme l’habitacle de son véhicule. On peut choisir une version extrême, avec arceau de sécurité à l’arrière, ou opter pour deux jolies assises d’appoint. La finition frise la perfection, avec un intérieur fabriqué à la main, une instrumentation vintage, un boîtier de vitesse avec mécanisme apparent, et un large choix de sellerie. Sous le capot moteur, on retrouve un Flat 6 de 4.0L, développé par Cosworth, qui développe 420ch à 8000tr/mn. La culasse dispose d’un refroidissement liquide. La suspension pilotée et le système de freinage en carbone céramique, sont de série. Singer produira 100 exemplaires de sa Carrera Coupé, à un tarif de plusieurs centaines de milliers d’euro, comme à son habitude.


06 Mai 2025 : Subaru vient tout juste de restyler son premier SUV 100% électrique, le Solterra. Ce cousin du Toyota bZ4X, propose les mêmes caractéristiques techniques, mais Subaru le commercialise à présent, uniquement en version 4 roues motrices. Un modèle électrique dans la gamme, ce n’est pas suffisant à l’heure actuelle. Subaru a décidé de diversifier son offre, en proposant une seconde déclinaison. Il s’agit du Trailseeker, une sorte de break surélevé électrique, qui sera commercialisée en Amérique du Nord, dès 2026. Ce dernier pourrait bien arriver en Europe par la suite, et prendre la place du Forester. Pas de révolution côté mécanique donc, puisque ce Subaru Trailseeker, reposera donc, sur la plate-forme e-TNGA de Toyota, appelée e-SGP, pour e-Subaru Global Platform. L’empattement n’évolue pas, mais avec ses 2.85m, l’habitabilité est assurément confortable. Le véhicule prend néanmoins 14cm par rapport au Solterra, en passant de 4.69m à 4.83m. Cela permet de disposer d’un coffre bien plus vaste, dont la valeur n’est pas encore communiquée. Le style est assez intéressant, avec de nombreux galbes de profil, des passages de roue en plastique brut, une poupe assez carrée avec bandeau lumineux, et une face avant, en grande partie carénée. Ce Subaru Trailseeker ne mise pas sur l’élégance, mais sur son look de baroudeur. Ce break dispose en prime, d’une garde au sol de 21cm et des quatre roues motrices. Il profite de nouveaux réglages de suspensions et de direction, se dote de plusieurs modes de conduite, et d’un contrôle de descente. Le système EyeSight, s’occupera de votre sécurité, avec un panel d’aides à la conduite. Le Trailseeker propose une double motorisation électrique de 375ch, et une batterie de 74.7kWh brut, offrant plus de 500km d’autonomie. Le 0 à 100km/h est expédié en 4.4s. La puissance de charge de 150kW en courant continu, permet de passer de 10 à 80% de capacité, en 35mn. Aux places avant, on retrouve les atouts du Solterra, avec une petite instrumentation placée en hauteur pour le conducteur, et le nouvel écran central tactile de 14 pouces.


05 Mai 2025 : Face aux normes de pollution, de plus en plus strictes, notamment en Europe, le marché des pick-ups est clairement menacé. Ford a opté pour la technologie hybride rechargeable concernant son Ranger, et Nissan a fait de même, pour son Frontier. Isuzu a choisi une autre voie, celle du 100% électrique. Son D-Max abandonne donc son classique bloc diesel à l’occasion du Salon de Birmingham 2025, pour une machinerie zéro émission. On retrouve sous le capot avant, un bloc électrique de 58ch, et le train arrière accueille une unité de 132ch. La puissance cumulée est de 188ch pour un couple de 325nm. Le véhicule dispose donc, d’une transmission intégrale permanente. Le tout est associé à une batterie de 66.9kWh. Cet Isuzu D-Max EV mise donc sur une batterie de petite taille, afin de réduire le poids de l’engin. Cela profite à la charge utile dans la benne, qui est d’une tonne. La capacité de remorquage est de 3.5 tonnes. Si on ajoute sa garde au sol de 21cm, et sa capacité de franchissement de gué de 600mm, ce D-Max EV affiche exactement les mêmes atouts que la version diesel. L’autonomie est par contre, beaucoup moins intéressante, avec ses 263km, selon le cycle WLTP. Résultat, il s’adresse surtout à une clientèle professionnelle (artisan ou agriculteur), qui utilisera ce pick-up de 2350kg, dans la limite de leur région. Traverser la France à son volant sera assez compliqué, avec sa batterie, qui encaisse une charge de 11kW en courant alternatif (0 à 100% en 10H) et de seulement, 50kW en courant continu (20 à 80% en 1H).


04 Mai 2025 : Stellantis mise sur des plates-formes communes pour toute sa gamme, et c’est une logique normalisée dans tous les groupes automobiles. On connaît les Peugeot 3008 et 5008, l’Opel Grandland, et on vient juste de faire connaissance avec le Citroën C5 Aircross, cette semaine. Le cinquième modèle à profiter de la plate-forme STLA Medium, sera une Jeep. Il s’agit du Compass de nouvelle génération, qui évolue en profondeur. Bien sûr, on ne connaît pas encore les fiches techniques complètes, mais on sait qu’il sera disponible, en version micro-hybride, hybride rechargeable, ou 100% électrique. On peut donc miser sur des puissances variant de 145ch à 375ch. Stellantis nous dévoile quelques photos, de ce nouveau SUV compact. Il paraît plus musculeux que la génération actuelle, et son style est plus affirmé. On dirait un Jeep Avenger sous stéroïdes. Le constructeur semble avoir opté pour une garde au sol élevée, correspondant à la philosophie de la marque. Ce Jeep Compass 2025, arbore des LEDs, au niveau de sa calandre, rappelant les sept fentes de l’époque. On note également, le soin apporté à l’habitacle, avec des matériaux et des technologies, qui montent en gamme. Jeep prévoit un lancement à la fin de cette année 2025 en Europe, avec une chaîne de fabrication en Italie. Pour l’Amérique du Nord, ça semble plus compliqué, puisque ce modèle devait être à la base, assemblé au Canada, le pays disposant de l’infrastructure et des compétences adéquates. Les droits de douane américains, posent évidemment de sérieux problèmes, et sa commercialisation risque d’être fortement retardée.


03 Mai 2025 : Les constructeurs les plus prestigieux au monde, adorent se provoquer. Aston-Martin nous présente la dernière évolution de sa DBX. Depuis 2019, le modèle a gagné pas mal de chevaux, en passant de 550ch à 707ch, après la sortie de la DBX707 en 2022. La marque de Gaydon en rajoute une couche aujourd’hui, avec sa DBX S. Le V8 4.0L Bi-Turbo d’origine AMG, développe à présent, 727ch. C’est 2ch de plus que la Ferrari Purosangue, mais 11ch de moins, que le Porsche Cayenne Turbo Hybrid, et 21ch de moins, que le BMW XM Red Label. On ne comprend pas vraiment la course à la puissance pour ce genre d’engin, qui n’a à l’origine, pas la prétention d’être de véritables sportives. Aston-Martin annonce un 0 à 100km/h en 3.3s, et 310km/h en pointe. Le style a été retravaillé, avec des boucliers, des bas de caisse, et un diffuseur, redessinés. On note la présence d’un liseré rouge autour du véhicule, et l’adoption d’une nouvelle ligne d’échappement, avec deux doubles sorties, à la verticale. Le client pourra alléger ce SUV, en optant pour une calandre en polycarbonate, des jantes en magnésium, un toit, un diffuseur, et des boucliers, en carbone. Le gain est d’environ 47kg. Attention, ce monstre frôlera de toute façon, les 2.2 tonnes. L’habitacle de cette Aston-Martin DBX S, est personnalisable à l’envie, avec des sièges bi-ton, en alcantara et cuir, ou 100% cuir, des motifs spécifiques, des touches de rouge, un nouvel éclairage d’ambiance, et un système audio de 800W à 14HP, ou de 1600W à 23HP.


02 Mai 2025 : Un nouvel acteur automobile s’apprête à voir le jour aux Etats-Unis. Slate Auto, est une nouvelle start-up, spécialisée dans la conception de véhicules électriques. Son avantage, c’est certainement son actionnaire principal, le multimilliardaire, Jeff Bezos. Après avoir conquis l’espace, comme son alter-ego Elon Musk, Jeff Bezos a peut-être envie de venir le titiller sur le marché des véhicules électriques. Ce n’est pas vraiment l’objectif en fait, puisque ce futur modèle de la gamme, est en quelque sorte, une anti-Tesla. Dans ce monde, boulimique aux SUV, aux crossovers, et aux nouvelles technologies, Slate Auto souhaite clairement prendre une autre direction. C’est sans doute le début de cette fameuse décroissance économique, dont on entend parler. Ce concept de pick-up que nous vous présentons aujourd’hui, est avant tout, un produit essentiel et très basique dans sa conception. Il est même convertible, et peut prendre l’apparence d’un 4x4 classique avec une cabine normale pour le transport de passagers, ou se transformer en un engin ultra-fun, sans portières et avec arceau. Son design néo-rétro, son style très rectiligne, ses feux ronds, ses jantes en tôle, ses gros pneus à flanc large, on pourrait supposer que ce vilain petit canard n’a rien pour lui. Et pourtant, ce véhicule serait une véritable bouffée d’oxygène, sur un marché automobile très, ou trop, conventionnel. Cette future Slate-Auto, dont on ne connaît pas encore le nom, a autant de charme qu’un Ford Bronco, Land-Rover 90 ou Jeep Wrangler. Dans l’habitacle, c’est exactement la même philosophie, avec une mini-instrumentation pour le conducteur, une absence totale d’écran tactile, et même, des manivelles pour les vitres. Les trois molettes pour les réglages de la climatisation, semblent bien esseulées. Vous aurez tout de même le loisir, d’ajouter quelques options, et on rappelle, qu’il est modulable et transformable à souhait. La petite firme, basée à Troy, dans le Michigan, a fourni quelques données techniques. Le moteur électrique d’une puissance de 200ch, sera alimenté par une batterie de 57.2kWh (Autonomie de 241km) ou de 84.3kWh (386km). Ce véhicule sera assemblé dans une ancienne imprimerie de Varsovie, dans l’Indiana, avec 2000 emplois à la clé. Néanmoins, de nombreuses pièces, proviendront de Chine. Les droits de douane de l’administration américaine, ne réjouit pas forcément Jeff Bezos. Il faut savoir que les dirigeants de Slate Auto et le milliardaire, ont déjà annoncé un tarif de base de 25 000$. Si Trump n’annule pas le crédit d’impôt pour l’achat de ce type d’engin, la facture pourrait passer sous les 20 000$. Véhicule basique, électrique, durable et fiable, Slate-Auto, réussira-t-elle à nous surprendre ? 


01 Mai 2025 : Comme par le passé, Ferrari se devait de proposer une version extrême de sa berlinette actuelle. Les 296GTB et 296GTS, ont donc droit à une petite cure de vitamines et à un petit régime. On vous présente les Ferrari 296 Speciale pour le coupé, et 296 Speciale A, pour la version cabriolet. Le coupé perd 60kg sur la balance, et le cabriolet, 50kg. Carbone, fibre de carbone tressé et aluminium à tous les étages, ces véhicules ont été allégés, mais la liste d’équipements reste égale à celle du modèle classique. Le V6 3.0L Bi-Turbo s’offre des pistons renforcés et un nouveau vilebrequin, pour un gain de 37ch, alors que le bloc électrique MGU-K, gagne 13ch. Résultat, la puissance culmine à présent à 880ch (+50ch), pour un couple de 755nm (+15nm). La batterie rechargeable de 7.45kWh, permet de rouler en mode zéro émission, pendant 25km. Cette énergie sera habituellement mise, au service de la performance. Ces 296 Speciale et Speciale A, profite d’un nouveau package aérodynamique, avec un bouclier avant en carbone redessiné, des bas de caisse plus larges, et des ailettes supplémentaires au niveau de la poupe, en plus de l’aileron mobile. La monte pneumatique Michelin Pilot Sport Cup 2, vous ravira certainement sur circuit. D’ailleurs, avec un 0 à 100km/h effectué en 2.8s (-0.1s), un 0 à 200km/h en 7.0s (-0.3s), et une vitesse maxi de 330km/h, vous aurez du mal à exploiter ce potentiel sur route ouverte. Pour être honnête, 99% d’entre-nous, ne détecterait pas les différences, avec le modèle originel. Ce véhicule se destine à des passionnés de la marque, ou carrément, à de vrais pilotes.  


30 Avril 2025 : Citroën n’est pas dans la meilleure forme de son histoire, alors c’est toujours une fête, quand un nouveau modèle débarque. La deuxième génération de C5 Aircross, et ce n’est pas une surprise, reprend la plate-forme STLA Medium, de ses cousins, Peugeot 3008, Peugeot 5008, et Opel Grandland. Avec ses 4.65m de long, 1.90m de large, et son empattement de 2.78m, il choisit de se rapprocher du Grandland sur ce point. Au niveau de son style, il est très fidèle au concept, présenté au Mondial de Paris 2024. On a droit aux nouveaux codes stylistiques Citroën, avec une signature lumineuse très fine, avec des barrettes, en grande partie, horizontales. Le design est beaucoup plus tendu sur cette nouvelle génération, le capot avant est creusé, les bas de caisse sont travaillés au niveau de la portière avant, et les feux arrière semblent faire office, d’éléments aérodynamiques. Dans l’habitacle, ce Citroën C5 Aircross est bardé de plastiques et de tissus recyclés. Du plastique noir laqué, habille le tunnel central. Le dessin rectiligne de la planche de bord, l’instrumentation numérique de 10 pouces, l’écran central tactile de 13 pouces, le volant deux branches avec touches à retour haptique, les nombreux rangements, la présentation est tout simplement moderne, sans être d’une grande originalité. A l’arrière, il perd ses trois sièges indépendants, pour une banquette classique 40/20/40. De série, on dispose des sièges « Advanced Confort », avec cette fameuse mousse interne à haute densité. La capacité de chargement de 565 litres, est dans la bonne moyenne. On rappelle que le véhicule a pris 15cm en longueur. Pas de surprise non plus sous le capot moteur, avec la présence du bloc 1.2 Micro-Hybrid 48V eDSC6 de 145ch, le bloc hybride rechargeable 1.6L de 195ch, avec batterie de 21kWh (86km en mode électrique), et deux versions électriques. La première s’équipe d’un bloc électrique de 210ch avec batterie de 73kWh, offrant une autonomie de 520km. Une version longue autonomie de 230ch, se dote d’une batterie de 97kWh, pour une autonomie de 680km. Cette batterie de 97kWh, construite en France, est fournie par ACC (Automotive Cells Company), une société détenue par Stellantis, Mercedes-Benz et Total, à parts égales. Encore un cocorico pour ce Citroën C5 Aircross, qui sera produit à Rennes. Et pourtant, le ticket d’entrée à seulement 35 000€, est surprenant pour un SUV de cette taille. Le C5 Aircross semble avoir dans sa ligne de mire, un certain Dacia Bigster.     


29 Avril 2025 : Nissan est dans la tourmente, mais pas résignée pour autant. Le constructeur nippon prépare l’arrivée sur le marché chinois, de son premier pick-up Hybride rechargeable. Ce nouveau modèle a été conçu par la coentreprise chinoise de la marque, Zhengzhou Nissan. Ce Nissan Frontier Pro s’équipe donc d’une plate-forme spécifique, capable d’accueillir une motorisation thermique et un gros bloc électrique. Cette double motorisation fournit une puissance de 408ch et un couple confortable de 800nm. Pas de données sur les capacités de la batterie, mais le véhicule peut parcourir 135km en mode électrique. Bien évidemment, il s’équipe d’une transmission intégrale intelligente, avec blocage électromécanique arrière. Ce baroudeur dispose de quatre modes de conduite (Hybride, Electric, Performance, Neige). La suspension arrière à cinq bras, améliore le confort et le comportement routier. Ce pick-up est un excellent utilitaire et véhicule de loisirs. On peut même aller très loin, avec un habitacle spacieux et confortable. Le Nissan Frontier Pro PHEV s’équipe d’une instrumentation numérique de 10 pouces, d’un écran central tactile de 14.6 pouces, d’un toit panoramique, de sièges chauffants, ventilés et massants, et de la fonction V2L, permettant d’alimenter des appareils électriques. Nissan prévoit de le commercialiser un peu plus tard, sur d’autres marchés. Ce pick-up hybride rechargeable, serait parfaitement adapté au marché français par exemple. On finit par le style, avec son dessin moderne et musculeux, et ce petit clin d’œil au Nissan Navarra D21, avec les trois barres centrales lumineuses.


29 Avril 2025 : Un petit point sur la santé économique du monde de l’automobile. Une des marques les plus en difficultés ces derniers mois, s’appellent Nissan. Après avoir pris la confiance, il y a quelques années, en essayant d’éjecter son investisseur principal, le groupe Renault, le constructeur nippon se retrouve aujourd’hui, la tête dans l’eau, comme dans les années 90. Le directeur général, Makoto Uchida, a été limogé il y a quelques semaines, après l’échec des négociations avec Honda, concernant une éventuelle fusion. La firme, prédisait déjà une perte d’environ 80 milliards de Yen (500 000 millions d’euro). Le nouveau patron, Ivan Espinosa, a souhaité rétablir la vérité. La perte ne sera pas de 500 millions, mais plutôt de 4.5 milliards d’euro. Pionnier des voitures électriques avec sa Leaf, Nissan est à présent très en retard concernant cette technologie. Un partenariat avec un grand constructeur chinois, serait une solution envisagée. Nissan souhaite également, réouvrir les discussions avec Honda, afin de réduire ses frais de développement, en vue de renouveler sa gamme. A cela s’ajoutent les frais de douanes de l’administration américaine, qui posent de sérieux soucis à Nissan, sur ce marché capital, pour sa survie.

   Il faut parfois des décennies avant qu’une nouvelle marque automobile, soit reconnue, et respectée, dans le monde. Tesla, ce petit constructeur, né en 2003, à San Carlos, en Californie, a réussi le pari, de s’imposer rapidement sur la planète. A l’époque, les stars d’Hollywood, étaient fières de pouvoir s’afficher au volant du petit roadster de la marque, ou de la grande berline, Model S. C’était une mode, mais également une philosophie écologique, à long terme. En seulement quelques mois, son dirigeant, a réussi à tout gâcher. Depuis son implication dans la campagne présidentielle américaine, et son soutien à plusieurs parties d’extrême droite européens, Elon Musk a durablement abîmé l’image de Tesla. Peu importe votre partie politique, on sait qu’une très grande majorité de personnes, ne prendront pas le risque d’investir dans un modèle de la firme californienne. Les résultats catastrophiques du premier trimestre 2025, le prouvent. Les ventes sont inférieures de 13% par rapport à l’année dernière, mais c’est surtout le bénéfice qui est en chute libre, avec -71%. On rappelle que la capitalisation boursière de l’entreprise, a été divisée par deux, depuis décembre 2024. Et pourtant, Tesla reste une marque totalement surcotée, par rapport à son chiffre d’affaires.  Elon Musk, à la tête du DOGE (Département de l’efficacité gouvernementale américain), a décidé de consacrer plus de temps à Tesla, mais il est sûrement trop tard. Vu sa réputation en berne, le milliardaire pourrait causer encore plus de dégâts à la marque. Tesla a besoin de se faire une virginité, et sa destitution à la tête de l’entreprise est maintenant sur la table, selon de nombreux économistes.

    Contrairement à BMW, qui produit la plupart de ses SUV à Spartenburg, en Caroline du Sud, Audi est beaucoup plus en difficulté sur le marché américain. Effectivement, la star de la gamme aux anneaux en Amérique du Nord, s’appelle Q5, et ce dernier est fabriqué au Mexique, depuis de nombreuses années. Audi est dans l’attente, concernant le marché américain, en bloquant l’importation vers les Etats-Unis, de certains modèles de la gamme. Concernant son Q5, Audi prévoit une hausse des tarifs substantielle, avec un prix de base qui passe de 46 695$ à 53 495$, soit 6800$ de plus. Cela risque forcément d’impacter les ventes, mais Audi compte néanmoins rester sur le marché étatsunien, sans pour autant déménager. On ne construit pas une usine en quelques mois, ni une ligne de production. Le plus gros problème, reste la formation des ouvriers. On connaît le cahier des charges, très stricte, des constructeurs allemands. Quitter le Mexique, poserait également quelques soucis diplomatiques, à long terme. On rappelle qu’une multitude de pièces détachées, proviennent du Mexique et du Canada.


27 Avril 2025 : Ca innove encore du côté de la Chine. A l’occasion du Salon de Shanghai, MG nous dévoile le concept Cyber X. Et en Chine, tout va très vite, puisque le constructeur a déjà annoncé la commercialisation du modèle de série, dans quelques mois. Pour dessiner ce concept, MG a embauché Josef Kaban, un designer de renom, ayant déjà œuvré chez Skoda, Seat, Volkswagen et Bugatti. Le MG Cyber X, arbore un look de 4x4 pur et dur, avec ses formes cubiques, sa carrosserie lissée, et ses jantes bicolores de 20 pouces, armées de pneus tout-terrain. Les feux avant escamotables, s’inspirent des années 80. Bien sûr, il est un peu tôt pour connaître la fiche technique complète de ce futur baroudeur. Néanmoins, MG annonce l’avoir équipé de la nouvelle plate-forme E3 du groupe SAIC. La batterie de type « Cell-to-body » participe à la rigidité du châssis. Pour l’interface du système d’info-divertissement, MG a fait appel, au constructeur chinois de smartphone, OPPO. Le but est de rester connecter en permanence avec son véhicule, mais également avec le monde extérieur, une fois en route. Il faudra attendre un peu avant de découvrir l’habitacle de ce SUV compact 100% électrique, de 4.30m de long.


26 Avril 2025 : Porsche propose une série limitée de plus, concernant sa 911. Le constructeur s’inspire des années 70, et modifie sa 911 Carrera GTS Cabriolet, en conséquence. Ce véhicule, dont la production sera limitée à 1500 exemplaires, arbore une teinte vert olive, et une multitude de détails. Une teinte grise or, nommé Bronzite, recouvre les magnifiques jantes Fuchs, et une partie des boucliers. Impossible de rater l’inscription 911 sur le capot avant, prolongée par des bandes. On a également le numéro sur les portières, au choix du client. Dans l’habitacle, les motifs sur les sièges, le long de la planche de bord, dans la boîte à gants, le tapis de sol du coffre, et sur les contre-portes, risquent de ne pas faire l’unanimité, avec un sentiment de vertige quand on les fixe un peu trop longtemps. La sellerie se pare également, de cuir noir basalte, et de surpiqûre olive neo. L’instrumentation à chiffre vert, est spécifique. Cette Porsche 911 GTS Spirit 70, dispose de la motorisation hybride, flat6 3.6L Turbo, de 541ch. Le tout est associé à la boîte PDK à 8 rapports. Porsche proposera une teinte de carrosserie noire, et un intérieur noir et gris, pour les plus discrets d’entre-nous. Enfin, quand je dis nous, cela concerne les personnes, qui pourront débourser la coquette somme de 247 200€ (Hors malus écologique de 70 000€). C’est un surcoût de 52 400€, par rapport à la classique GTS Cabriolet.   


25 Avril 2025 : Lexus, voilà une marque extrêmement discrète en Europe, et quasiment inexistante à la Réunion. La filiale premium de Toyota, a toujours préféré se concentrer sur son marché domestique, la Chine, ou l’Amérique du Nord. Il va y avoir du changement dans la gamme, à l’occasion de la sortie de la Lexus ES de huitième génération. Elle vient d’être dévoilée au Salon de Shanghai, et semble vouloir changer de catégorie. Elle doit logiquement se renouveler, afin de remplacer son aïeul, qui date de 2019, mais elle doit également se préparer à pallier la disparition de sa grande sœur, la limousine LS. Elle grandit donc de 16cm, en passant de 4.98m à 5.14m. On remarque immédiatement, cette lunette arrière très inclinée, qui lui donne des airs de coupé. On note aussi la présence de cette découpe au niveau des portières, avec des éléments noir laqué. La signature lumineuse très agressive, le capot plongeant, les petits losanges au niveau des entrées d’air avant, les plis de carrosserie au niveau du pare-chocs arrière et de la malle, le design est plutôt intéressant. Néanmoins, cette nouvelle berline premium, ne pourra certainement pas concurrencer, à elle seule, des véhicules tels que l’Audi A6, Audi A7 ou Audi A8. Cela vaut aussi, pour les autres constructeurs allemands. Dans l’habitacle, c’est propre et net, avec uniquement certains boutons à retour haptique, une instrumentation numérique de 12.3 pouces, et un écran central de 14 pouces. Sous le capot, le bloc hybride 4cylindres de 2.5L, équipe le modèle 300h de 201ch, et la version 350h de 247ch. Cette dernière peut disposer d’une transmission intégrale en option. Mais ce Lexus ES, sera à présent disponible, en version 100% électrique. Lexus propose une version monomoteur traction 350e, de 224ch, et une double motorisation 4WD 500e, de 343ch. Le constructeur nippon n’a pas encore communiqué sur la capacité de la batterie et l’autonomie.    


24 Avril 2025 : Après MG et BYD, la prochaine marque chinoise à s’imposer en Europe, sera peut-être Leapmotor. On rappelle qu’il s’agit d’une filiale chinoise du groupe Stellantis. Le géant franco-italo-américain, a compris qu’une association avec un groupe chinois, était la meilleure solution à long terme. Après la citadine T03, le SUV compact B10, et le SUV familial C10, Leapmotor nous propose une grande berline très consensuelle, dénommée B01. Elle repose sur la même plate-forme technique que le SUV B10, mais la berline est bien plus imposante, avec ses 4.75m. Elle est même plus grande qu’une Tesla Model 3, et ses 4.72m. Avec une inflation galopante et une conjoncture économique toujours plus compliquée, Leapmotor souhaite proposer un véhicule simple, mais technologique, à prix d’ami. Côté technique, on sait qu’elle proposera deux niveaux de puissance au choix, de 180 ou 218ch. Elle disposera également de deux types de batterie LFP, produits par CALB (China Aviation Lithium Battery). La Leapmotor B01, promet une autonomie minimum, comprise entre 400 et 450km, et bien plus encore, si elle reprend la grosse batterie de la B10. L’architecture LEAP 3.5 promet une belle connectivité avec le monde extérieur, une compatibilité logicielle améliorée, et des assistances à la conduite dernier cri. En option, on peut l’équiper d’un Lidar, avec une conduite semi-autonome avancée de Niveau 2+. Sous ses airs de berline sage, cette B01 est un véritable ordinateur sur roue. Mais c’est surtout au niveau des tarifs, qu’elle va faire mal. Si elle est proposée entre 13 000 et 20 000€ en Chine, Leapmotor souhaite la commercialiser en Europe, à un tarif d’entrée de gamme, d’à peine 30 000€. C’est le type de véhicule, qui pourrait démocratiser une fois pour toute, le marché des voitures électriques.


23 Avril 2025 : Les Mercedes Vito et Classe V actuelles, datent de 2014, et ça commence à faire long, même pour un véhicule à usage professionnel. La marque à l’étoile s’apprête à renouveler son monstre en 2026, et nous livre déjà un petit aperçu, de l’engin. Bien sûr, ce concept Vision V, doit vous en mettre plein la vue, et le constructeur se concentre principalement sur le Classe V, le transporteur de passagers. Ce futur modèle reposera sur la nouvelle plate-forme VAN.EA pour la version 100% électrique. Ce châssis sera modifié, et se nommera VAN.CA, pour les moteurs thermiques. On a donc affaire à un modèle multi-énergie. Ce concept de 5.48m de long et 2.10m de large, arbore un style fort, avec une calandre gigantesque rétro-éclairée, à lamelles, et un logo lumineux sur le capot. L’éclairage traversant à LED, en partie haute, rappelle le tout nouveau CLA. De profil, les portes creusées au niveau des bas de caisse, les ailes galbées, les jantes de 24 pouces, et l’entourage chromé des vitres, lui donnent une sacrée allure. Le hayon dispose d’une énorme surface vitrée, et d’un pourtour lumineux à 450 LEDs. L’habitacle, en blanc cristal, est tout aussi impressionnant, avec des sièges ergonomiques, aussi bien à l’avant qu’à l’arrière, des vitrines latérales, et une tablette centrale faisant office d’échiquier. On peut opacifier la paroi, donnant sur le conducteur. Justement, à l’arrière, on peut profiter d’un immense écran 4K de 65 pouces, et d’une installation phonique Surround Dolby Atmos à 42 haut-parleurs. Afin de parfaire votre séance cinéma, Mercedes a installé des vitres latérales qui s’opacifient, et pas moins de sept projecteurs, au niveau du sol et du plafond, pour une immersion totale à 360°.      


22 Avril 2025 : Il y a quelques jours, Mazda dévoilait son premier SUV familial 100% électrique, l’EZ-60. Sur le vieux continent, le constructeur nippon a décidé de le nommer, CX-6e. On connaît aujourd’hui, les caractéristiques techniques de ce véhicule, mais on peut également découvrir son habitacle, qui marque une vraie évolution par rapport au reste de la gamme. Ce Mazda CX-6e proposera trois motorisations à l’international. Le continent européen privilégiera très certainement, les deux versions électriques, de 215 ou 255ch, associées à des batteries de 68.8 ou 80kWh. Dans le meilleur des cas, l’autonomie sera de 500km. Un modèle R-EV, avec prolongateur d’autonomie, fera le bonheur des gros rouleurs. Ce dernier accueille un moteur thermique 1.5L, associé à un bloc électrique de 255ch, et une batterie LFP de 31.73kWh. En mode électrique, le véhicule peut parcourir jusqu’à 160km. Si vous activez d’entrée de jeu, le mode hybride, vous pourrez parcourir alors, 1300km, d’une seule traite. Mais la révolution se passe surtout à l’intérieur de ce véhicule. Mazda a toujours misé sur des habitacles traditionnels et ergonomiques. Sur ce CX-6e, c’est tout l’inverse, avec une planche de bord qui se pare, d’une énorme dalle 5K de 26.45 pouces. Les commandes physiques ont pratiquement toutes disparues, sauf sur le volant. Sur le pare-brise, on a droit à une multitude d’informations de conduite, grâce à un affichage tête-haute de 100 pouces. On remarque aussi, les deux petits écrans supplémentaires, pour les rétroviseurs caméras. Avec une longueur de 4.85m et un empattement de 2.90m, on ne se fait pas de soucis pour l’habitabilité. Les passagers pourront en prime, profiter d’un système audio Dolby Atmos à 23 haut-parleurs. Dommage, le coffre est véritablement petit avec ses 350 litres, mais le frunk de 126 litres, sous le capot avant, sauve la mise. Côté tarifs, Mazda est plutôt agressif, avec une gamme qui devrait se situer, entre 43 000 et 48 000€.      


20 Avril 2025 : En Europe, Ford semble essentiellement se concentrer sur ces modèles électriques. On a vu apparaître ces derniers mois sur notre marché, le Ford Explorer, la Capri, et la petite Puma Gen-E. On verra à long terme, si la stratégie est bonne, mais pour le moment, les parts de marché du constructeur, sur le vieux continent, se sont effondrées. Ford remet à jour, son tout premier modèle électrique, la controversée Mustang Mach-E. Ce n’est évidemment pas la plus belle des Mustang, mais on a droit à un nouveau choix de jantes pour les modèles d’entrée de gamme. Pour la finition GT, Ford ajoute une calandre plus agressive, et des jantes optionnelles en 19 pouces, noires. Trois teintes supplémentaires sont au programme, avec le rouge magenta, le bleu velocity et le jaune sable.  L’agencement intérieur est légèrement modifié, au niveau du sélecteur de boîte, et de certaines commandes. Le système multimédia SYNC4 propose une nouvelle interface, et on peut opter pour un hotspot Wifi 5G pour 10 personnes, via un abonnement. La conduite semi-autonome est améliorée, avec un changement de voie automatisé. Le véhicule peut décider de dépasser de façon autonome, s’il ne détecte aucun danger. Le conducteur peut en théorie, lâcher le volant, sur certaines parties du réseau routier, mais sans quitter la route des yeux. Côté technique, Ford l’équipe enfin d’une pompe à chaleur, permettant des économies d’énergie, et une meilleure autonomie. On rappelle que cette Ford Mustang Mach-E dispose de motorisations, allant de 258 à 487ch, et de deux types de batterie (75.7 et 98.7kWh brut).


19 Avril 2025 : Mercedes propose une série spéciale de son Classe G. Ce dernier sera produit à 460 exemplaires, rappelant le code produit W460, de la première génération. Justement, cette série limitée joue la carte de la nostalgie, avec un look issu des années 80. Le constructeur allemand a tenu à atténuer le côté « bling bling » de la seconde génération, et reprend les anciens codes stylistiques, avec un vrai look d’aventurier. Bien sûr, ce véhicule repose sur la plate-forme actuelle, qui dispose comme à l’époque, d’un châssis séparé. On a donc affaire à un Classe G moderne, mais avec un design rétro. On compte des boucliers, une calandre, des bas de caisse, des passages de roue, des baguettes et poignées de portes, tous en plastique noir. On remarque les clignotants orange sur le capot avant, les jantes en 18 pouces 5 branches, avec des pneus tout-terrain, et le choix entre trois anciennes teintes (Vert agave, Blanc cassé, ou beige colorado). On peut accentuer son style baroudeur, en optant pour des grilles de phares, une bonne vieille galerie de toit, et une échelle sur le hayon. Le Mercedes Classe G « Stronger than the 1980s », dispose bien sûr d’une transmission intégrale permanente et paramétrable, et du bloc moteur mild-hybrid 48V du G500. Il s’agit d’un 6 cylindres 3.0L Bi-Turbo, de 449ch et 560nm de couple. L’habitacle est assez sobre, avec une sellerie noire et du tissu avec motifs à carreaux, mais la finition est toujours aussi soignée, et l’équipement, très moderne. Dommage, malgré son style vintage, le tarif est lui, très actuel. Il faudra débourser plus 170 000€ minimum, hors options. S’il arrive sur le marché français, n’oubliez pas de rajouter les 70 000€ de malus écologique.


18 Avril 2025 : Genesis présentera dès ce 18 avril, au Salon de New-York, un concept-car, qui interroge énormément, sur le style futur de la gamme. Luc Donckerwolke, chef designer très expérimenté, a clairement joué, la carte de l’originalité. Le Genesis X Gran Equator Concept, se présente comme un énorme SUV, avec un look de pur 4x4 sous la ceinture de caisse, et une allure de break, en partie haute. Il s’agit normalement d’un véhicule électrique. On se demande alors, que peut bien cacher, cet immense capot avant. La signature lumineuse typique de Genesis, avec les deux faisceaux lumineux horizontaux, se prolonge un peu plus sur les ailes avant. Les jantes de 24 pouces typées baroudeur, et la garde au sol très généreuse, annoncent de belles capacités en tout-chemin, malgré un empattement, qui semble très très long. Là où l’on est immédiatement charmé, c’est quand on découvre les photos de l’habitacle. Les quatre passagers profiteront de toits vitrés personnels. Le luxe règne à bord, avec une panoplie de matériaux, mêlant cuir, métal, et tissu. De nombreuses surpiqûres, recouvrent la sellerie, ou encore, le ciel de pavillon. La teinte bicolore, bleu et crème, parfait l’atmosphère. Genesis veut absolument réduire la taille de ses écrans. On retrouve donc, sept unités rondes, totalement numériques. Trois pour le conducteur, et quatre sur le haut de la planche de bord, qui affichent essentiellement, des données de conduite. C’est beau, c’est classe, avec un petit côté vintage, en prime.


16 Avril 2025 : Comme on pouvait s’y attendre, la révolutionnaire Dodge Charger Daytona EV, fait un flop aux Etats-Unis. Si une motorisation électrique, convient parfaitement à une citadine, une berline, un SUV, et même, à une ultra-sportive, elle est parfaitement inadaptée à une Muscle-Car. Dans ce type de véhicule, c’est le look bestial et le bruit, qui caractérisent l’engin. La version électrique, développe entre 496 et 670ch. La batterie de 100.5kWh, promet une autonomie comprise entre 420 et 510km. Malgré un poids frôlant les 2.5 tonnes, les performances sont ahurissantes, avec un 0 à 100km/h avalé en 3.3s, pour la version la plus puissante. Et pourtant, la mayonnaise n’a pas pris, et les clients ont préféré se tourner vers les anciennes générations de Charger et Challenger, propulsées par un bon gros V8. La nouvelle génération de Charger, est également disponible en thermique, avec un V6 3.0 Bi-Turbo, développant entre 420 et 550ch, mais l’accueil est assez mitigé en Amérique du Nord. Du coup, la marque souhaite modifier son châssis STLA Large, afin qu’il puisse accueillir l’antique bloc V8 Hemi de 5.7L ou 6.4L.


15 Avril 2025 : La Toyota GR Yaris est une espèce en voie de disparition, particulièrement en France. Il s’est écoulé 300 exemplaires dans le pays, en 2024. Pour 2025, on aura droit uniquement à 50 exemplaires. En cause, le malus écologique de 70 000€, qui fait monter la note à 120 000€TTC. C’est évidemment horriblement cher pour une citadine ultra-sportive de ce genre. Elle se destine à de sacrés passionnés. Ce petit monstre connaît pourtant son lot de modifications. Le trois cylindres 1.6L Turbo crache toujours 280ch, et est accouplé à une boîte manuelle à 6 rapports, ou une unité automatique à convertisseur de couple, à 8 rapports. Le client pourra opter pour un frein à main vertical, sur la console centrale, permettant quelques dérives, pour les plus excités. La direction assistée et les réglages de suspension, ont été revus. Toyota utilise également de nouveaux boulons, pour les bras de suspension, les rotules inférieures, les amortisseurs arrière, et la carrosserie. Cela apporte un surplus de rigidité, évite toute forme de desserrages lors d’une utilisation intensive du véhicule, et promet un meilleur feeling à la conduite. On remarque également quelques évolutions au niveau de la carrosserie, comme ces extracteurs sur les ailes avant et le pare-chocs arrière. Le gros aileron positionné sur le hayon, est à présent réglable.


14 Avril 2025 : Ce n’est pas parce que vous achetez un utilitaire, que le voyage doit être désagréable. Opel nous présente une série spéciale, de son Vivaro. Ce fourgon est disponible également, en version cabine approfondie. L’Opel Vivaro Sportive profite d’un look soigné, et de quelques attentions à bord. On remarque les stickers jaune et noir, sur le capot avant, les portières et les bas de caisse, les poignées de portes couleur carrosserie, et les jantes diamantées de 17 pouces. Le surcoût de 4000€, par rapport à un Vivaro classique, s’explique facilement, quand on analyse la liste des équipements. Eclairage full Led, rétroviseurs chauffants et rabattables électriquement, instrumentation numérique et écran central tactile de 10 pouces, navigation, rétroviseur intérieur numérique, accès et démarrage sans clé, climatisation bi-zone, chargeur par induction, volant et sièges avant chauffants, cet utilitaire ou véhicule de loisir, ne manque de rien. Sous le capot, vous pourrez opter pour le modèle électrique de 136ch, associé à la batterie de 75kWh (352km d’autonomie). Les gros rouleurs et les vacanciers, choisiront certainement, le bloc diesel 2.0HDi de 180ch, associé à la boîte automatique EAT8. Il faudra débourser entre 39 600 et 42 600€ (cabine approfondie) pour la version diesel, et entre 48 900 et 51 900€, pour la version 100% électrique.


12 Avril 2025 : Après la berline électrique 6e, Mazda s’apprête à présenter son SUV compact EZ-60, lui aussi, électrique. Quand le Japon et la Chine s’allient, ça peut donner des produits intéressants. Le constructeur nippon n’est pas un spécialiste des véhicules électriques, et ne proposait en 2024, dans sa gamme, qu’un seul modèle. Il s’agissait du petit SUV MX-30, très peu diffusé, à cause d’une autonomie bien trop limitée. Un petit prolongateur d’autonomie thermique, n’a pas permis de relancer les ventes. Mazda a donc signé un partenariat avec Changan, un poids lourd de l’industrie automobile chinoise. On a donc pu découvrir la Mazda 6e, au début de l’année. L’EZ-60, devrait être présentée officiellement, lors du Salon de l’automobile de Shangai, à la fin de ce mois d’avril. On a déjà droit à quelques clichés, qui nous permettent d’analyser le design de ce futur SUV. Elle reprend les lignes du concept Arata de 2024. Comme d’habitude chez Mazda, c’est pratiquement un sans-faute au niveau du style. Une signature lumineuse traversante qui épouse la calandre, un capot et un bouclier sculptés, des rétroviseurs caméras, des poignées de porte affleurantes, et une lunette arrière inclinée, ce Mazda EZ-60 devrait afficher un coefficient de pénétration dans l’air, et de traînée, assez avantageux. On retrouve des éléments de carrosserie, noirs laqués, au niveau des bas de caisse et des passages de roue. Ces derniers accueillent des jantes de 21 pouces. Il faudra encore patienter pour connaître la fiche technique, même si on peut supposer, qu’elle reprenne la mécanique de la 6e (Moteur électrique de 244 ou 252ch, et autonomie de 552km).


11 Avril 2025 : Les constructeurs chinois sont confrontés à certaines taxes aujourd’hui en Europe. Cela dépend des subventions accordées par le gouvernement chinois, à ses acteurs automobiles. On rappelle que les subventions gouvernementales, sont interdites, pour les pays faisant partie de l’OMC (Organisation mondiale du commerce). Résultat, tous les véhicules électriques fabriqués en Chine, se voient imposer une taxe douanière comprise entre 7.8% et 35.3%, en plus des 10%, déjà en vigueur. En France, pas de taxes douanières supplémentaires, évidemment, mais une inéligibilité au bonus écologique, pour ce type de véhicule. La filiale européenne de Leapmotor, a tenté de contourner le problème, en assemblant sa petite citadine électrique T03, en Pologne. On rappelle que Leapmotor Europe, est détenu à 51%, par le groupe Stellantis. Ca marche très bien concernant les taxes douanières, mais la France a décidé de durcir les règles, concernant le bonus écologique. La France a travaillé sur le score environnemental de la T03, en se basant sur le lieu de fabrication, et non pas sur le lieu d’assemblage. Résultat, exporter un véhicule en pièces détachées depuis la Chine, n’est plus du tout, une bonne idée. Avec l’absence de bonus écologique, la Leapmotor T03, n’est plus véritablement compétitive sur notre marché, face à une concurrence qui s’organise, petit à petit. Le constructeur chinois arrête donc les frais, et produira à nouveau la T03 en Chine. Les coûts de production sont bien moins élevés, mais elle sera taxée à hauteur de 21%, à son arrivée, en Europe. Attention, Leapmotor passera la vitesse supérieure très bientôt, grâce à son SUV compact électrique B10, qui devrait être lui, construit en Espagne, dans une nouvelle usine, basée à Saragosse.


10 Avril 2025 : La Smart #5, est sortie il y a déjà quelques mois. Avec ses 4.69m de long, 1.92m de large, et un empattement de 2.90m, elle n’a plus rien d’une Smart. Le constructeur Sino-Allemand, détenu par Geely et Daimler, vise une clientèle familiale, avec ce SUV 100% électrique. La #5 offre cinq belles places à bord, et un coffre gigantesque de 630 litres, secondé par un frunk de 47 litres sous le capot avant. La gamme propose 3 motorisations, avec la 340ch (RWD et 74.4kWh), la 363ch (RWD et 94kWh) et la 583ch (4WD et 94kWh). Brabus, le célèbre préparateur allemand, nous propose une #5, un peu plus épicée. La double motorisation électrique atteint la puissance de 646ch (710nm de couple), et est évidemment associée, à la grosse batterie de 94kWh net. Cela permet une autonomie de 540km. Grâce à sa plate-forme 800V, elle encaisse une charge de 400kW, permettant de passer de 10 à 80% de capacité, en 18mn. Malgré son poids de 2378kg à vide, elle abat le 0 à 100km/h en 3.8s, et la vitesse maxi est bridée à 210km/h. Toujours typé baroudeur, Brabus ajoute quelques éléments de design rouges, sur le bouclier, les bas de caisse, le toit, ou les rétroviseurs. Les jantes de 21 pouces sont spécifiques. Dans l’habitacle, comme à l’extérieur, on retrouve encore des logos Brabus, et de nombreuses surpiqûres rouges. Petite instrumentation pour le conducteur, un écran central de 13 pouces, et un écran supplémentaire de même taille pour le passager, cette Smart #5 Brabus est à la pointe de la technologie. Conduite assistée, stationnement semi-autonome, assistant vocal, avatar pour vous aider à maitriser les différentes fonctionnalités, toit panoramique, Brabus ajoute un système audio Sennheiser 20HP. Construite en Chine, elle ne bénéficie pas du bonus écologique. Le constructeur a donc été agressif au niveau des tarifs, avec un véhicule disponible en Europe, à partir de 46 600€.


09 Avril 2025 : Quand un grand groupe automobile, s’allie à deux géants de la Tech, ça peut faire mal. La SAIC, Alibaba, et Zhangjiang Hi-Tech, proposent depuis 2023 en Chine, l’IM LS6, un SUV familial électrique à la fois, performant et technologique. Ce dernier sera également commercialisé à l’international, et c’est la Thaïlande, la première cible. Pour l’occasion, elle change de patronyme, et s’appelle, MG IM6. La fiche technique laisse rêveur. Le design n’est pas forcément très expressif, mais la marque annonce un coefficient de traînée de 0.237. Ce véhicule de 4.90m de long et 1.99m de large, dispose d’un empattement de 2.95m. Ca annonce une habitabilité plutôt exceptionnelle. Pour parfaire la maniabilité, le MG IM6 propose les quatre roues directrices. Les trois versions à propulsion arrière, seront disponibles avec des motorisations de 294ch (Batterie de 75kWh et 550km d’autonomie), de 337ch (83kWh et 640km) et de 408ch (100kWh et 740km). Une version haut de gamme, à double motorisation (4WD), propose 787ch, et des performances de supercar, avec un 0 à 100km /h effacé en 3.48s, et une vitesse de pointe de 252km/h. Dans l’habitacle, c’est digne de la guerre des étoiles, avec un microprocesseur NVIDIA DRIVE Orin pour une intelligence artificielle de pointe, un écran HD intelligent (Qualcomm), et une conduite assistée (avec Lidar) en ville et sur autoroute, comprenant un stationnement autonome selon 300 scénarios.


08 Avril 2025 : Genesis, filiale premium du groupe Hyundai, commence à disposer d’une gamme très intéressante, avec ses modèles G, typés berline, et GV, typés SUV. Pour le moment, c’est la Genesis G90 qui fait office de porte-étendard. Le constructeur travaille depuis quelques années, sur un futur coupé prestigieux, et un cabriolet, tout aussi luxueux. Au Salon de Seoul, on peut apercevoir ces deux concepts, qui semblent prêts à être commercialisés. Il s'agit des Genesis X Coupé et Cabriolet. Le châssis et la mécanique, nous viennent de la G90. La caisse semble avoir été rabaissée, la calandre est plus fine, mais les codes stylistiques restent les mêmes, avec notamment, cette double signature lumineuse horizontale. Le pare-brise incliné, la garde au toit rabaissée, l’absence de montant central, les voies élargies et les jantes spécifiques, donnent de la sportivité et une grande élégance, à ces deux concepts. La planche de bord rappelle la berline G90. Genesis propose néanmoins, du bois et une teinte Olive pour le coupé, alors que le cabriolet, opte pour une teinte extérieure rappelant le raisin pressé, et un intérieur bleu profond, type Cabernet Sauvignon d'Italie. Sous le capot, Genesis propose le classique V6 3.5L Bi-Turbo de 415ch, associé à une boîte automatique à 8 rapports.  


07 Avril 2025 : Il y a quelques mois, Skoda nous présentait l’Elroq, son premier SUV compact 100% électrique. Il venait épauler le Karoq, uniquement disponible en version thermique. Le constructeur tchèque, annonçait trois versions propulsions, de 170, 204 ou 285ch. Skoda a décidé de pimenter un peu plus la gamme, avec une version 4 roues motrices RS, de 340ch. L’Elroq dispose des nouveaux codes stylistiques de la marque, avec une calandre affinée par rapport au reste de la gamme, et des feux à double étage. Cette version RS ajoute son lot d’artifices, avec des boucliers plus agressifs, des éléments de carrosserie en noir glossy, et de superbes jantes en 21 pouces. Le client pourra opter pour cette nouvelle teinte de carrosserie, vert Mamba. La présentation intérieure est tout aussi soignée, avec de la suédine sur les sièges et la planche de bord, des touches d’aluminium, et des inserts type carbone. La petite instrumentation de 5 pouces, le grand écran central tactile de 13 pouces, les sièges électriques et massants, ou le système audio à 12 haut-parleurs, le client sera gâté, surtout s’il opte pour le pack Maxx. Le Skoda Elroq RS, avec ses 4.49m de long, propose un coffre de 470 litres. Au niveau mécanique, on retrouve donc la double motorisation électrique de 340ch, déjà disponible sur son grand frère, l’Enyaq RS. Dotée d’une batterie de 84kWh (79kWh net), il peut parcourir 550km, selon le cycle WLTP. La batterie encaisse une charge de 185kW, permettant de passer de 10 à 80% de capacité, en 26mn. Avec un 0 à 100km/h effectué en 5.4s, Skoda a modifié le châssis, avec des suspensions abaissées de 15mm à l’avant et de 10mm à l’arrière, la dote d’un amortissement piloté DCC, et d’un système de freinage renforcé.


06 Avril 2025 : Après le lifting du Renault Espace, on pouvait s’attendre au même résultat pour l’Austral millésime 2025. On retrouve donc cette face avant plus anguleuse, au niveau du bouclier notamment. La nouvelle calandre arbore une multitude de losange, le bloc phare principal s’est affiné, et les feux de jours en demi-losange, font leur apparition. Même topo à l’arrière, avec de nouveaux feux type glaçons, et un hayon redessiné. Au niveau des bas de caisse, on note la présence d’une petite lame, censée protéger les ailes arrière, de certaines projections. A bord, Renault a travaillé sur de nouvelles teintes et matériaux, les sièges ont été redessinés, et comme dans l’Espace, une petite caméra, placée au niveau du montant du pare-brise, dispose d’une reconnaissance faciale. Cela permet d’adopter les réglages adéquates, en fonction du conducteur. Modifications au niveau de l’amortissement, les joints de portes, les supports moteurs, et le vitrage feuilleté, Renault a apparemment amélioré le confort de son SUV compact. Pour finir, il faut savoir que ce Renault Austral, ne proposera qu’une seule motorisation. On note donc la disparition des blocs micro-hybrides de 130 et 160ch. C’est le bloc full Hybrid de 200ch, qui reste au catalogue, puisqu’il représente près de 95% des ventes.


05 Avril 2025 : Le « Seoul Mobility Show 2025 » a ouvert ses portes ce week-end. Hyundai profite de l’occasion pour présenter le nouveau visage de son Ioniq 6. La berline dynamique, sortie en 2022, connaît donc son premier lifting, avec un style qui s’affirme un peu plus. La face avant est totalement redessinée, avec une signature lumineuse très fine à la base du capot, et un bloc phare principal discret, qui intègre le bouclier. Justement, ce bouclier est entièrement remanié dans son dessin, aussi bien à l’avant, qu’à l’arrière. Vous pouvez opter pour la finition N-Line, qui se pare d’éléments, encore plus agressifs. Les bas de caisse sont plus larges, et le pare-choc arrière, est de couleur sombre. On note également le becquet en forme de queue de canard. Dans l’habitacle, la planche de bord, déjà très moderne, n’évolue pas, mais Hyundai a décidé d’améliorer l’ergonomie, en ajoutant quelques boutons physiques, sur la console centrale. Cela concerne les sièges et le volant chauffant, les commandes vitres, et les aides au stationnement. Hyundai n’annonce pas d’évolutions techniques, avec un véhicule qui repose toujours sur une plate-forme 800V, disposant d’une batterie de 77kWh, et d’une puissance de 229ch pour la version propulsion, et de 325ch pour la 4 roues motrices. Néanmoins, si vous analysez les photos, vous remarquerez le premier cliché de la future version N. On attend une puissance approchant les 650ch, et un panel d’éléments aérodynamiques, supplémentaire.  


04 Avril 2025 : Hyundai présentait il y a quelques mois, un drôle de prototype à châssis tubulaire, doté de la mécanique du Ioniq 5N, dénommé RN24. L’idée semble faire son chemin dans la tête des ingénieurs coréens, sans doute inspirés par Renault, et sa monstrueuse R5 Turbo 3E. Hyundai dévoile donc ce deuxième prototype, qui se présente sous la forme, d’un Inster bodybuildé. D’ailleurs, son patronyme est évocateur. Il s’agit du Hyundai Insteroid, un concept-car, qui rappelle le monde du rallye des années 80, avec les fameuses groupe B. L’Insteroid sera bien évidemment électrique, et on suppose qu’il s’agit encore du bloc du Ioniq 5N, qui crache 650ch. Ailes élargies à l’extrême, pneus surdimensionnés, prise d’air sur le toit, énorme aileron sur le hayon, et diffuseur tout aussi impressionnant, le look est très suggestif. L’habitacle est totalement dépouillé, à l’image d’un véhicule de rallye, et on note la présence d’une instrumentation minimum, et d’une étrange figurine rappelant le jeu Pac-Man, juste au-dessus de la colonne de direction. Connaissant l’audace du constructeur coréen, il n’est pas impossible de retrouver sur la route, dans un ou deux ans, un véhicule de série assez dingue. Un étrange système audio dans le coffre, a pour mission, de fournir le son d'un moteur thermique. 


03 avril 2025 : Les crises politiques et économiques, commencent fortement à se faire sentir, sur le marché automobile français. Depuis le début de l’année, tous les grands groupes sont à la peine, avec des immatriculations en baisse de 7.83%. Attention, Renault et Volkswagen, réussissent néanmoins, à faire mieux qu’au premier trimestre 2024. Mais on va surtout s’intéresser au mois de mars, qui n’a épargné personne. Renault s’en sort avec les honneurs, avec une baisse de -0.66% pour la marque au losange, et une baisse de -0.99% pour le groupe, si on ajoute Alpine (+111.34%) et Dacia (-3.70%). Volkswagen réduit les dégâts, avec une baisse des ventes de -3.53% pour la marque, et de -4.83% pour le groupe. Suzuki connaît une baisse de -8.52%, et Nissan, de -10.67%. Pour les autres, c’est la dégringolade, avec le groupe Stellantis qui voit ses ventes diminuer de -17.06%. Peugeot est à -6.67%, mais c’est surtout Fiat (-54.57%), Opel (-35.28%) et Citroën (-20.13%), qui font plonger le groupe. Toyota n’est pas au mieux, avec une baisse de -15.89%. Le groupe Hyundai/Kia est également dans le dur, avec -28.14%. Ford, la marque généraliste par excellence, perd encore du terrain chez nous, avec -31.20%. BMW, Mini et Rolls-Royce, font un plongeon de -33.02%, et c’est encore pire pour le groupe Daimler (Mercedes et Smart), avec -48.41%. Le groupe Geely, comptant principalement la marque Volvo, est à -59.62%. Le groupe Tata (Jaguar et Land-Rover) devient à peu près inexistant en France, avec une baisse de -97.11%. Pour Tesla, la baisse des ventes était prévisible, avec -36.83% pour le mois de mars. Bref, avec les incertitudes politiques et financières, les Français ont repris leur bonne habitude, épargner en attendant des jours plus heureux.    

 

La Renault Clio est toujours en tête des ventes en France


02 Avril 2025 : Les américains font souvent les choses en grand, et parfois même, avec excès. Il y a quelques mois, Cadillac présentait son monstrueux SUV électrique, IQ. La marque en remet une couche, avec une version IQL, carrément hors norme. Le véhicule prend 10cm en longueur, et mesure à présent 5.80m. La lunette arrière est plus verticale, afin d’améliorer l’habitabilité au dernier rang. Le véhicule est toujours aussi haut avec ses1.93m, et large, avec ses 2.17m. L’habitabilité est ultra généreuse pour les 7 passagers, et c’est indiscutable. Les passagers pourront profiter d’une multitude d’écrans, totalisant 55 pouces. Le système audio AKG à 42 haut-parleurs avec fonction Dolby Atmos, améliore l’expérience. Les deux moteurs électriques développent une puissance cumulée de 761ch pour un couple de 1064nm. Le Cadillac IQL dispose de la plus grosse batterie, sur le marché automobile, avec une capacité de 205kWh. Avec le luxe qui vous entoure, et une batterie de ce type, le véhicule frise tout simplement les 4 tonnes. Le problème, c’est qu’un tel poids, demande énormément d’énergie, quand on sollicite ce véhicule (0 à 100km/h en 5.0s). Le véhicule peut parcourir 720km maximum sans escale, mais on s’attendait à mieux sur ce point. Pour les véhicules électriques, le but est de trouver le bon compromis, entre grosse batterie (donc poids titanesque) et consommation d’énergie. Pour recharger cet engin, il faudra attendre 30 heures sur une prise de 7kW, 13 heures sur une prise de 19kW, et 50mn, de 10 à 80%, sur une charge rapide 350kW. N’oublions pas que cet IQL, pourra alimenter votre maison en énergie. La capacité de chargement de 686 litres, en configuration 7 places, et les 3546 litres, quand vous rabattez toutes les banquettes, vous rendront pas mal de services. On peut aussi compter sur le frunk de 345 litres, sous le capot avant. Si vous ne trouvez pas encore ce monstre, assez lourd, vous pourrez tracter 3.4 tonnes supplémentaires.   


01 Avril 2025 : L’autonomie, c’est le premier argument de vente, concernant les véhicules électriques, et ce critère est capital, surtout pour les citadines, souvent limités sur ce point. La Renault R5 Electric 150ch, annonce une autonomie de 410km, avec sa grosse batterie de 52kWh. C’était aussi le cas de la Peugeot e-208 et de l’Opel Corsa-e, ses premières concurrentes sur notre marché. Stellantis veut prendre l’avantage, et modifie donc, ses deux modèles. Pour la Peugeot e-208 156ch, l’ancienne batterie de 51kWh brut disparaît, remplacée par l’unité de 54kWh, brut déjà disponible sur la e-308 ou le e-2008. L’autonomie est de 433km, un score très confortable pour ce type de véhicule. L’Opel Corsa-e 156ch, propose étrangement, une autre solution. Elle garde sa batterie de 51kWh brut, mais le constructeur a modifié la chimie de cette dernière, permettant une baisse des consommations. L’autonomie atteint les 429km.


31 Mars 2025 : Vous pensez peut-être que la Chine n’est pas encore prête à investir la catégorie des voitures de luxe. Ce n’est évidemment pas le cas. Ce Denza N9 en est la démonstration parfaite. Et cette marque, c’est du solide, puisque la maison mère, s’appelle BYD, le groupe qui n’arrête pas de monter. La filiale premium Denza, dévoile donc son SUV premium, qui n’aura aucun mal à venir titiller des modèles aussi prestigieux que le Range-Rover Classic, ou un véhicule plus exotique, comme le Lincoln Navigator. Ce monstre de 5.26m de long, et 2.03m de large, peut engloutir 7 passagers, dans un confort royal, surtout avec son empattement de 3.20m. Cet engin fait appel à une motorisation hybride rechargeable, qui se compose, d’un 4 cylindres 2.0L Turbo, et de trois moteurs électriques, alimentés par une batterie de 47kWh (165km en mode zéro émission). La puissance cumulée atteint les 920ch, permettant à ce mammouth, un 0 à 100km/h en 3.9s. Une version 100% électrique, est également au programme, avec une puissance qui devrait atteindre les 965ch. Enfin, côté sécurité active, c’est sans doute un des véhicules les plus assistés au monde. On compte autour de cette carrosserie, 14 caméras, 5 radars à ondes millimétriques et un Lidar, pour ce système DiPilot300, aussi appelé « Eye of God ».  


29 Mars 2025 : MG s’apprête à dégainer son tout nouveau SUV compact électrique. Nous venons tout juste d’essayer le nouveau MG ZS, qui sera maintenant disponible, uniquement en version full Hybride. Il fallait donc un modèle, qui puisse pallier l’absence du ZS EV 100% électrique. On vous présente donc ce MGS5 EV, qui débarquera en Europe dès le deuxième trimestre de cette année. Il reprend la plate-forme MSP, de la berline compacte, MG 4. On a donc affaire à une architecture propulsion, qui devrait lui donner un certain dynamisme à la conduite. Deux motorisations électriques sont au programme. Pour commencer, on peut choisir la version de 170ch et 250nm de couple, associée à une batterie de 47.1kWh net (Autonomie de 340km et puissance de charge de 120kW en courant continu). On peut monter en gamme, et opter pour un bloc de 231ch et 350nm de couple, avec batterie de 62.1kWh net (Autonomie de 480km et puissance de charge de 139kW). Avec ses 4.48m de long, le MGS5 EV propose un espace habitable très confortable à l’arrière, grâce à son châssis dédié au véhicule électrique, et son empattement de 2.73m. La capacité de chargement n’est pas extraordinaire avec ses 453 litres, mais c’est dû à la présence du moteur, sur l’essieu arrière. La planche de bord s’équipe d’un grand écran tactile de 12.3 pouces, et d’une instrumentation numérique de 10 pouces, qui semble bien lisible et intégrée. Côté look, le MGS5 EV a un petit air de famille avec son grand frère, le Marvel. Bien sûr, côté équipements, MG met le paquet, comme à son habitude, avec une conduite semi-autonome, toutes les fonctionnalités téléphone, un GPS connecté ou une surveillance des angles-morts. Ce SUV compact électrique ne souhaite pas révolutionner la catégorie, sauf peut-être, côté tarif. Pour le savoir, il faudra encore attendre quelques jours.


28 Mars 2025 : Nous vous l’annoncions il y a quelques mois déjà, les nouvelle Audi A5 et A5 Avant, remplacent dans la gamme, l’Audi A4, l’Audi A4 Avant, et l’Audi A5 Sportback. Portant un chiffre impair, ce modèle disposera de motorisations thermiques essence ou diesel, micro-hybrides, avec le 2.0TFSi et 2.0TDi de 204ch, et un V6 3.0TFSi de 367ch. Néanmoins, la marque aux anneaux prévoyait, de proposer deux versions hybrides rechargeables, dont on peut découvrir à présent, les nouvelles caractéristiques techniques. L’Audi A5 e-Hybrid, dispose donc, d’un bloc essence 4 cylindres 2.0L Turbo de 252ch, et d’un moteur électrique de 143ch. Audi propose deux niveaux de puissance, soit 299ch (450nm de couple) ou 367ch (500nm de couple). Le moteur électrique intègre la boîte de vitesse S-Tronic. Il est alimenté par une énorme batterie de 25.9kWh brut (20.7kWh net). Cela permet une autonomie très confortable de 109km en mode zéro émission selon le cycle WLTP, à une vitesse maximum de 140km/h. Cette batterie, de type Cell-to-pack, encaisse une charge de 11kW en courant alternatif. Pas de charge rapide en courant continu, selon les premières données. Elle prend également un peu de place dans cette Audi A5. On rappelle que la plate-forme PPC, propose la transmission intégrale, mais avec cette batterie en plus, le coffre se veut assez petit. Par rapport à une version micro-hybride, la capacité de chargement de ces versions PHEV, passent de 445 à 331 litres pour la berline, et de 476 à 361 litres, pour le break. En Europe, elle sera disponible à partir de 62 150€ pour la version de 299ch. Pour disposer des 367ch, il faudra ajouter environ 12 000€.    


27 Mars 2025 : Si vous avez les moyens de vous payer un des coupés les plus chers et les plus puissants du monde, alors pourquoi pas amplifier le plaisir, et opter pour une version découvrable ? Chez Aston-Martin, on peut donc choisir la fabuleuse Vanquish et son fabuleux V12, mais également ajouter la prestigieuse appellation « Volante », qui désigne certains cabriolets de la gamme, depuis 60 ans. L’Aston-Martin Vanquish Volante se dévoile donc, et on peut dire qu’elle a une sacrée gueule. On vous avait déjà parlé de ce style lors de la sortie du coupé. La face avant monstrueuse, les nombreux galbes de profil, et cette poupe inédite, avec nouvelle signature lumineuse, elle attire immédiatement les regards. La version « Volante » ajoute encore une dose de charme, surtout quand vous rangez le toit en toile dans le coffre. L’opération prend seulement 16 secondes, tout en roulant à 50km/h maxi. Vous pourrez alors pleinement profiter du V12 5.2L Bi-Turbo de 835ch et 1000nm de couple, qui envoie toute sa puissance au train arrière, grâce à la boîte automatique ZF à 8 rapports. Le surpoids de cette version cabriolet, est de 95kg. Malgré les 1880kg de l’engin, le 0 à 100km/h est effacé en 3.4s, et la bête croise à 345km/h. Afin de maîtriser au mieux l’engin, on dispose d’un différentiel à blocage électronique, de suspensions pilotées Bilstein DTX, et de disques de frein en carbone céramique, avec étriers 6 pistons, à l’avant. Le niveau de luxe à bord, est une évidence pour une Aston-Martin, où le cuir et l’alcantara, règnent en maître. Le système audio Bowers&Wilkins 15HP est de série. Mais certains clients ajouteront sûrement l’option échappement en titane, afin de jouir d’un autre type de musique. On peut également faire appel au département spécial Q, qui vous permet de personnaliser votre véhicule, à l’envie.


26 Mars 2025 : Nissan doit absolument remonter la pente en Europe. C’est sans doute, son ancien partenaire Renault, qui va sauver les meubles. Le but, est de développer, au plus vite, une gamme cohérente de véhicules électriques. Trois projets sont en étude, à commencer par le Nissan Juke EV, dont on ne connaît pas encore la plate-forme, les données techniques ou le style. Concernant le deuxième modèle, c’est la Micra de nouvelle génération. La petite citadine empruntera les dessous techniques de sa cousine, Renault 5 Electric. On s’attend évidemment à un design spécifique, mais on aura toujours droit à la même gamme de motorisation avec des puissances de 95, 120 ou 150ch, associée à une batterie de 40 ou 52kWh. Mais c’est surtout le renouvellement de la Leaf, qui pourrait relancer la marque. On se rappelle, qu’au début des années 2010, c’était elle, la voiture électrique, la plus vendue dans le monde. Elle ne connaîtra plus jamais ce type de gloire, mais Nissan annonce une Leaf de troisième génération, disposant de belles aptitudes. Elle devrait reprendre la plate-forme CMF-EV du Nissan Ariya et futur Alpine A390. Le constructeur annonce déjà un coefficient de pénétration dans l’air de 0.25, une longueur de 4.35m (15cm de moins qu’aujourd’hui), et une autonomie de 600km au maximum, selon le cycle WLTP. On peut déjà admirer la face avant, avec ce style classique mais moderne, qui conviendra au plus grand nombre. Cette Nissan Leaf III sera commercialisée sur toute la planète, à l’exception de la Chine. Le but, est d’amortir évidemment, les frais de développement, en faisant un maximum de volume. Si la future Micra Electric doit être fabriquée dans l’usine Renault de Douai, en France, la nouvelle Leaf, elle, prendra ses quartiers en Angleterre, dans l’usine de Sunderland.  


25 Mars 2025 : Le groupe Stellantis peut se féliciter, de son partenariat avec le constructeur chinois, Leapmotor. L’industrie automobile européenne, a bien dix ans de retard, dans la conception de véhicules électriques. Conception de plates-formes, fabrication de batteries, logiciel dédié, usine moderne et adaptée, la Chine est sur une autre planète. Pour rester dans la course, le partenariat et les partages de technologies, deviennent obligatoires. Stellantis a donc mis son orgueil occidental de côté, en signant, il y a déjà un moment, la responsabilité de la commercialisation des véhicules Leapmotor, sur le vieux continent. Afin de contourner les taxes douanières, appliquées aux véhicules électriques provenant de Chine, Leapmotor et Stellantis s’apprêtent à investir près de 200 millions d’euros en Europe, en construisant une usine. Après des discussions avec l’Allemagne ou la Slovaquie, c’est certainement l’Espagne qui rapportera la mise. Stellantis vise la région de Saragosse pour implanter cette nouvelle usine. Subventions intéressantes concernant les énergies propres, et coûts salariaux acceptables, reste à savoir, quel modèle de la gamme, y sera fabriqué. On rappelle que Leapmotor propose déjà sa petite citadine T03 et son SUV familial C10, sur notre marché. Le C10 pourrait disposer à moyen terme, d’une motorisation hybride rechargeable, moins taxée à la douane. Enfin, le constructeur mise également beaucoup, sur son tout nouveau SUV compact, le B10.  


24 Mars 2025 : Sur le marché chinois, le MG 4 évolue grandement. Cette nouvelle mouture n’est pas destinée à l’Europe, les attentes clients, n’étant pas les mêmes sur les deux continents. Cette nouvelle MG 4 se dote d’une nouvelle plate-forme, avec une nouvelle architecture, plaçant le moteur, à l’avant. On a donc affaire à une traction. Le véhicule est bien plus grand avec 4.40m de long (+11cm), plus large de 6cm, et plus haut de 5cm, et son empattement est de 2.75m (+4cm). Le MG 4 chinois sera donc, bien plus vaste et confortable, mais le style perd en originalité. Plus de rondeurs, des arêtes de carrosserie moins tranchantes, des feux avant et arrière bien plus classiques dans leur dessin, et des boucliers moins agressifs, le véhicule paraît beaucoup plus sage. Le constructeur ne dévoile pas totalement la fiche technique, mais on parle d’un moteur électrique de 163ch et d’une batterie LFP de la société chinoise, Rept Battero Energy. Malgré des dimensions en forte hausse, MG semble avoir travaillé sur le poids de sa nouvelle compacte familiale. Par rapport à la version Européenne, cette nouvelle mouture a perdu environ 130kg sur la balance, avec ses 1485kg.


21 Mars 2025 : Deux ans seulement après son lancement, le Renault Espace VI profite déjà d’un gros lifting. En gros, il ressemble de mois en moins à un Austral, et se rapproche du modèle le plus haut de gamme du losange, le Rafale. Les changements sont donc nombreux, avec un capot moins bombé, un bouclier avant totalement remanié, des feux Led adaptatifs plus fins, et une signature lumineuse en demi-losange, comme sur les dernières créations de la marque. La calandre est également entièrement nouvelle, mais le maillage n’est pas aussi stylé que sur le Rafale. De profil, certains éléments comme les bas de caisse sont modifiés, mais ça reste très discret. La poupe est revue de fond en comble, avec un tout nouveau hayon, et des feux d’un nouveau genre, type « Ice Cube ». Le Renault Espace était déjà un véhicule ultra-moderne, avec son système multimédia OpenR Link développé avec Google. Côté confort, Renault la dote de sièges avant plus enveloppants, l’insonorisation est améliorée grâce de nouveaux joints de portières et un vitrage feuilleté, et le toit panoramique opacifiant Solar Bay équipe à présent l’Espace. L’Espace se pare également, d’une petite caméra dans le montant gauche du pare-brise. Cette dernière reconnaît le conducteur, effectue les réglages nécessaires à son bien-être (Position de conduite, radio, applications Google préférées), et surveille son état de fatigue. Sous le capot, la marque au losange mise toujours sur son bloc full hybride 1.2 Turbo, qui développe 200ch, associé à une batterie de 2kWh et une boîte multimode à crabots. Sur la finition Esprit Alpine et Iconic, ce Renault Espace VI millésime 2025, profite du système 4 Control Advanced (4 roues directrices).   


21 Mars 2025 : BYD passe la vitesse supérieure, en concevant une toute nouvelle architecture et une batterie de nouvelle génération. La « Super e-Platform 1000V » va assommer la concurrence, avec un véhicule à haut-voltage, pouvant encaisser 1000kW de charge. Bien évidemment, le constructeur chinois ne nous dévoile pas encore les données techniques de ces nouvelles technologies. Pour vous donner un ordre d’idée des performances du système, l’ensemble peut récupérer 470km d’autonomie en deux minutes. Cela veut dire, qu’une seconde de charge, représente 2km. Bien sûr, le réseau n’est pas adapté à cette nouvelle génération de véhicule, avec une puissance de charge maximum de 500kW dans le meilleur des cas. BYD souhaite donc, développer son propre réseau, avec près de 4000 bornes de recharges ultra-rapide, en Chine. Les futurs blocs électriques ne sont pas en reste, et peuvent atteindre une puissance approchant les 1100ch. L’Europe profitera également des bienfaits de la marque, avec l’ouverture prochaine, d’une troisième usine sur le vieux continent.


20 Mars 2025 : La conjoncture économique mondiale, affecte clairement le secteur automobile. Certains constructeurs sont en difficulté, et on va commencer par la filiale européenne de Ford. La marque à l’ovale, est le seul constructeur américain à avoir véritablement percé sur notre marché. Il s’est installé sur le vieux continent (Cologne en Allemagne) à la fin des années 60, et a réussi à imposer des modèles iconiques, comme la Fiesta, la Focus ou la Mondeo. Stratégiquement parlant, Ford Europe, a très mal géré son passage au tout électrique. La Ford Mustang Mach-E est un échec cuisant, tout en écorchant l’appellation mythique, de la célèbre Muscle-car. La marque semble faire la même erreur, avec la Capri. Cette dernière est à présent, un SUV coupé 100% électrique. Elle vient seconder l’Explorer EV. Ces deux véhicules, reprennent la base technique des Volkswagen ID4 et ID5, pour des raisons de coût de développement. Pire encore, la très populaire Fiesta a disparu du catalogue. Le SUV urbain Puma, ne pourra clairement pas remplacer la citadine compacte dans la gamme, à cause de ses tarifs, bien moins avantageux. La Focus connaîtra certainement le même sort dans les mois qui viennent. Résultat, la dette de Ford Europe à la fin 2024, était de 5.8 milliards d’euros, en partie comblée par FMC (Ford Motor Company).

    Politique et affaire ne font pas bon ménage. On revient rapidement sur les déboires de Tesla et de son sulfureux patron. La capitalisation boursière a fondu. La chute est de 900 milliards de dollars depuis décembre 2024, avec une action qui est passé de 488$ à 220$. Attention, l’action est encore aujourd’hui, largement surcoté. Certaines concessions se font incendier, les véhicules des particuliers sont vandalisés, et les ventes sont catastrophiques en Europe, mais aussi aux Etats-Unis. Certains propriétaires de Tesla, souhaitent au plus vite, se débarrasser de leur véhicule, mais la côte en occasion, s’effondre. Tesla doit faire également, avec les nombreux mouvements syndicaux, en Allemagne. On rappelle que les syndicats, sont très impliqués dans la gestion d’une entreprise en Allemagne. Ce n’est pas le cas chez Tesla. Les salariés en arrêt-maladie (17% du personnel) accusent l’entreprise, de vouloir violer le secret médical, en les forçant à dévoiler leurs diagnostics médicaux. Pression constante sur le lieu de travail, contrôles nombreux et inopinés des arrêts-maladies, retenues sur salaire en cas de conflit, l’ambiance est très lourde dans la gigafactory allemande, depuis le soutien d’Elon Musk, au parti d’extrême droite AFD. Les actionnaires commencent également à montrer leur mécontentement, et attendent avec impatience, le vote qui pourrait maintenir ou destituer Elon Musk, de son poste de directeur général. Cette réunion devrait avoir lieu, en juin.

     Pour finir, on fait le point sur la production automobile française. On a construit sur le territoire, en 2024, 1.34 million de véhicules. Si on met de côté, l’année 2020, fortement impactée par l’épidémie de Covid 19, ce résultat est le plus désastreux depuis la démocratisation de la voiture, dans les années 60. Cela prouve encore une fois, la lente désindustrialisation de la France. On rappelle qu’en 2019, la production totale était de 2.2 millions de voitures, sur notre territoire. Ca représente donc une baisse de 41% en seulement cinq ans. Le groupe ayant le plus reculé, ces dernières années, c’est évidemment Stellantis (565 000 véhicules produits en France). Restructuration de la gamme, transition électrique compliquée, baisse des ventes, montée en gamme permanente, le constructeur italo-franco-américain, a clairement délocalisé la production de ses véhicules d’entrée de gamme, hors de la Métropole.   


19 Mars 2025 : Les véhicules électriques, seront-ils un jour intéressants, pour une clientèle de passionnés ? MG, constructeur chinois maintenant bien implanté en Europe, le croit fermement. Il y a quelques mois, la marque nous dévoilait son Cyberster, un cabriolet bi-place 100% électrique, 4 roues motrices, disposant d’une double motorisation de 510ch et 725nm de couple. Ce monstre est capable d’abattre le 0 à 100km/h en 3.2s, et croise paisiblement à 200km/h. Sa batterie de 77kWh, lui permet de parcourir 443km selon le cycle WLTP. Afin d’abaisser le ticket d’entrée, ce MG Cyberster s’offre à présent, une version deux roues motrices. Cela permet également à cette sportive, de perdre 100kg sur la balance (1885kg au total tout de même). La puissance est de 340ch pour un couple de 475nm. Les performances sont en retrait, avec un 0 à 100km/h en 5.0s et une vitesse de pointe de 195km/h, mais les sensations devraient néanmoins être au rendez-vous. Avec une batterie inchangée, l’autonomie passe à 507km. On rappelle que cette dernière, encaisse une charge de 11kW en courant alternatif, et de 144kW en courant continu. Le style est toujours aussi racé, malgré des jantes qui passent de 20 à 19 pouces. De nombreuses teintes de carrosserie sont au catalogue, dont trois nouvelles, avec le « Modern Beige », le « Irises Cyan » ou le « Cosmic Silver ». A bord, le client peut choisir entre une ambiance Grise et Noire ou Rouge et Noire. La liste des équipements est toujours aussi intéressante, avec un régulateur de vitesse adaptatif, une caméra à 360° avec surveillance des angles-morts, un maintien dans la voie actif et un système audio Bose 8HP. Le conducteur est privilégié, et se retrouve en face d’une instrumentation de 10.25 pouces, et de deux écrans supplémentaires de 7 pouces. Le MG Cyberster 2WD sera disponible en Europe, à partir de 62 990€, soit un gain de 5000€ par rapport à la version 4WD.


18 Mars 2025 : Petite évolution dans la gamme du constructeur au lion. Les Peugeot 308, 308SW et 408, profitent enfin du nouveau bloc hybride rechargeable, 1.6 Generation 3. Les 308 et 308SW, se contentait depuis déjà un moment, de l’ancien bloc 1.6PHEV de 180ch avec batterie de 12.4kWh brut, et boîte EAT8 d’origine Aisin. Le nouveau bloc développe lui, une puissance de 195ch, la batterie dispose d’une capacité de 17.2kWh brut, et on a droit à la nouvelle boîte Punch Powertrain e-DCS7. L’autonomie en mode zéro émission, passe de 65 à 85km. Dommage, le coffre perd en capacité de chargement, en passant de 361 à 324 litres pour la berline, et de 548 à 510 litres, pour le break. Même topo pour la Peugeot 408. Cette berline surélevée remplace son bloc 1.6PHEV de 225ch, par le nouveau bloc de génération 3, de même puissance. Même batterie de 17.2kWh, même boîte Punch Powertrain, l’autonomie électrique est de 84km. Encore une fois, le coffre est un poil plus petit, avec une capacité de chargement qui passe de 471 à 418 litres.


17 Mars 2025 : Renault nous dévoile un peu plus, la fiche technique de sa future R5 Turbo 3E. On le sait maintenant, cette dernière reposera sur une plate-forme spécifique, évidemment très chère à développer. Le châssis est donc en aluminium, et la carrosserie, en carbone. Ce véhicule sera fabriqué à 1980 exemplaires, et disposera d’une double motorisation révolutionnaire. Il faut donc s’attendre à un tarif, dépassant allègrement les 200 000€. Bref, les deux moteurs électriques, sont intégrés aux roues arrière. Si c’est effectivement le cas, il s’agira d’une première, pour un véhicule de série. La fiabilité sera cruciale pour cette Renault 5 Turbo 3E, qui ne se refuse rien. La puissance de 540ch et le couple de 4800nm, sur le train arrière, ont de quoi effrayer. Renault annonce un raisonnable 3.5s de 0 à 100km/h pour le moment, un 1000mDA en 20.0s, et une vitesse de pointe de 270km/h. Le monstre pèsera 1400kg, disposera d’une répartition du couple parfaite, sur les deux roues arrière selon le constructeur, d’un centre de gravité très bas, et sera alimentée par une batterie de 70kWh. Cette unité encaissera une charge de 350kW en courant continu, soit une recharge de 15 à 80%, en 15mn. Pratique pour les sorties circuits. Elle se contentera de 11kW en courant alternatif. En conduite normale, Renault annonce une autonomie de 400km selon le cycle WLTP. Longue de 4.08m et large de 2.03m, on retrouve quelques pièces de la Renault 5 E-Tech. On parle des rétroviseurs, des feux arrière, du pare-brise, et des poignées de porte (pas encore installées sur ce concept). Sa production débutera en 2027, dans l’usine Renault de Cleon, en Normandie. La marque au losange, nous dévoile également, quelques photos de l’habitacle, avec une double dalle numérique de 10 pouces, un graphisme spécifique pour l’instrumentation, un frein à main électro-hydraulique, des sièges baquets personnalisables, un arceau, et un coffre généreux.   


17 Mars 2025 : Toyota vient tout juste de lancer, son premier C-HR 100% électrique. Il s’agit d’un SUV coupé, qui vient seconder le SUV familial, bZ4X. Ce dernier connaît une petite remise à jour esthétique, et profite des dernières évolutions techniques du C-HR+. On remarque une face avant remaniée, avec la signature lumineuse en boomerang, un bouclier légèrement redessiné, et des passages de roue en noir laqué, qui abandonne le plastique brut. Dans l’habitacle, l’écran central tactile passe de 12.3 à 14 pouces, et on a droit à deux chargeurs de smartphone, par induction. Sous le capot, le constructeur nippon propose une nouvelle entrée de gamme, qui se dote d’une motorisation électrique de 167ch (traction). Elle sera associée à une batterie de 58kWh. Le modèle traction de milieu de gamme de 204ch, développe à présent 224ch, et se dote de la nouvelle batterie de 73.1kWh, promettant une autonomie de 573km, soit un gain de 60km. Enfin, le modèle le plus huppé, dispose d’une double motorisation de 343ch, toujours associée à la batterie de 73.1kWh. Toyota propose un planificateur d’itinéraire, un pré-conditionnement de la batterie avant la charge, et d’un chargeur de 22kW dès le deuxième niveau de puissance. La batterie peut encaisser une charge de 150kW, en courant continu. Pour relancer une carrière en demi-teinte, le Toyota bZ4X millésime 2025, mise également, sur une garantie de 10 ans ou un million de kilomètres, concernant la batterie.   


14 Mars 2025 : Mercedes présente officiellement sa nouvelle entrée de gamme, la berline coupé 4 portes CLA, de troisième génération. Il faut savoir que le Classe A et Classe B, disparaîtront de la gamme, ces deux modèles ne faisant recette qu’en Europe. La marque à l’étoile frappe fort, avec ce CLA III, qui dispose de la toute nouvelle plate-forme MMA (Mercedes Modular Architecture), avec un châssis multi-énergie et une architecture construite autour du logiciel. Ce véhicule mesure à présent 4.72m (+4cm), est légèrement plus large (+2cm) et plus haut (+1cm), et son empattement est majoré de 6cm. Malgré une base technique totalement renouvelée, le design est immédiatement reconnaissable, et s’inspire de la génération précédente. On note tout de même, cette calandre rétro-éclairée par une multitude d’étoiles, cette signature lumineuse traversante en partie haute, et les feux arrière stylés, avec toujours l’étoile à l’honneur. Dans l’habitacle, on retrouve le MBUX Supersreen, avec une instrumentation de 10 pouces, un écran central de 14 pouces, et un écran supplémentaire de même taille, pour le passager. Ce véhicule fait appel à l’intelligence artificielle de Microsoft et de Google, afin d’être compatible avec le maximum d’applications. Ce Mercedes CLA souhaite tout simplement, être le véhicule le plus technologique du marché. Le constructeur a soigné également la présentation, avec des matériaux de qualité,  aux quatre coins de l’habitacle, et le CLA dispose d’un coffre de 405 litres, secondé par un frunk de 101 litres. Au niveau mécanique, cette nouvelle plate-forme accueille une batterie NMC de 85.5kWh, avec un bloc moteur électrique de 272ch sur le train arrière. On nous promet une autonomie comprise entre 694 et  792km selon le cycle WLTP, et un 0 à 100km/h en 6.7s, pour cette version EQ250+. La version haut de gamme EQ350+, ajoute un bloc supplémentaire sur le train avant. La puissance totale monte à 353ch, et le 0 à 100km/h est abattu en 4.9s. La batterie encaisse une charge de 320kW, permettant de récupérer 300km d’autonomie en 10mn. Bref, Mercedes place la barre très haute, pour contrer le Tesla Model 3, notamment. Enfin, ce CLA sera disponible, un peu plus tard, avec une batterie LFP de 58kWh, afin d’abaisser le ticket d’entrée. La plate-forme MMA multi-énergie, accueillera également une motorisation micro-hybride, composée d’un bloc thermique 1.5L Turbo essence d’origine Geely, d’un électro-moteur de 7ch, et d’une batterie de 1.3kWh. L’ensemble développera 136, 163 ou 190ch.


14 Mars 2025 : Morgan, le célèbre petit constructeur britannique, est encore capable de nous faire rêver. Beaucoup d’entre-nous, ont oublié le vrai plaisir automobile. Garde au sol minimum, position de conduite basse, cabriolet, moteur noble, et légèreté, Morgan nous fait parfois une petite piqûre de rappel. Justement, elle nous présente son nouveau modèle haut de gamme, qui remplacera la « Plus Six ». Cette Morgan Supersport se dote d’abord du nouveau châssis en aluminium CXV. Le cadre du véhicule est également conçu en aluminium, et non plus en bois. Résultat, ce véhicule ne pèse que 1170kg, tout en améliorant la rigidité de la caisse de 10%. Si vous installez la capote rigide, on gagne encore 10% de rigidité. Néanmoins, vous apprécierez vraiment la bête, en faisant uniquement confiance à la capote en toile. Les vitres et panneaux latéraux, prennent place dans la coffre. Oui, cette Supersport dispose d’un coffre, contrairement à son aïeul, qui se contentait d’un porte-bagage. On apprécie comme d’habitude, son ambiance rétro, mais l’habitacle cache tout de même, un chargeur par induction pour votre smartphone, un mini-écran numérique, et la connectivité bluetooth. Et on s’arrête là, pour les technologies embarquées. Si vous êtes un connaisseur, vous aurez sans doute remarqué le boîtier de vitesse, d’origine BMW. Oui, sous le capot, comme dans la « Plus Six », on retrouve le 6 cylindres en lignes de 3.0L, suralimenté par deux turbos, développant 340ch et 500nm. La boîte automatique 8 rapports d’origine ZF est suffisamment efficace, pour propulser la Supersport, de 0 à 100km/h en 3.9s. On peut également vous parler de la direction plus réactive de 13%, des 11 ambiances différentes disponibles à bord, des amortisseurs réglables ou du différentiel en option, du système audio Sennheiser, des jantes 18 pouces « Superlite » de 10.8kg, ou des jantes 19 pouces « Aerolite » de 9.7kg, mais il est temps d’admirer ce véritable joujou sur quatre roues.


13 Mars 2025 : Renault modifie sa gamme, concernant la Megane E-Tech. Ce véhicule, sorti il y a trois ans, connaît une carrière mitigée. Cela est dû à des tarifs élevés, à une habitabilité moyenne, et à une concurrence très bien armée sur ce segment. La marque au losange lui donne un surplus de dynamisme, avec une nouvelle finition Esprit Alpine. Celle-ci prend place entre la finition Techno et Iconic. Le client aura droit à une teinte exclusive « gris schiste », des logos assombris, un badge Esprit Alpine, des sièges Sport, des surpiqûres bleues dans l’habitacle, et de magnifiques jantes de 20 pouces, noir verni. Cette finition sera disponible, uniquement avec le moteur électrique de 220ch et la batterie de 60kWh (468km d’autonomie). D’ailleurs, Renault ne propose pour le moment, que cette motorisation, et travaille sur une nouvelle entrée de gamme, censée remplacer le bloc de 130ch et la batterie de 40kWh. Renault propose enfin, la fonction One Pedal, avec un véhicule capable de s’arrêter complètement, en relâchant la pédale d’accélérateur. La batterie dispose à présent, de la fonction V2L, permettant d’alimenter des appareils électriques. Si vous possédez une borne Mobilize Powerbox, la batterie proposera également la fonction V2G, avec la possibilité, d’injecter de l’électricité sur le réseau, et de la récupérer aux heures creuses. Renault annonce une baisse de 500€ sur la version 220ch Techno, avec un tarif débutant à 39 500€. Attention, cette finition baisse en gamme, avec un écran tactile qui passe de 12 à 9 pouces, la disparition des sièges et volant chauffants, et les jantes sont en 18 pouces, au lieu de 20 pouces.  


13 Mars 2025 : Ca y est, BMW Réunion accueille enfin son nouveau SUV familial premium, la quatrième génération de X3. Sortie en 2003, ce SUV est à présent un modèle emblématique de la marque. Le BMW X3 s’est évidemment modernisé, de génération en génération, et cette dernière mouture est non seulement très luxueuse, mais surtout, ultra-technologique. On reviendra plus en détails sur les nouvelles caractéristiques de ce X3 G45, lors d’un futur essai. Néanmoins, on remarque déjà la signature inédite en double virgule, son style plus massif, son habitacle digne du mouvement « art déco », et son système multimédia androïd OS9, permettant au véhicule, de rester connecter en permanence. Pour les adeptes de la marque, impossible de ne pas parler des motorisations, comptant le bloc diesel 20d de 197ch, l’essence 20 de 208ch, et la version M50 de 398ch. Toutes ces motorisations sont micro-hybride 48V. BMW propose également, l’hybride rechargeable 30e de 299ch. A noter, que toutes les BMW X3, disposeront de la transmission intégrale xDrive.


12 Mars 2025 : Toyota lance son troisième modèle 100% électrique. On a eu droit au bZ4X, il y a déjà trois ans, qui a corrigé ses petits problèmes de jeunesse, et la marque nippone arrive sur le marché des SUV urbains électriques, avec son Urban Cruiser. D’ailleurs, Toyota a très vite abandonné l’appellation bZ, pour ses modèles zéro émission. Le nouvel arrivant reprend un patronyme bien connu. On vous présente le Toyota C-HR+. On connaissait les versions hybrides, et on fait connaissance aujourd’hui, avec le modèle électrique. Et ce nouveau venu, ne repose absolument pas sur la même plate-forme. Pas de bricolage chez Toyota, qui a préféré reprendre la base technique du bZ4X. Cette plate-forme e-TNGA est mieux adaptée à ce type de motorisation. Résultat, le C-HR+ est très différent du C-HR hybride. Le véhicule prend 16cm en longueur, avec ses 4.52m. Son style diffère également, avec une face avant plus classique, mais toujours doté de cette signature lumineuse en « C ». Le profil de coupé est préservé, la poupe hérite d’un bandeau lumineux avec un hayon totalement remanié. L’empattement de 2.75m, annonce une habitabilité en hausse par rapport à la version hybride. Le coffre dispose enfin d’une capacité de chargement honorable, avec ses 416 litres. Dans l’habitacle, on retrouve à peu près l’agencement de celui du bZ4X, avec une petite instrumentation de 7 pouces, en hauteur, et on a droit à un nouvel écran central de 14 pouces, avec commandes de climatisation intégrées. On note la présence d’un double chargeur par induction. Le système multimédia dispose d’un planificateur d’itinéraire, toujours pratique sur le continent. Enfin, côté motorisation, le Toyota C-HR+, propose une entrée de gamme disposant d’un bloc de 167ch (traction) associé à la petite batterie de 58kWh brut (pas d’information sur l’autonomie). On peut opter pour le bloc de 224ch (traction), avec la grosse batterie de 77kWh. Le constructeur annonce une autonomie pouvant atteindre les 600km. Enfin, une version 4 roues motrices, avec une bi-motorisation de 343ch, est également disponible, avec toujours, la grosse batterie de 77kWh. Cette dernière encaisse une charge de 150kW, permettant une recharge de 10 à 80% en 30mn.


11 Mars 2025 : Début de carrière plus que satisfaisant pour la Renault 5 E-Tech, malgré un petit rappel, dû à des bugs électroniques. La marque au losange, sponsorisant le tournoi de Roland-Garros, on pouvait donc s’attendre à une série spéciale. Cette dernière a été dévoilée, il y a déjà quelques mois. Par rapport à la finition la plus haute, Iconic, la Renault 5 E-Tech Roland Garros, ajoute des jantes 18 pouces diamantées, un toit noir étoilé, un stripping de porte spécifique, une sellerie grise pour les sièges, avec du tissu recyclé, de nombreux logo RG, et une planche de bord doté d’une nouvelle garniture. Le client pourra choisir entre trois teintes de carrosserie, avec le blanc nacré, le bleu nocturne, le noir, ou le gris schiste. On dispose de la motorisation la plus puissante, avec le bloc de 150ch, associé à une batterie de 52kWh (410km d’autonomie). Pour se distinguer et profiter de cette R5 haut de gamme, il faudra faire un petit chèque de 36 490€TTC en Métropole (hors bonus écologique), soit 1000€ de plus par rapport à la finition Iconic.


10 Mars 2025 : Les grandes berlines luxueuses n’ont plus la côte en Europe. Peu importe, un constructeur premium, se doit d’en proposer une dans sa gamme, et cela vaut pour Volvo. La nouvelle venue est 100% électrique, et épaulera sa sœur thermique, la S90. Cette inédite Volvo ES90, est une alternative intéressante, face aux BMW i5, Mercedes EQE, ou Audi A6 E-Tron. Ce petit paquebot de la route, mesure 5.00m de long, dispose d’une plate-forme spécifique, et propose un design type coupé 4 portes. D’ailleurs, l’éventuel client, appréciera le hayon, rendant le chargement plus simple (446 à 1256 litres de contenance). Sous le capot avant, un petit frunk de 22 litres, peut accueillir le câble de recharge. Malgré son aspect extrêmement massif, les designers annoncent un coefficient de pénétration de 0.25. Néanmoins, ce score aurait pu être meilleur, mais le véhicule paraît haut sur patte avec ses 18cm de garde au sol, ses grandes jantes de 22 pouces, et son Lidar proéminent sur le toit. Plate-forme SPA2, architecture 800V, l’ES90 accueille trois motorisations et deux types de batterie. On peut choisir la version Single Motor propulsion de 333ch avec batterie de 88kWh net (650km d’autonomie), la Twin Motor 4WD de 449ch avec batterie de 102kWh net (700km), ou la Twin Motor Performance 4WD de 680ch, avec batterie de 102kWh net (700km). Côté recharge, elle encaisse entre 300 et 350kW, promettant de récupérer 300km d’autonomie en 10mn. Les tarifs sont compris en Europe, entre 75 900€ et 98 450€.


07 Mars 2025 : La plupart des constructeurs, ont abandonné le segment A. Il ne reste que le groupe Hyundai/Kia, qui propose sur notre marché, les sympathiques i10 et Picanto. Les marques généralistes européennes, ont décidé de répliquer, mais avec des motorisations 100% électriques. Renault prépare activement, l’arrivée de sa nouvelle Twingo. Un autre géant de l’automobile s’est également mis au travail. Volkswagen, la marque du peuple, a décidé d’élargir sa gamme par le bas, après des années de montée en gamme. Elle nous présente le concept ID.Every1. Ce véhicule préfigure évidemment, une inédite ID1, qui devrait débarquer sur nos routes, en 2027. Petite avec ses 3.88m de long, elle annonce néanmoins une habitabilité convenable, une excellente modularité, et un coffre de 305 litres. Elle repose sur la plate-forme MEBrevo. Par rapport au reste de la gamme ID, cette mini-citadine sera une traction. Le bloc électrique de 95ch, sera associé à une batterie, capable d’une autonomie de 250km minimum. La vitesse de pointe sera bridée à 130km/h. On revient sur l’habitacle de ce concept, avec un accoudoir, qui coulisse jusqu’aux places arrière, une mini-instrumentation devant le conducteur, un énorme écran central, et des couleurs vives, promettant une ambiance joyeuse. On apprécie également le style extérieur très simpliste, composé d’une face avant armée d’une calandre noire avec de gros feux aux extrémités, à l’image d’une Golf de première génération, un large montant C dans la tradition Volkswagen, et une lunette arrière intégrant les feux, comme sur l’ancienne mini-citadine, Up ! Enfin, cette future Volkswagen ID1, sera disponible à moins de 20 000€, en entrée de gamme, à son lancement en 2027.


06 Mars 2025 : Il y a quelques mois, Audi nous dévoilait son A6 e-Tron, disponible en berline ou en break. Il s’agit d’un véhicule 100% électrique, correspondant à la nouvelle nomenclature du constructeur, avec des modèles électriques à chiffre pair et des modèles thermiques à chiffre impair. La marque aux anneaux revient sur sa décision, pour cette nouvelle Audi A6 Avant thermique, ce véhicule disposant d’une image trop importante. L’appeler A7, aurait tout simplement, déconcerté le client. Cette A6 Break, repose donc sur la plate-forme PPC, qui dispose de quelques évolutions par rapport à l’ancienne génération. Le véhicule prend 5cm (4.99m), dû à l’allongement des porte-à-faux. Le style est bien plus agressif qu’auparavant, avec une calandre très expressive, une panoplie d’artifices sur les boucliers avant et arrière, une signature lumineuse toujours plus moderne, des galbes de carrosserie plus prononcés sur le capot moteur et de profil, et un fin bandeau lumineux arrière, indépendant. L’intérieur s’inspire clairement de la nouvelle Audi A5, mais le constructeur a amélioré la qualité des matériaux, pour ce modèle emblématique. Par rapport à sa petite sœur, l’Audi A6 Avant aura également droit à une suspension non pas pilotée, mais pneumatique. Dommage, le coffre perd en capacité de chargement, en passant de 565 litres à 503 litres. C’est peut-être à cause du nouveau système MHEV Plus. Certaines motorisations disposeront donc, de ce système micro-hybride, largement amélioré, qui se compose d’un alterno-démarreur de 24ch et 230nm de couple. Pour ce lancement de carrière, cette sixième génération d’Audi A6 Avant, proposera le bloc 2.0TDi MHEV de 204ch, le 2.0TFSi de 204ch, et le V6 3.0TFSi MHEV de 367ch.


05 Mars 2025 : Géant de l’industrie électronique en Chine, Xiaomi est également un constructeur automobile aujourd’hui. Il y a quelques mois, elle présentait ce modèle le plus haut de gamme, la SU7 Ultra, une berline plutôt ahurissante, quand on analyse sa fiche technique. Oui, après s’être attaqué aux marques généralistes, les constructeurs chinois souhaitent à présent, s’attaquer à de prestigieuses marques européennes, telle que Porsche. La Xiaomi SU7 Ultra dispose de trois moteurs électriques (un à l’avant et deux à l’arrière), développant une puissance totale de 1526ch et un couple de 1770nm. Grâce aux quatre roues motrices, la bête avale le 0 à 100km/h en 1.98s, et la vitesse maxi de 359km/h, est excellente pour un véhicule électrique. Ce monstre détient d’ailleurs, le meilleur temps sur le circuit du Nurburgring. Xiaomi souhaitait écouler 10 000 exemplaires lors de cette année 2025. Finalement, tous les véhicules ont été réservés en deux heures de temps. Le quota est donc atteint, et les premières livraisons débuteront en mars. Il faut dire que son tarif de 70 000€, a de quoi séduire, même en Chine. Son rival, le Porsche Taycan Turbo GT, est disponible en Chine, à partir de 260 000€. La messe est dite pour la marque allemande, qui voit ses ventes décroître, au fil des mois.


04 Février 2025 : Après CFMOTO, VOGE sera certainement le deuxième constructeur chinois, à percer en Europe. D’ailleurs, elle mise beaucoup sur sa nouvelle gamme Midsize, avec l’arrivée pour commencer, de la Voge DS625X. Ce trail se dote d’un bicylindre de 581cm3, développant 63ch, qui sera évidemment disponible, en version A2 (47.5ch). L’équipement comprend entre autres, un écran TFT de 7 pouces, le contrôle de traction, deux prises USB, des protections latérales, un sabot moteur en alu, un contrôle de pression des pneus, ou des commodos éclairés, à un tarif de seulement 6 999€TTC en Europe.

    On retrouve le même bloc moteur, sur le roadster, VOGE 625R. La marque mise beaucoup sur l’équipement de série, aussi intéressant que sur le trail. Pour le moment, son tarif n’est pas connu, mais on peut s’attendre à une vraie claque pour la concurrence.

    Enfin, le constructeur chinois mise aussi sur une inédite sportive. Il s’agit de la VOGE RR660S, qui se pare d’un 4 cylindres de 668cm3, développant 95ch (bridable en A2). Elle se dote d’un amortissement Kayaba, d’un système de freinage signé Brembo, et d’un ABS Bosh, désactivable. On peut ajuster sa position de conduite au niveau des cale-pieds et des bracelets. On peut aussi désactiver le contrôle de traction, et on dispose de deux sonorités au niveau de l’échappement.  


03 Mars 2025 : Le Cybertruck de chez Tesla, n’est évidemment pas un premier prix de beauté. Ce délire de designer, n’a pas convaincu les acheteurs, et les nombreux problèmes techniques, ont fini par mettre à mal, la carrière de cet étrange pick-up. Quand on souhaite voir quelque chose, de plus horrible, il suffit habituellement d’attendre une réalisation du préparateur Mansory. On vous présente donc l’Elongation, avec un Cybertruck, armé de fibre de carbone. Cette matière remplace à un certain nombre de panneaux de carrosserie en acier inoxydable. Inutile de faire de longs discours, puisqu’il suffit de regarder cette monstruosité. Passage de roue frôlant le ridicule, diffuseur arrière, de petits ailerons au niveau de la benne, un capot et un bouclier, également recouvert de cette fibre carbone marbrée, comme pour les rétroviseurs, impossible de passer inaperçu. Cette Mansory Elongation, ajoute même une rampe de LED supplémentaire sur le toit, afin d’attirer un peu plus l’attention. Les jantes noires en 26 pouces, sont assez impressionnantes. Etrangement, l’habitacle a néanmoins été amélioré, avec des teintes blanc et gris, et une multitude de touches jaune fluo. Ca me coûte de le dire, mais l’ambiance semble assez sympa.