Actualités Auto/Moto


17 Octobre 2025 : Le SUV compact, Alfa-Roméo Tonale, a été commercialisé en 2022. Après trois de carrière, ce concurrent du BMW X1, voit ses ventes, s’essouffler. Le Tonale passe donc par la case restylage, et cela concerne principalement la face avant. Le nouveau bouclier est moins large de profil, et réduit le porte-à-faux avant. De face, le véhicule est plus expressif, avec une calandre et une entrée d’air inférieure, plus volumineuses. Le bouclier intègre à présent la plaque d’immatriculation au centre, et non plus sur la gauche, pour coller avec la nouvelle réglementation. On remarque également les deux encoches sur la partie carrossée, tout près du typique triangle de la calandre. Cette dernière profite d’un nouveau maillage concave, et accueille le récent logo, noir et blanc. Les voies ont également été élargies, pour lui donner un surplus de caractère, et les versions haut de gamme, profitent de nouvelles jantes en 19 ou 20 pouces. Les motorisations sont aux normes euro 6e-bis. On peut choisir le bloc 1.5 Mild-Hybrid, qui passe de 160 à 175ch, le bloc hybride rechargeable 1.3 Plug-in Q4, qui perd 10ch, en passant de 280ch à 270ch, ou le bloc 1.6 Diesel de 130ch. Le client pourra choisir entre 5 finitions (Tonale, Sprint, Ti, Veloce, Sport Speciale). L’instrumentation de 12.3 pouces et l’écran central tactile de 10.25, sont toujours de série. Une sellerie cuir rouge ou noir, est disponible en finition Ti, mais on peut disposer d’une sellerie Alcantara noire et blanche, en finition Sport Spéciale.


16 Octobre 2025 : Les Kei-cars, voilà une catégorie très prisée au Japon, grâce à ses avantages fiscaux. Ce segment, c’est peut-être le futur de l’Europe, et certainement le meilleur moyen de se déplacer, à moindre frais. Au Salon de Tokyo, Suzuki débarque avec son e-Sky, un petit engin cubique de 3.39m de long et 1.47m de large. Selon la réglementation en vigueur, la puissance ne devrait pas dépasser 64ch. Même si on ne connaît pas la capacité de la petite batterie, Suzuki annonce déjà une autonomie de 270km. Ce concept, très proche du modèle de la série, dévoile un habitacle des plus agréables, et on peut miser sur une excellente modularité. Le style extérieur est également attrayant, avec son toit contrasté, ses petites jantes carénées, sa signature lumineuse en « C », et son bandeau de pixels sur la face avant. On sait néanmoins que ce Suzuki e-Sky, devra faire face à la Honda N-One e, qui annonce la même autonomie, avec une fonction V2h, permettant d’alimenter une maison en énergie. Ces deux véhicules feront face au Nissan Sakura, commercialisé depuis 2022 au Japon. Avec son petit moteur électrique de 64ch, sa batterie de 20kWh offrant 180km d’autonomie, sa charge rapide à 100kW, sa fonction V2H, et son 0 à 100km/h effectué en 9.0s, il a déjà séduit des dizaines de milliers de familles. Justement, l’Europe réfléchit à une nouvelle catégorie de véhicules, dénommée eCar. Ce segment pourrait inclure la future Renault Twingo (2026), qui est un peu plus imposante avec ses 3.75m, et qui pourra embarquer selon les premières informations, une batterie LFP de 30kWh, pour une autonomie approchant les 300km. Mais, Dacia semble vouloir entrer dans la bataille, avec son concept Hipster. Ce petit cube mesure seulement 3.00m, et préfigure très certainement, un modèle de série, à court terme. Ultra original, avec ses airs de baroudeur, très modulable avec sa capacité de chargement variant de 70 litres (4 places) à 500 litres (banquette rabattue), la marque Tchèque annonce un poids de 800kg, une batterie de 20kWh, une autonomie comprise entre 130 et 180km, et une vitesse maxi de 90km/h.  


15 Octobre 2025 : Mercedes Vision Iconic, c’est le nouveau concept du constructeur à l’étoile. Ce dernier met clairement en avant le nouveau signe distinctif de la marque, la majestueuse, mais un peu bling bling, calandre lumineuse. Le premier modèle à profiter de cette calandre lumineuse, c’est le tout nouveau Mercedes GLC. Le constructeur de Stuggart, va encore plus loin avec ce concept, comptant un élément en verre bardé de LED, en plus de l’étoile lumineuse sur le capot. Les deux petits feux ronds, toujours en forme d’étoile, paraissent minuscules, sur cette monstrueuse face avant. Mais on peut également apprécier la ligne générale de ce Vision Iconic, qui rappelle le style de la prestigieuse Mercedes 540K Autobahnkurier, produite à la fin des années 30. Un immense capot, deux grandes écopes sur les ailes avant, une cabine passagers reculée au plus près de l’essieu arrière, on peut également admirer sa poupe, qui s’inspire elle, de la célèbre 300SL des années 50. Dans l’habitacle, c’est tout aussi spectaculaire, avec une magnifique ambiance art-déco. Un volant en croix, comme à l’époque, une planche de bord vitrée, de nombreux éléments dorés, un compteur en métal, quatre petits afficheurs numériques au centre, l’intérieur se pare de matériaux, tels que le nacre, le laiton, le velours et le verre, bien sûr. La plus grosse claque que ce concept peut vous infliger, concerne pourtant ses nouvelles technologies. Sous ses airs de véhicules néo-rétro, ce Vision Iconic se pare d’une peinture solaire, qui cache des cellules photovoltaïques, sur une surface de 11m2. Cette source d’énergie, permet à ce coupé électrique, de parcourir en théorie, 12 000km par an. L’assistant vocale fait appel à l’intelligence artificielle, mais ce monstre, est surtout équipé d’un calculateur neuromorphique, imitant le réseau neuronal humain. Cette puissance de calcul, permet une conduite autonome de niveau 4/5. Le véhicule peut donc, entièrement prendre le contrôle de l’unité de puissance, et de la direction, qui est-elle, entièrement électrique. Elle est visible, lors de la Shanghai Fashion Week, du 09 au 16 octobre.

Ci-dessous, la Mercedes 540K Autobahnkurier


14 Octobre 2025 : Il y a quelques jours, Skoda annonçait une version musclée de sa citadine compacte, la Fabia. La marque Tchèque fête ses 130ans, et rend également hommage, à la 130RS, un modèle de compétition qui a été produit à 200 exemplaires, entre 1975 et 1980. On rappelle que la Fabia RS a disparu du catalogue, il y a déjà quelques années. Cette Skoda Fabia 130, est donc une excellente nouvelle pour les fans du modèle. Son habillage et son équipement, sont directement issus de la finition Monte-Carlo, avec tout de même, quelques spécificités. Châssis sport avec une caisse abaissée de 15mm, jantes sombres de 18 pouces, étriers de frein rouges, feux avant assombris, double sortie d’échappement, bandeau noir sur le hayon, logo 130 sur les ailes avant et les seuils de porte, pédalier en alu, sièges sport, rien ne manque. Cette Fabia ne profitera pas du 2.0TSi 207ch de sa cousine, Volkswagen Polo GTi. Skoda a opté pour le classique 1.5TSi, qui connaît une petite cure de vitamines. Un travail a été effectué sur l’admission, les culbuteurs, et la cartographie moteur. Résultat, la puissance passe de 150ch à 177ch, avec un couple de 250nm, disponible sur une plus large plage de régime. Le 0 à 100km/h est effectué en 7.4s (-0.4s), et elle croise sereinement à 228km/h. Bref, les accélérations, les reprises, et la vitesse de pointe, sont suffisamment intéressantes. Le carnet de commandes sera ouvert, au début du mois de novembre. Reste à savoir si elle sera commercialisée en France.


13 Octobre 2025 : Une nouvelle hypercar est en préparation. Il faudra débourser près de 3 millions d’euro, pour acquérir cette Capricorn 01 Zagato. Capricorn est une société allemande, spécialisée dans la préparation moteur, et la conception de pièces en fibre composite, utilisés en compétition. Capricorn s’est associé au studio de design italien Zagato, pour concevoir cette hypercar, qui sera produite à 19 exemplaires. Monocoque en fibre de carbone, amortisseurs Bilstein pilotés, système de levage hydraulique, système de freinage carbone-céramique signé Brembo, ce monstre est équipé d’un V8 5.2L à compresseur, d’origine Ford. Capricorn l’a boosté à 888ch et 1000nm de couple. Avec seulement 1200kg sur la balance, les performances sont évidemment ahurissantes. Moins de 3.0s de 0 à 100km/h, et une vitesse de pointe de 360km/h, la 01 Zagato est équipée d’une simple boîte manuelle à 5 rapports. En face du pilote, on retrouve un tableau de bord entièrement analogique, avec de bonnes vieilles aiguilles. La colonne de direction, le pédalier, et même le levier de la boîte, sont réglables, afin de trouver la position de conduite parfaite. Fibre de carbone, titane, aluminium et cuir Connolly, habillent cet habitacle. Chaque exemplaire sera fabriqué à la main, et sera évidemment, entièrement personnalisable. Cette hypercar sera disponible à la vente, en Europe, en Angleterre, au Japon, au Mexique, au Canada, et au Moyen-Orient.


11 Octobre 2025 : La première Ferrari 100% électrique, sera entièrement dévoilée, à la fin du premier semestre 2026. On rappelle qu’il s’agit de la marque automobile la plus prestigieuse au monde, et on sait que ce type de motorisations, n’attire pas vraiment la clientèle la plus traditionnelle et la plus fortunée. Ferrari est surtout réputée pour ses modèles sportifs ultra-stylés, et ses moteurs thermiques. Et pourtant, la firme de Maranello planche depuis des mois, sur son Elletrica. Il s’agirait apparemment d’une GT ultra-dynamique, avec des porte-à-faux très courts. Etrangement, Ferrari communique déjà, sur la fiche technique de ce futur modèle, qui se situera dans la gamme, entre l’Amalfi et la 12Cilindri. L’empattement plutôt conséquent de 2.96m, devrait accueillir confortablement, les éléments techniques, tels que la batterie ou les quatre blocs électriques. Effectivement, la double motorisation arrière développe la puissance de 843ch et un couple de 8000nm, alors que les deux moteurs avant, se contentent de 286ch et 3500nm. Cela donne une puissance cumulée bridée à 1000ch en mode boost. Ferrari a déjà simulé un 0 à 100km/h effectué en 2.5s, et annonce une vitesse de pointe de 310km/h. Ces blocs électriques, seront alimentés par une batterie de 122kWh, composée de 210 cellules et 15 modules réparables. Elle sera protégée par le système de refroidissement, placé juste en dessous. Même si le centre de gravité est abaissé par rapport à un modèle thermique, le poids annoncé de 2.3 tonnes, reste inquiétant pour une Ferrari. Ce véhicule disposera d’une suspension pilotée de 3ème génération, sur réseau 48V, et le conducteur disposera d’un double manettino sur le volant, permettant de contrôler les aides à la conduite d’un côté, et les modes de fonctionnement des moteurs (Range, Tour et Performance) de l’autre. A cela, Ferrari ajoute des palettes au volant, pour régler la récupération d’énergie, et le couple moteur, sur cinq niveaux. Côté sonorité moteur, la firme de Maranello fait le même choix que Porsche. Un système amplifie les vibrations des moteurs électriques, et le retranscrit dans les haut-parleurs. Cette Ferrari Elletrica proposera une autonomie de 530km selon le cycle WLTP, et sa batterie pourra encaisser une charge de 350kW. 


10 Octobre 2025 : Nissan doit clairement diversifier sa gamme vers le bas, pour préserver quelques parts de marché, au niveau mondial. Alors qu’on croyait l’alliance entre le constructeur nippon et Renault, totalement enterrée, un nouveau modèle Nissan vient d’être partiellement dévoilé. Le Nissan Tekton sera produit à Chennaï, en Inde, dès 2026, et se positionnera sur le segment des SUV compacts. En analysant la forme générale, et quelques panneaux de carrosserie, impossible de ne pas faire le rapprochement avec un Dacia Duster. Nissan souhaitait proposer un C/SUV pratique, expressif, et plutôt haut de gamme, pour le marché indien. Le Tekton reprend la base technique, et le capot avant du SUV roumain. La forme du hayon et du becquet arrière, rappellent également le Duster. Attention, au niveau de la calandre et de la signature lumineuse en « C », c’est du 100% Nissan. La marque a souhaité lui donner des airs de Patrol, le mythique baroudeur de la gamme. Il faudra attendre encore quelques semaines, avant de découvrir l’habitacle, et les motorisations retenues. Le Tekton sera pour l’instant réservé aux marchés émergents, mais ne sera sans doute pas commercialisé en Europe.  


09 Octobre 2025 : Si vous cherchez une GT haute performance, 2+2, quelque peu vivable au quotidien, vous pouvez opter pour la toute nouvelle Ferrari Amalfi, la Porsche 911 Turbo, ou la luxueuse Bentley Continental GT. Chez Aston-Martin, il y a la charismatique DB12. Justement, le constructeur anglais muscle un peu son jeu, avec une nouvelle déclinaison. L’Aston-Martin DB12 S, gagne quelques chevaux et de nombreuses modifications techniques supplémentaires. Cette version « S », dispose toujours du V8 4.0L Bi-Turbo d’origine AMG, mais la puissance passe de 680ch à 700ch. La fonction Launch Control, offre des passages de rapports, deux fois plus rapide, via la boîte automatique à 8 rapports. Le 0 à 100km/h est effectué en 3.5s, et cette GT croise à 325km/h. Nouvelle géométrie au niveau des trains roulants, une barre anti-roulis arrière plus rigide, il y a également un recalibrage électronique, au niveau du différentiel arrière et des amortisseurs Bilstein DTX pilotés. Le système de freinage carbone céramique est majoré, et le client peut opter pour une ligne d’échappement en titane. Le véhicule perd plus de 35kg sur la balance. La DB12 S, se distingue par sa quadruple sortie d’échappement, superposée, ses spoilers spécifiques sur le bouclier avant, ou ses bas de caisse noir brillant. Dans l’habitacle, Aston-Martin propose de nouveaux sièges Sport électriques badgés « S ». Des sièges avec coque en carbone sont disponibles en option.


07 Octobre 2025 : Après les évolutions techniques de la Spring, il est temps de faire le point, sur les évolutions du Sandero. On rappelle, qu’il s’agit du véhicule le plus vendu en Europe, et se place en troisième position, en France. Vu son rapport prix/prestations, c’est tout à fait mérité. Ces Dacia Sandero et Sandero Stepway, ont néanmoins droit à un petit rafraîchissement, en cette fin d’année. La marque franco-roumaine, remanie la face avant de sa citadine compacte, avec une signature lumineuse simplifiée, des petits carrés au niveau de la calandre, et un bouclier plus anguleux, bardé de plastique au niveau des antibrouillards. A l’arrière sur la version Stepway, on remarque un bouclier avec des éléments supplémentaires en plastique, et un bandeau noir au niveau des feux. L’intérieur des feux est également redessiné. Dacia n’annonce pas de changements majeurs à bord, à part l’arrivée de l’écran central de 10 pouces, en lieu et place du 8 pouces. Sous le capot, c’est une autre histoire, avec l’arrivée du bloc 3 cylindres 1.2L Turbo, à la place 1.0L TCe. Il développera 100ch, puis 115ch en version micro-hybride, et 120ch avec la bi-carburation essence-GPL. L’arrivée d’une nouvelle boîte à double embrayage et 6 rapports, permettra de séduire une clientèle plus large. Le moteur full hybride 1.6 E-Tech 140ch disparaît, et laisse place au nouveau bloc 1.8 E-Tech. Dacia n’a pas encore dévoilé sa puissance, mais on sait qu’il développe 155ch dans le Bigster. Le Dacia Jogger connaît les mêmes évolutions. 


06 Octobre 2025 : La Dacia Spring, est encore aujourd’hui, une des véhicules électriques les plus appréciés du marché. Et pourtant, il ne bénéficie plus du bonus écologique, avec sa production située en Chine. La prochaine génération débarquera en 2027. En attendant, le constructeur franco-roumain, nous propose un nouveau millésime, qui évolue en profondeur. La Spring est passée par la case restylage, il y a quelques mois, alors rien ne change sur ce point, à part les jantes, qui passe de 14 à 15 pouces, en finition Expression et Extrême. Dacia remplace également la batterie NMC de 26.8kWh, par une batterie LFP de 24.3kWh, moins chère à fabriquer. Et pourtant, l’autonomie ne varie pas, avec 225km selon la norme WLTP, grâce à des soubassements carénés. Cette batterie encaisse une charge de 40kW, contre 30kW. La recharge de 20 à 80%, s’effectue en 29mn, et elle est de 3h20mn de 20 à 100%, avec le chargeur embarqué de 7kW. Mais la grosse surprise, ce sont les puissances moteur en hausse. Disponible jusqu’à aujourd’hui, en 45ch et 65ch, Dacia propose maintenant des blocs électriques de 70ch et 100ch. De quoi considérablement, améliorer les performances. Dacia a rigidifié le châssis, recalibré l’amortissement, et amélioré l’assistance de freinage. Pas de mauvaise surprise côté tarifs, avec une entrée de gamme, Essential 70ch, toujours disponible à 16 900€. Les versions Expression 70ch et Extrême 100ch, profitent d’une baisse de 200€, avec des véhicules disponibles à 18 700€ et 19 700€ (Tarifs Métropole).


05 Octobre 2025 : L’Union européenne vise une production de véhicules 100% électriques en 2035. Malheureusement, le pouvoir d’achat est proche du zéro pour tous les pays concernés, et les investissements sont quasi-nuls, malgré les nombreux avantages fiscaux accordés à certains. Effectivement, fabriquer des véhicules à forte valeur ajoutée, est plus intéressant, mais les ventes s’écroulent, et le marché des VN est en chute libre. Le Japon a peut-être la solution, avec la catégorie des Kei-cars. Est-ce qu’on se plaignait en France, quand on roulait en 2CV ou en 4L, pas vraiment. Aujourd’hui, acheter une voiture neuve, est un parcours du combattant. Suzuki propose le XBee sur son marché local, et franchement, c’est peut-être la réponse à tous nos problèmes, et pour une fois, la solution ne vient pas de Chine. Cette astucieuse Suzuki XBee mesure 3.76m de long, et se veut pratique et économique. Un maximum de rangements, des sièges arrière coulissants et rétractables, un coffre de 200 litres, une instrumentation numérique de 7 pouces, un écran central de 9 pouces, des inserts décoratifs, des revêtements étanches, un éclairage de l’habitacle à LED, et un équipement pléthorique, selon que vous choisissiez la finition MX ou MZ, cette XBee est la seconde voiture, idéale pour la famille. En version haut de gamme, on peut disposer d’une teinte bicolore, d’un volant et de sièges chauffants, et de jantes diamantées. Sous le capot, Suzuki a opté pour un bloc 3 cylindres 1.2L atmosphérique à hybridation légère, développant 82ch et 109nm de couple (boîte à variation continue). Honnêtement, avec seulement 900kg à tracter, les performances devraient être très respectables. Au Japon, cette mini-citadine, est disponible à partir de 12 000€.


03 Octobre 2025 : Le groupe Chery est sur le point de débarquer en France, avec les marques Chery, Omoda et Jaecco. Pour commencer, ces constructeurs chinois ne visent que quelques dizaines de points de vente. Les modèles des différentes marques, sont déjà disponibles, dans la plupart des pays européens, la France et l’Allemagne, étant les deux dernières cibles. Chery commercialisera néanmoins, dès 2026, une quatrième marque. Il s’agit de Lepas, qui proposera normalement, une gamme de véhicules premiums. Sur les photos, on peut découvrir le Lepas L8, un SUV familial (4.68m) hybride rechargeable. Lepas (pour Leap = saut, et passion) a été dévoilé au Salon de Turin 2025. C’est d’ailleurs en Italie qu’elle débutera sa carrière. Le but, est de proposer une carrosserie élégante et un intérieur raffiné. Le design est classique, tout en rondeur, avec une belle signature lumineuse à l’avant et à l’arrière, et une calandre type alu, qui impose le respect. L’habitacle semble néanmoins, plus intéressant, avec une L8, qui fera appel à une multitude de matériaux haut de gamme. Instrumentation de taille raisonnable devant le conducteur, et un écran central tactile vertical, qui cache nombre de technologies, votre bien-être est sa priorité. Ce Lepas L8 reprend une base technique, déjà utilisée par les marques sœur. Cette plate-forme accueillera une motorisation hybride rechargeable, composée d’un bloc thermique 1.5L Turbo de 143ch, et un moteur électrique de 204ch, associé à une batterie LFP de 18kWh (100km d’autonomie en full électrique). La puissance cumulée de cette version traction, atteindrait les 278ch, et l’autonomie totale approcherait les 1300km. Une version 4WD devrait voir le jour.


02 Octobre 2025 : Avec l’avènement des véhicules électriques, les constructeurs prestigieux, tels que Porsche, ne peuvent plus vraiment faire la différence côté performances. La marque de Stuggart doit donc, peaufiner sa technologie électrique, et on est donc dans l’attente, de la présentation officielle, de l’inédit Cayenne zéro émission. On peut être sûr, que la puissance sera bien assez généreuse, selon les versions, et que le comportement routier, sera digne de son blason. Néanmoins, on s’attend également à un poids titanesque, et un petit manque de piquant au niveau de la sonorité mécanique. Porsche s’est donc concentrée sur l’habitacle, avec une technologie embarquée, et un agencement innovant. La marque nous dévoile les premières photos. Une instrumentation de 14.3 pouces devant le conducteur, paramétrable à l’envie. Devant le passager, on peut équiper ce Cayenne électrique, d’une dalle OLED de 14.9 pouces, lui permettant de gérer la musique, les vidéos, tout en ayant accès à la navigation, si le conducteur est occupé. Porsche ajoutera apparemment, un troisième petit écran pour les passagers arrière, concernant la climatisation. Le plus impressionnant, ça reste l’écran central tactile dénommé « Flow Display », dont on ne connaît pas encore la taille. Il s’agit d’une dalle incurvée, qui rappelle un certain smartphone Samsung Galaxy Z. La surface du bas, donne accès à quelques raccourcis, et permet au conducteur d’être plus à l’aise, quand il fait appel au clavier numérique. Un repose poignet, à la base de cet écran, lui facilite encore le travail. A cette atmosphère déjà très digitale, Porsche proposera en prime, un affichage tête-haute de 87 pouces. Ce n’est pas tout, puisque grâce à des « Mood Modes », les passagers auront accès à différents types d’ambiances, avec un éclairage, un réglage sonore et de climatisation, des animations graphiques, et des sièges, qui s’adapteront à votre humeur. Avec ce nouveau système d’infodivertissement, on peut s’attendre également à une bonne dose d’intelligence artificielle. Avec cette surdose de technologie, on espère également, que le conducteur ne sera pas trop distrait par cet environnement, et que l’ergonomie sera à la hauteur. Heureusement, quelques touches physiques, ornent encore le volant et les contre-portes.    


01 Octobre 2025 : La berline classique tricorps 4 portes, a encore ses adeptes dans le monde. Pour une marque comme Nissan, en grande difficulté financière, le succès d’un modèle, tel que le Sentra, est capital. Ce véhicule porte un patronyme différent selon le pays dans lequel il est distribué. Le Nissan Sentra, est disponible au Japon, en Asie, en Afrique du Sud, et à peu près, sur tout le continent Américain. Il connaît une grosse évolution esthétique et technologie, en cette fin d’année. Nouvelle face avant, avec une calandre qui semble épouser la signature lumineuse, un bloc phare principal très fin, des feux arrière avec bandeau lumineux, le client pourra choisir entres les finitions S, SV Premium et SR Premium, avec des jantes allant de 16 à 18 pouces. Dans l’habitacle, le Sentra propose à peu près le même agencement que la nouvelle Leaf, concernant la planche de bord. Deux écrans de 12.3 pouces, les applications Applecarplay et Androïd auto sans fil, un chargeur par induction, trois prises UB-C, un volant deux branches de nouvelle génération, on note la présence d’une autre petite dalle tactile pour les commandes de climatisation. Cette dernière semble positionnée, un peu trop bas, sur la console centrale. La version haut de gamme ajoute un système audio Bose, un toit ouvrant et une sellerie 100% cuir synthétique. Nissan dit avoir modifié le châssis, avec une rigidité accrue de 6%, un amortissement recalibré, et une meilleure isolation phonique au niveau des passages de roue. Pas d’évolution mécanique par contre, Nissan misant toujours sur son 4 cylindres 2.0L atmosphérique de 149ch et 198nm de couple. Ce dernier est automatiquement associé à la boîte Xtronic à variation continue. Avec ses aides à la conduite, intégrant le ProPilot, le Sentra dispose bien évidemment de la conduite semi-autonome, mais également de la surveillance des angles-morts, avec intervention du véhicule en cas de changement de voie intempestif. Bientôt disponible au Canada, Nissan annonce des tarifs ultra compétitifs, compris entre 23 900$ et 31 200$ (dollars canadiens).   


28 Septembre 2025 : La Skoda 110 R, ça ne vous dit certainement rien, mais dans les années 70, il s’agissait d’un petit coupé tendance, dans les pays de l’Est européen. La marque Tchèque fabrique des véhicules depuis 1926, et son histoire est riche, de modèles inconnus pour nous, Occidentaux. Skoda a doucement grignoté quelques parts de marché à l’ouest, dans les années 80, avant de prendre son essor, après son rachat par Volkswagen, en 1991. Mais on va revenir sur cette fameuse 110 R, ce drôle de petit coupé propulsion. Elle était considérée comme une sportive à l’époque, grâce à son petit bloc 4 cylindres 1.1L de 60ch, positionné sur le train arrière, et son poids plume de 880kg. Avec sa boîte à 4 rapports, elle atteignait 145km/h, et sa base technique a servi, à quelques voitures de rallye. Le designer maison, Richard Svec, propose sa vision d’une Skoda 110 R du 21ème siècle. Ce concept virtuel ne fait pas dans la nostalgie, comme une Renault 5 ou une Renault 4. La 110 R adopte un style ultra moderne, mais on détecte quelques petits clins d’œil au passé, comme les petites entrées d’air latérales, ou encore les petites encoches en bas du hayon, rappelant les extracteurs du modèle originel. On remarque le dessin particulier de la face avant, avec une carrosserie concave, qui intègre des petits feux rectangulaires, avec des caches rétractables. Les petites nervures à l’avant du capot, les énormes jantes à écrou central, sa ligne de coupé bi-place, la symétrie entre l’avant et l’arrière, grâce à ce bandeau noir, le style est comme souvent chez Skoda, classique, mais assez tranchant. Ca restera un exercice de style plutôt intéressant.   


27 Septembre 2025 : Si un designer souhaite un jour, défigurer un véhicule, un stage chez Mansory sera alors indispensable. Le célèbre préparateur allemand, a encore frappé, en s’attaquant cette fois-ci, à la Ferrari 12Cilindri. Le coupé sportif italien, digne héritière de la Daytona, se voit affubler, d’un effroyable kit carrosserie. Le carbone avec effet marbré, c’est le summum du mauvais goût, et Mansory en est naturellement friand. Un diffuseur arrière caricatural, des flaps latéraux mal intégrés, des rajouts de carbone incompréhensible sur les ailes avant, un bouclier tout aussi horrible, des rétroviseurs ridicules, et un élément central disgracieux, sur le capot moteur, on peut également noter le manque total d’élégance, dans le choix des couleurs. Drapeau italien sur toute la longueur du véhicule, des inserts dorés à foison, et une teinte bi-ton sombre, aucune de ses couleurs, n’est assortie. L’habitacle paraît presque sobre, avec de l’alcantara gris, de nombreuses touches violettes, quelques inserts en carbone, un pédalier spécifique, et des tapis de sol matelassés. Côté technique, cette Mansory Equestre, se dote de jantes monoblocs allégées, et d’une monte pneumatique très tendre. La ligne d’échappement est modifiée, tout comme la cartographie moteur. Résultat, le V12 6.5L passe de 830 à 855ch, et le couple, de 678nm à 730nm.


25 Septembre 2025 : Geely, le gigantesque groupe chinois, se montre très discret en Europe. Il y a deux ans, nous avions testé la Geometry C, un SUV compact coupé électrique, aux prestations convaincantes. Le marché des véhicules électriques a fini par se calmer, et la tendance actuelle, chez tous les constructeurs, c’est l’hybridation simple ou rechargeable. Bien évidemment, en Chine, on est super réactif. Geely propose en Asie et sur certains marchés européens, ce Starray EM-i. Le style de ce SUV familial, ne procure aucun frisson. Le design est épuré, sans grande personnalité, mais la ligne reste moderne et élégante. Sa longueur de 4.74m, sa largeur d’1m90, sa hauteur d’1m68 et son empattement de 2.75m, le placent clairement, face à des Volkswagen Tiguan, Skoda Kodiaq, et BYD Seal U DM-i. Dans l’habitacle, ce n’est pas non plus d’une folle originalité, mais la présentation semble très qualitative. L’instrumentation de 10.2 pouces, et l’écran central de 15.4 pouces, donne accès à un maximum de fonctions. En entrée de gamme, ce Geely Starray EM-i s’équipe déjà des jantes en 18 pouces, de la caméra à 360°, du régulateur de vitesse adaptatif, d’une sellerie simili-cuir, des sièges avant électriques et chauffants, et d’une pompe à chaleur. On peut également opter pour la version haut de gamme, qui ajoute les jantes en 19 pouces, un système Hifi 16HP, un affichage tête-haute, des sièges ventilés, un toit panoramique, un chargeur par induction et un éclairage d’ambiance. Côté mécanique, on a droit à un 4 cylindres atmosphérique de 2.0L de seulement 100ch, qui s’accouple à un gros moteur électrique de 217ch. La puissance cumulée est de 263ch, pour un couple de 262nm (0 à 100km/h en 8.0s). La batterie LFP de 18.4kWh, offre une autonomie électrique de 83km. En mode hybride, avec batterie pleine, on peut atteindre 943km d’une seule traite, grâce à une consommation moyenne de 2.4L au 100km.   


24 Septembre 2025 : CATL, premier constructeur de batterie au monde, ne veut pas perdre son leadership. La société chinoise démontre régulièrement son savoir-faire, en termes d’autonomie et de recharge. Au salon automobile de Munich, CATL présentait sa nouvelle génération de batterie LFP (Lithium-Fer-Phosphate), avec la Shenxing Pro Super Long & Long Range, et la Shenxing Pro Ultra Fast Charging. Pour la première version, CATL mise sur la fiabilité et l’autonomie. Même si on ne connaît pas la capacité de la batterie, la firme annonce une autonomie de 758km. La durée de vie de cette batterie serait de 12 ans minium, avec un véhicule qui pourrait parcourir un million de kilomètres. Après 200 000km d’utilisation, la perte de capacité ne serait que de 9%. La seconde version, vise une clientèle sensible, au temps de recharge. Cette batterie encaisserait une charge de 830kW, ce qui équivaut à récupérer 478km d’autonomie, en seulement 10 minutes. Et même dans des conditions extrêmes, c’est-à-dire par -20° celsius, CATL promet qu’elle pourrait récupérer 420km en une vingtaine de minutes. Ces deux types de batterie, intègrent la nouvelle technologie NP 3.0 (No Propagation). Nouvelles cellules Wave (en forme de vague), un système de fixations multidirectionnelles, avec une rigidité accrue de 25% pour l’ensemble de la batterie, un refroidissement plus efficace des cellules avec moins d’emballement thermique, un confinement des flammes et de la fumée en cas de problèmes, une compacité permettant un meilleur rendement volumétrique, CATL a investit 11 milliards de dollars, afin de séduire les grands constructeurs européens. La garantie de cette nouvelle génération de batteries, est tout aussi intéressante, avec ses 10 ans ou 240 000km. Elles seront disponibles sur le marché, dès 2025.   


23 Septembre 2025 : Porsche souhaitait une transition énergétique rapide, concernant sa gamme. Bien évidemment, la 911 allait perdurer dans le temps, avec des motorisations hybridées. Le Porsche Taycan sorti en 2019, fut le premier modèle de la gamme, 100% électrique. Il venait épauler la Panamera, sur le segment des berlines coupé 4 portes sportives. Le Taycan a connu un début de carrière fulgurant, sur tous les continents, et même en Asie. Six ans plus tard, et après quelques évolutions, cette berline électrique n’a rien perdu de sa superbe, sur le plan des performances et des technologies. Porsche a doublé la mise en 2024, en proposant son Macan 100% électrique. Malheureusement, la disparition du modèle thermique, a clairement mis à mal, la popularité du Macan. Le client aime avoir le choix, et à ce niveau de gamme, certains clients ne sont pas encore disposés à opter pour un véhicule électrique. La forte concurrence chinoise, est également un problème pour le constructeur de Stuggart. Les ventes ont clairement chuté en Chine en 2024, avec une baisse de 28%, et 2025 s’annonce catastrophique. Et pourtant, on sait que Porsche, développe ses nouvelles 718 Cayman et Boxster, qui seront 100% électriques. A la base, elles devaient s’équiper d’une batterie d’origine Northvolt, mais la faillite de la société suédoise, a retardé son développement. Le Cayenne 100%, arrivera lui, en 2026, et on a pu apercevoir un prototype se balader dans les salons, avec sa fameuse recharge par induction. A l’horizon 2030, les ventes de véhicules électriques, devaient représenter 80% de la production. Porsche a décidé de modifier son plan produit. Les Porsche Panamera et Cayenne, thermiques et hybrides rechargeables, resteront au catalogue encore quelques années. Il en va de même, pour les actuelles 718 Cayman et Boxster. La marque premium allemande, développait en secret, un énorme SUV électrique (code K1), qui devait surclasser le Cayenne. Ce futur modèle sera finalement, un véhicule multi-énergie. Ce n’est pas tout, puisque Porsche développe un SUV thermique, pour épauler cette fois, le Macan, sur le segment des D/SUV. Bref, ce changement de stratégie aura un impact non-négligeable, sur les finances du groupe Volkswagen, puisque certaines plates-formes techniques, sont communes à d’autres modèles du groupe. On parle d’un coût de 5 milliards d’euros pour Volkswagen, et une marge opérationnelle divisée par trois, pour Porsche. L’un des constructeurs les plus rentables au monde, traverse donc une période compliquée, mais la direction mise sur le long terme, avec ce tout nouveau plan produit.  


22 Septembre 2025 : Sur le marché chinois, il naît pratiquement tous les jours, des petites pépites. Chery nous livre sa vision, d’un 4x4 pur et dur. Sa garde au sol très généreuse, son look cubique, ses arches de roue très marquées, sa grosse monte pneumatique et son hayon vertical, cette Fullwin X3L peut affronter tous types de terrain. Sa signature lumineuse verticale et très graphique, lui donne un soupçon de modernité. Dans l’habitacle, le constructeur a opté pour un petite instrumentation numérique horizontale face au conducteur, et un grand écran central tactile de 15.6 pouces. Cette Chery Fullwin X3L est plutôt compacte avec ses 4.55m de long, mais sa largeur de 1.95m et sa hauteur de 1.81m, imposent le respect. Son empattement de 2.79m, devrait ravir les passagers. Pour mouvoir la bête, Chery a concocté une motorisation hybride rechargeable. La marque nous livre quelques données techniques. On dispose sous le capot avant, d’un bloc 1.5L Turbo de 156ch, associé à un ou deux moteurs électriques, sur le train arrière. La puissance cumulée variera de 250ch à 422ch, selon la version choisie. En mode full électrique, le véhicule pourra parcourir entre 135 et 215km. On peut également parcourir jusqu’à 1200km d’une seule traite, en mode hybride. La version la plus puissante, annonce un 0 à 100km/h en 4.7s. Le plus impressionnant, reste les tarifs. En Chine, il sera disponible, pour l’équivalent de 15 000€ en entrée de gamme, et environ 19 000€, pour la version la plus huppée. Qui dit mieux ?


21 Septembre 2025 : La Kia Ceed disparaîtra de la gamme, à la fin de l’année 2026. Ce modèle avait été spécialement conçu, pour le marché européen. La marque coréenne mise sur sa nouvelle K4, qui a elle, des ambitions mondiales. On a affaire à une berline compacte du segment C, qui viendra chatouiller les Peugeot 308 ou Volkswagen Golf. Néanmoins, elle se donne de faux airs de break. Très clairement, Kia mise sur la praticité, avec un véhicule habitable, et disposant d’une bonne capacité de chargement. D’ailleurs, avec ses 4.44m de long, ce Kia K4 sera un des plus imposants de la catégorie. Le design est plutôt anguleux. On remarque les poignées de portières arrière au niveau du vitrage, les arches de roue noir laqué, les jolies jantes bi-ton, la signature lumineuse avant très géométrique, les fausses écopes latérales couleur carrosserie dans le bouclier avant, et encore du noir laqué, au niveau des vitres latérales et du montant C. Dans l’habitacle, on a droit à une planche de bord, qui se pare de trois écrans, de respectivement, 12.3 pour l’instrumentation numérique, 12.3 pouces pour l’écran central tactile, et d’une petite unité de 5.3 pouces, au milieu, pour les fonctions de confort. On remarque le levier classique, mais pratique, de la boîte de vitesse. Le système d’exploitation intègre une IA générative, facilitant le travail de l’assistant vocal. Au niveau mondial, Kia proposera cinq motorisations pour ce K4. Un 1.0T-GDi essence, de 115ch (boîte manuelle), une version micro-hybride de même puissance avec boîte auto 6 rapports en option, un 1.6T-GDi essence de 150 ou 180ch, en boîte automatique, mais Kia mise aussi sur un modèle haut de gamme full hybride, dont on ne connaît pas les caractéristiques techniques. Si vous souhaitez disposer d’une version 100% électrique, il faudra alors se diriger vers sa sœur, l’EV4. 


20 Septembre 2025 : Etrange proposition de la part de Dacia, avec ce Duster utilitaire. La marque roumaine élargit donc sa gamme sur son marché local, avec cet insolite Duster Pick-Up. Rien ne change au niveau du gabarit de l’auto, avec une longueur stable de 4.34m. Dacia a fait appel au carrossier roumain Romturingia, pour développer ce nouveau modèle. Tout change à partir du montant C. On retrouve ce coffre à ciel ouvert. Cette mini-benne est habillée de plastique, mesure 1.05m de long pour 1.00m de large, et s’équipe de quatre crochets et deux rails. Elle encaisse une charge utile de 430kg. Le hayon est évidemment remplacé, par une ridelle. L’habitacle n’accueille plus que quatre personnes, avec un accoudoir au milieu de la banquette arrière. Ce drôle d’engin, sera disponible, avec le bloc 1.2TCe, de 130ch 4x4, ou 140ch 2WD. Trois finitions au programme, avec le Dacia Duster Pick-Up Express, Extreme, ou Journey. Sa commercialisation commence en Roumanie, avec un ticket d’entrée, à moins de 26 000€HT.


19 Septembre 2025 : Pour maintenir une présence en Europe, Mitsubishi fait largement appel à son partenaire Renault. On a vu apparaître ces dernières années, l’ASX, clone du Captur, la Colt, clone de la Clio, et le Grandis, clone du Symbioz. La marque aux diamants a décidé de renouveler son Eclipse Cross. Et comme on pouvait s’y attendre, c’est encore la marque au losange qui est mise à contribution, avec une base technique et esthétique, empruntée au Renault Scenic E-Tech. Les designers japonais ont tenté de différencier les deux modèles, mais sans faire de miracle. La forme de la carrosserie est exactement la même, mais Mitsubishi a fait l’effort de changer le capot avant. La grosse calandre pleine avec des inserts hexagonaux, la signature lumineuse, et le bouclier, sont spécifiques à ce Mitsubishi, mais le bloc phare principal n’a pas changé. De profil, on note quelques évolutions, au niveau des bas de caisse, et du montant C. Pour la poupe, impossible de ne pas déceler les origines de l’engin. Malgré un dessin intérieur des feux revu, un bandeau noir qui fait office de jonction, et un bouclier remanié, le véhicule est immédiatement identifiable. Dans l’habitacle, c’est évidemment un copier-coller de la planche de bord du Renault Scenic. On peut donc s’attendre à une bonne finition, et à la présence du système multimédia avec système Google intégré. L’habitabilité et la capacité de chargement (coffre de 478 litres), semblent très correctes. A son lancement, ce Mitsubishi Eclipse Cross proposera le bloc électrique le plus puissant, de 220ch et 300nm de couple, associé à la grosse batterie de 87kWh (600km d’autonomie).


18 Septembre 2025 : Pouvoir d’achat en baisse dans la plupart des classes sociales, les constructeurs n’ont plus vraiment les moyens d’investir sur les segments de niche. Cela concerne par exemple, les petits cabriolets bi-place, comme le BMW Z4. On sait que Porsche développe ses nouveaux Cayman et Boxster, 100% électriques. Ces véhicules aideront certainement Audi, à développer un futur TT. Du côté de BMW, c’est une autre histoire. La génération actuelle partage sa base technique, avec la Toyota Supra, mais les deux géants de l’automobile, ne devraient pas renouveler leur partenariat, préférant se concentrer sur des modèles plus basiques, et certainement, électriques. Luca Serafini, designer et artiste digital, a décidé de nous faire rêver. Spécialiste de l’IA et du logiciel photoshop, il a longuement travaillé sur sa vision, d’un futur Z4. Le but était de reprendre le design racé du roadster, tout en adoptant les codes stylistiques de la nouvelle gamme Neue Klasse du constructeur. Bref, il a intégré l’inédite face avant du tout nouveau iX3. Résultat, on retrouve ce double haricot vertical très fin, qui s’inspire des années 60, et la calandre noir laqué, qui intègre cette signature lumineuse simple, mais ultra-design. Visible de ¾ avant, on note également, des lignes plus anguleuses et de jolis galbes, de profil.   


16 Septembre 2025 : Polestar 5, c’est le nouveau vaisseau amiral du constructeur sino-suédois. Filiale de Volvo, cette marque est en grande partie, gérée par le groupe Geely. Au Salon de Munich, on pouvait découvrir la grande berline coupé, qui met l’accent sur le look et la performance. Une signature lumineuse en double L à l’avant, une prise d’air principale dans le bouclier, de jolies petites nervures de carrosserie saillantes, des bas de portières creusés avec insert noir laqué, des jantes de 20 ou 22 pouces, une poupe très anguleuse, on a véritablement affaire, à une berline sportive. Sa particularité, c’est son grand toit vitré de 2 mètres, et l’absence de lunette arrière. La rétrovision est assurée par une caméra. Dans l’habitacle, c’est tout aussi moderne, avec une instrumentation de 9 pouces pour le conducteur, un écran central vertical de 14.5 pouces, et quatre sièges baquet Recaro, indépendants. L’accoudoir arrière, propose les réglages de la climatisation, et les fonctions de chauffage, de ventilation et de massage, pour les sièges. On peut dégager une cinquième place, en rabattant l’accoudoir. Vous profiterez d’un système audio 10HP, ou 21 HP (Bowers&Wilkins) en option. Petit bémol, la capacité de chargement est un peu juste, avec un coffre de 365 litres, et un frunk de 62 litres. Sous le capot, cette Polestar 5, ne fait pas dans la demi-mesure, avec une double motorisation électrique, totalisant 784ch pour la version Dual Motor, et 884ch pour la version Performance. Le 0 à 100km/h est avalé respectivement, en 3.9s ou 3.2s, et la vitesse maximum est bridée à 250km/h. Le châssis PPA et son architecture 800V, accueillent une batterie d’origine coréenne (SK On) de 112kWh brut, pouvant encaisser une charge de 350kW (10 à 80% en 22mn). L’autonomie est comprise entre 670km et 565km. Ce véhicule sera produit en Chine et en Amérique du Nord. Il est d’ores et déjà disponible en Europe, à des tarifs compris entre 119 900€ et 143 900€.  


15 Septembre 2025 : Volkswagen souhaite, développer sa gamme de véhicules électriques, par le bas. On est toujours dans l’attente d’une Polo Electric, descendante du concept ID2. Le constructeur allemand proposera également, un petit crossover électrique, pour épauler le T-Cross. Justement, on pouvait découvrir l’ID.Cross Concept, au Salon de Munich. Le modèle de série débarquera en 2026, et aura dans son viseur, la Renault 4 E-Tech. On peut déjà apprécier le style, râblé et musculeux de cet ID.Cross. Très compact, avec ses 4.16m de long, il dévoile les nouveaux codes stylistiques de la marque. C’est un peu un retour aux sources pour Volkswagen, avec un design massif, qui inspire confiance. Bandeau noir, avec une signature lumineuse sur toute la largeur du véhicule à l’avant, même topo au niveau de la poupe, avec un éclairage rectiligne sur fond noir, ce Volkswagen ID.Cross montre les muscles de profil, avec un gros déport au niveau des passages de roue. Les jantes de 21 pouces bi-ton « Balboa », sont spécifiques à ce concept-car. Ce futur SUV urbain, repose sur la nouvelle plate-forme MEB+, typé traction. Avec un empattement de 2.60m, il faudra attendre encore quelques mois, pour juger l’habitabilité. Le coffre cube 450 litres selon les premières données techniques, auquel il faut ajouter un espace de rangement de 25 litres, sous le capot avant. L’ambiance à bord, paraît très sympa pour une Volkswagen. Un épais textile en bouclette « type moquette », habille la planche de bord, les contre-portes et les sièges. On apprécie la présence d’un certain nombre de commandes physiques, le volant deux branches, et l’atmosphère très zen, avec un tunnel central qui intègre un accoudoir translucide, avec des feuilles d’eucalyptus. Le conducteur fera face à une instrumentation de 11 pouces, et les fonctions du véhicule, seront affichées sur un écran central de 13 pouces. Volkswagen annonce quelques données techniques provisoires, avec une motorisation électrique, d’environ 200ch, qui sera associée à une batterie LFP de 38kWh (300km d’autonomie) ou de 56kWh (420km).


14 Septembre 2025 : Leapmotor, la marque chinoise, représentée par le groupe Stellantis en Europe, présente son quatrième modèle, au Salon de Munich. Cette Leapmotor B05, viendra donc épauler la citadine T03, le SUV compact B10, et le SUV familial C10. On a affaire à une berline compacte 100% électrique, qui a pour objectif, de venir chatouiller les Volkswagen iD3, Peugeot e-308, Renault Megane E-Tech, ou MG 4. Côté style, il ne faut pas s’attendre à une grande originalité de la part de Leapmotor. Le constructeur chinois, n’a pas encore trouvé son identité visuelle, à part peut-être, sa signature lumineuse à trois barrettes horizontales, qu’on commence à connaître. Cette B05 fait la part belle aux rondeurs et à de grandes surfaces lissées, gages d’un bon aérodynamisme. Avec ses 4.43m, elle sera la plus grande de la catégorie. On a affaire au modèle de série définitif, mais le grand patron de la marque, n’a pas souhaité dévoiler l’intérieur de cette berline compacte. Apparemment, il n’était pas satisfait de la configuration, concernant la combinaison des couleurs à bord. Il faudra donc attendre encore quelques jours. On est à peu près sûr, que la planche de bord, s’inspirera de celle du SUV B10. Justement, côté technique, elle reprend la plate-forme Leap 3.5 du B10. On devrait donc profiter, d’une motorisation électrique de 218ch, associée à une batterie de 56.2kWh (380km) ou 67.1kWh (450km). Bien sûr, Leapmotor, annonce un ticket d’entrée, à moins de 30 000€ en Europe. Comme pour le B10, on devrait disposer d’une liste d’équipements à rallonge, et à une multitude d’aides à la conduite. Une version au look plus sportif (photos du bas), est également en préparation. 


13 Septembre 2025 : La Skoda Octavia a toujours été le modèle le plus populaire de la gamme. La version break, dénommée Combi, représente 40% des ventes. N’oublions pas qu’une clientèle d’irréductibles, n’apprécie pas forcément les SUV, et préfère le classicisme et l’élégance, d’un bon vieux break. Etonnamment, le groupe Volkswagen ne propose pas encore dans sa gamme, de berline break 100% électrique. Skoda sera la première marque du groupe, à sauter le pas. Au Salon de Munich, on peut donc découvrir le concept Vision 0, qui préfigure un modèle de série, à l’horizon 2030. Skoda est donc, très en retard par rapport aux marques du groupe Stellantis, qui proposent déjà les Peugeot e-308 SW et Opel Astra Sports Tourer Electric. Ce Skoda Vision 0, est plutôt imposant avec ses 4.85m de long, et se positionne lui, sur le segment des berlines du segment D. Selon les premières infos, il repose sur la future plate-forme SSP du groupe Volkswagen qu’utilisera aussi, la prochaine Golf Electric. Le Vision O annonce une capacité de chargement variant de 650 à 1700 litres. Mais on va revenir sur le style extérieur de ce concept. Un capot creusé au centre, avec le marquage lumineux « Skoda », une calandre pleine siglée Vision O, cerclée d’un bandeau noir laqué avec feux intégrés, la face avant est très épurée. De profil, on note la présence de grandes jantes quasiment pleines, les montants C et D noirs, et la lunette arrière inclinée. La poupe est totalement lissée, avec un hayon légèrement concave, et une signature lumineuse acérée. C’est net et sans bavure de la part de Skoda. Dans l’habitacle, la planche de bord est tout aussi innovante, et nous rappelle immédiatement, celle du tout nouveau BMW iX3 (Panoramic Vision). Skoda a donc opté pour un écran type bandeau, à la base du pare-brise, et un écran tactile vertical, au centre. La marque l’équipe néanmoins de quelques commandes physiques, sur le volant d’abord, et au niveau du tunnel central, avec une molette, et des petites gâchettes pour la climatisation. La teinte « gris claire », donne évidemment, un maximum de clarté à bord. Il est bien trop tôt, pour connaître les caractéristiques techniques. Skoda annonce par contre, une conduite semi-autonome de niveau 4/5, permettant au conducteur de se détendre entièrement. Quand cette aide à la conduite est activée, l’éclairage extérieur devient bleu turquoise. La marque tchèque annonce entre autres, la présence d’un maximum de matières recyclés, d’un parapluie dans chaque portière, d’un réfrigérateur pouvant faire office de glacière lors d’un pique-nique, et d’une enceinte bluetooth, également détachable.    


12 Septembre 2025 : La gamme Ferrari, accueille un tout nouveau modèle. En fait, cette nouvelle venue remplace la puissante SF90, sortie elle, en 2019. D’ailleurs, cette Ferrari 849 Testarossa, reprend en grande partie, la base technique de la SF90. Au niveau du look, ce n’est pas la même histoire. Comme vous l’aurez remarqué, Ferrari a choisi de faire renaître l’appellation Testarossa (Culasse rouge), qui fait référence à la 250 Testarossa de 1957, et la célèbre supersportive des années 80. Cette 849 Testarossa, se situe juste en dessous, de l’hypercar F80, dans la gamme du constructeur de Maranello. Elle reprend le bloc moteur hybride rechargeable de la SF90, soit le V8 4.0L Bi-Turbo avec une unité MGU-K (récupération d’énergie cinétique), qui passe de 780 à 830ch. On dispose toujours de deux moteurs électriques (220ch) positionnés à l’avant. Résultat, on dispose d’une supersportive de 1050ch, pour un couple de 842nm. La batterie de 7.45kWh, permet de se déplacer sur 25 km, en mode électrique. Néanmoins, on se doute bien, que cette énergie servira la plupart du temps, à disposer de la puissance maximale. Le 0 à 100km/h est effectué en 2.25s, le 0 à 200km/h, en 6.35s, et la vitesse maxi est de 330km/h. Les performances sont donc en progrès, mais les évolutions ne s’arrêtent pas là. Les voies ont été élargies, la suspension pilotée est reparamétrée, les freins à commande électrique, sont plus performants, et un système « Torque Vectoring » régule en permanence le couple, sur les deux roues avant. Un système FIVE (pour Ferrari Integrated Vehicle Estimator), a pour mission, d’anticiper les actions du pilote, et d’agir donc plus rapidement, sur les aides à la conduite. Côté design, Ferrari a privilégié l’aérodynamisme, en sacrifiant très clairement l’élégance naturelle de la SF90. Elle est également, beaucoup moins attirante, que la Testarossa de 1984. Enorme lame type pelle à tarte, à l’avant, deux ailettes en haut du bouclier, deux ailettes supplémentaires à l’arrière, un élément couleur noir au niveau des prises d’air latérales, qui a tendance à casser la ligne, Ferrari annonce 415kg d’appui, à 250km/h. Mais vous pourrez opter pour le pack Assetto Fiorano, qui ajoutera un kit aérodynamique encore plus expressif, une monte pneumatique Michelin Pilot Sport Cup 2, des jantes en carbone, et un amortissement recalibré. Cette Ferrari 849 Testarossa sera disponible à partir de 460 000€ en coupé, et 500 000€ en roadster.


11 Septembre 2025 : Hyundai, une des marques les plus innovantes de ces dernières années, présente le concept Three, au Salon de Munich. Et chez le constructeur coréen, tous les concepts ont une finalité, avec des ingénieurs qui concoctent une berline dynamique coupé électrique. Cette dernière devrait s’appeler Ioniq 3. Hyundai dispose déjà d’une gamme de crossover électrique, assez large. L’arrivée d’une berline compacte dynamique, serait donc, une excellente surprise. MG 4, Renault Megane E-Tech, futur VW Golf Electric, Hyundai prépare son offensive. De profil, impossible de ne pas faire un rapprochement, avec l’atypique coupé asymétrique, Veloster, produit dans les années 2010. Ce Hyundai Concept Three, opte lui, pour des portes à ouverture antagoniste, une particularité que l’on ne retrouvera probablement pas, sur le modèle de série. Une carrosserie avec de grandes surfaces lissées, un profil fastback, une grille de calandre en pixels, des feux arrière de même type, des passages de roue marqués, le style est définitivement sportif. Hyundai annonce qu’il ressemble à 80%, au modèle de série, mais on ne sait pas encore si on aura affaire à une pure berline, ou un crossover sportif. On sait par contre, que ce futur Ioniq 3, reposera sur la plate-forme E-GMP 400V du groupe, qu’il partagera avec le Kia EV3. On peut donc s’attendre à des batteries d’une capacité de 58 ou 81kWh, et une motorisation électrique d’entrée de gamme de 204ch, positionnée à l’avant. Impossible de se faire une idée de la future planche de bord, ce concept Three nous propose pour le moment, une atmosphère inspirée des jeux vidéo des années 80. Le modèle de série étrennera le nouveau système multimédia Androïd Pleos, avec compatibilité Applecarplay Ultra. Ce véhicule débarquera sur nos routes, à la fin de l’année prochaine, avec un site de production, basé en Turquie. 


10 Septembre 2025 : Au Salon de Munich, Porsche débarque avec sa 911 Turbo S restylée. C’est en fait, une évolution mécanique majeure pour la célèbre sportive. Comme la 911 GTS T-Hybrid, cette 911 Turbo S type 992 phase 2, est à présent, un véhicule full hybride. Dommage, elle ne pourra pas fonctionner en mode 100% électrique, le système T-Hybrid étant avant tout, dédié à la performance. Le Flat 6 3.6L Bi-Turbo (cylindrée légèrement en baisse), profite de Turbos électriques, et d’un moteur électrique de 82ch et 188nm de couple (batterie de 1.9kWh), intégré à la boîte de vitesse PDK à 8 rapports. Résultat, la puissance passe de 650ch à 711ch, et le couple est bridé à 800nm. Malgré 85kg de plus sur la balance, ce monstre abat le 0 à 100km/h en 2.5s, le 0 à 200km/h en 8.4s, mais la vitesse maxi est en léger retrait, avec 322km /h au lieu de 330. Transmission intégrale, suspensions pilotées, Porsche améliore son contrôle de stabilité PDCC, qui fonctionne à présent sur un réseau 400 volts. Il maîtrise plus rapidement les mouvements de caisse. Le système de freinage carbone céramique a été renforcé. Cette 911 Turbo S T-Hybrid a déjà fait parler la poudre sur la boucle du Nurburgring (7mn03s92), avec un temps inférieur de 14s, par rapport à la Turbo S actuelle. A l’instar de la 911 GTS T-Hybrid, la Turbo S adopte les mêmes ouïes, au niveau du bouclier avant. Elles se ferment ou s’ouvrent, selon les conditions de roulage. Le constructeur de Stuggart propose également, des sorties d’échappement en titane redessinées (coupé), des feux discrètement retouchés, et des inserts de teinte grise (Turbonite) habillent quelques éléments intérieurs et extérieurs. Comme on pouvait s’y attendre, les tarifs sont en hausse (d’environ 25000€), pour atteindre 275 400€ concernant le coupé, et 289 700€ pour le cabriolet. Et, inutile de rêver, malgré une consommation mixte en légère baisse avec ses 11.6L au 100km (262gCO2/km), le malus écologique sera toujours de 70 000€ en France.  


09 Septembre 2025 : Renault a visé juste en 1990, en remplaçant sa Supercinq, par un modèle inédit, et qui s’est écoulé à plus de 17 millions d’exemplaires en 35 ans. On parle évidemment de la Clio. Cinq générations plus tard, ce véhicule est toujours aussi populaire, malgré un style devenu très consensuel. Le travail de design de cette sixième mouture, a été supervisé par Gilles Vidal, avant qu’il ne quitte la firme au losange, pour un retour chez Stellantis. Cette Renault Clio VI, casse les codes. La face avant très expressive, lui donne une agressivité certaine, mais la partie la plus clivante, ce sera sans doute, cette poupe, devenue très anguleuse. Pour commencer, cette citadine compacte, est à présent, la plus grande de la catégorie (4.12m), devant le Dacia Sandero (4.09m) et la MG 3 (4.11m). Elle est aussi volumineuse, qu’une Megane E-Tech. Elle reprend en grande partie, la base technique de la génération précédente, avec un empattement majoré de seulement 8mm, et des porte-à-faux allongés. De profil, on note la présence de passage de roue et bas de caisse, noirs laqués, à l’image d’une Peugeot 208 GT. On remarque également, cette double nervure de carrosserie au niveau des feux arrière. La calandre hexagonale et le bouclier, se parent d’une multitude de losanges, et intègrent une signature lumineuse en parenthèse. Le bloc phare principal, est engoncé dans un élément en plastique, aux formes complexes. A l’arrière, les quatre petits feux hexagonaux, sont également bardés de plastique. La lunette arrière inclinée, lui donne un style de coupé, et son hayon concave aux arêtes vives, transfigure la citadine. Dans l’habitacle, les changements sont tous aussi radicaux, mais le dessin de cette planche de bord nous rappelle celle, de la R5 E-Tech. Si la Clio V misait sur une finition soignée, la Clio VI mise sur tout sur l’ambiance, avec un étrange insert type alu avec des effets teintés, des éléments lumineux sur les portières, et un éclairage d’ambiance travaillé. Devant le conducteur, une instrumentation numérique de 7 ou 10.1 pouces, et un écran central tactile de série de 10.1 pouces. Le système d’info-divertissement openR link développé par Google, les applications associées, applecarplay et androïd auto sans fil, et une mémoire de 2Go, pour enregistrer vos musiques préférées ou 3 heures de film, on a affaire à une citadine ultra-technologique. Pour tracter tout ça, Renault propose le trois cylindres 1.2TCe micro-hybride 12V de 115ch (boîte manuelle ou EDC), une version 1.2 Eco-G (GPL) de 120ch (Boîte auto 6 rapports), ou le bloc 1.8L full hybrid E-Tech de 160ch (batterie de 1.4kWh et boîte à crabots).      


08 Septembre 2025 : A l’instar de BMW avec son nouveau iX3, Mercedes lève le voile sur son GLC Electric. Ce nouveau modèle viendra remplacer à court terme, l’EQC, dans la gamme à l’étoile. Nous disposerons donc d’un GLC thermique et électrique. Néanmoins, ces deux véhicules ne reposeront pas sur la même plate-forme. Ce Mercedes GLC Electric ou EQ, selon le bon vouloir de Mercedes, ne reprend pas la plate-forme EVA (Electric Vehicule Architecture) de l’EQC. Il profite d’une toute nouvelle plate-forme, baptisée MB.EA, qu’il partagera avec la future berline électrique, Classe C EQ. Par rapport à l’ancienne gamme EQ, ce nouveau SUV familial électrique, élève son niveau de jeu, grâce à une architecture 800V plus performante, et une architecture SDV (véhicule défini par le logiciel) plus technologique. Mais on va revenir sur le style de ce gros bébé, qui arbore une énorme calandre, inspirée du passé. Le chrome a été remplacé par 942 LEDs (optionnel). C’est assez clinquant, comme d’habitude chez Mercedes, mais ce GLC EQ dispose d’un sacré charisme. Ca parait donc massif, mais le coefficient de pénétration dans l’air de seulement 0.24, est un atout pour un modèle électrique. Le profil est définitivement classique. La poupe se caractérise, par un élément noir vitré, intégrant cette signature lumineuse en étoile. Dans l’habitacle, Mercedes ne fait pas dans la demi-mesure. Les versions d’entrée de gamme, proposeront une grande instrumentation numérique, un écran central de 14 pouces, et un écran passager optionnel de même taille. Les versions les plus prestigieuses, profiteront d’une énorme dalle de 99.3cm de large, englobant toute la planche de bord. Le nouveau système MB.OS fait largement appel à l’intelligence artificielle. Il est capable de s’adapter à vos besoins, côté itinéraire, applications utilisées, et réglages de confort. Tunnel central avec porte-gobelet et chargeur par induction, vaste espace de rangement en partie basse, des matériaux de bonne facture, mais toujours un peu bling bling, Mercedes a décidé d’habiller cet habitacle, avec du cuir 100% Vegan. L’empattement de 2.97, annonce une habitabilité très conséquente, et le coffre cube un bon 570 litres. Pour son lancement, Mercedes proposera la version 400 4Matic, avec une double motorisation cumulant 489ch, une batterie de 94kWh (autonomie de 713km), et une puissance de charge maxi de 330kW (10 à 80% en 22mn). Le 0 à 100km/h est expédié en 4.3s, et il croise à 210km/h.  


07 Septembre 2025 : Enfin, les grands groupes automobiles français, commencent à comprendre, que rentrer frontalement en concurrence, avec les constructeurs chinois, n’était peut-être pas la bonne solution. Le groupe Stellantis est déjà très lié à la marque Leapmotor. Renault a de son côté, signé un partenariat avec le géant chinois Geely. Cette association a donné naissance à la coentreprise Horse Powertrain (19 000 employés et 17 usines), en 2022. Cette entité est détenue par Renault (45%), Geely (45%) et Aramco (10%). Le centre de recherche et développement, nous dévoile un groupe motopropulseur révolutionnaire, qui fera office de prolongateur d’autonomie, pour les véhicules électriques. Cette mécanique, dénommée Horse C15, se compose d’un 4 cylindres 1.5L atmosphérique de 95ch, avec système de refroidissement intégré, et d’un onduleur. L’ensemble doit alimenter la batterie d’un véhicule électrique, mais ne sera normalement, pas relié aux roues. Il peut néanmoins s’équiper d’un arbre de transmission, au bon vouloir du constructeur. Son atout, c’est sa compacité 50cmX55cmX27.5cm. On peut le comparer à une petite valise. Il peut être installé sur des plates-formes électriques, sans trop de modifications. Il peut être positionné à l’avant ou à l’arrière d’un véhicule, et dans n’importe quelle position. Il peut fonctionner à l’essence, à l’éthanol, au méthanol ou au carburant synthétique. Geely et Renault, pourront donc, assez facilement, convertir des véhicules 100% électriques, en un véhicule hybride, à prolongateur d’autonomie. Une version turbocompressé de 163ch, est également annoncée.    


06 Septembre 2025 : BMW dévoile enfin son nouveau SUV familiale 100% électrique. Contrairement à la génération précédente, cette dernière ne repose plus sur la plate-forme CLAR du X3. Ce BMW iX3 a droit à cet inédit châssis Neue Klasse, et à un design qui lui est propre. On avait découvert les grandes lignes de ce modèle en 2024, via un concept-car. Le modèle de série est tout aussi innovant, avec une proue qui arbore une signature lumineuse à la fois discrète et agressive, un masque noir avec éléments lumineux, et un double haricot rétroéclairé. Au niveau du bouclier, le véhicule s’équipe de volets actifs, les poignées de portes sont affleurantes, le becquet arrière est creusé, et la carrosserie est lissée au maximum. Résultat, le coefficient de pénétration dans l’air passe de 0.29 à 0.24. Au niveau de la poupe, BMW a opté pour une signature lumineuse très large, avec barrettes obliques. A part la forme du double haricot, qui rappelle la berline Neue Klasse des années 60, ce nouveau iX3 dispose d’un style très futuriste. Dans l’habitacle, c’est encore mieux, avec l’adoption de cette planche bord, dénommée Panoramic iDrive. Trois fins écrans prennent place au niveau du pare-brise, et s’étendent sur toute la largeur du véhicule. On peut modifier l’affichage, très facilement, via la tablette tactile centrale de 18 pouces. Attention, les commandes physiques se font rares dans ce iX3, et BMW annonce 60 applications, au niveau de son système d’info-divertissement, ce qui fait craindre le pire, côté ergonomie. On peut néanmoins, déjà apprécié la modernité de cet habitacle, composé pour un tiers, de matériaux recyclés. On remarque également, le dessin original, mais un peu bling bling, du nouveau volant. Ce BMW iX3 de 4.78m de long, propose un empattement généreux de 2.90m. Pas trop de soucis à se faire côté habitabilité, et la capacité de chargement reste à peu près stable, avec un coffre de 520 litres (+10L). On n’oublie pas que cette nouvelle génération, dispose d’un frunk de 58 litres, sous le capot avant. Les innovations ne s’arrêtent pas là, puisque la marque à l’hélice annonce la présence d’une architecture logicielle SDV, avec une puissance de calcul décuplée. De toutes nouvelles aides à la conduite devraient apparaître, avec un véhicule quasiment autonome sur autoroute, capable d’activer les clignotants, de changer de voie, et de réguler la vitesse, de sa propre initiative. Il capte simplement votre regard dans le rétroviseur, et devine vos intentions. Côté technique, ce châssis Neue Klasse à architecture 800V, peut accueillir une batterie NMC à cellules cylindriques de 108.7kWh. Cette nouvelle génération de batterie propose une puissance de charge de 400kW, permettant de récupérer 372km d’autonomie en 10mn. BMW annonce une autonomie totale de 800km, selon le cycle WLTP. La version 4 roues motrices 50 xDrive, sera le premier modèle disponible sur le marché. Sa double motorisation électrique de 469ch et 645nm de couple, permet un 0 à 100km/h en 4.9s, et une vitesse maximale de 210km/h. Pas mal, pour un gros bébé qui accuse tout de même, 2360kg sur la balance.    


05 Septembre 2025 : Le groupe Volkswagen n’a pas été épargné par les problèmes, ces dix dernières années. L’affaire du dieselgate révélé en 2015, et la transition électrique compliquée, des dizaines de milliards se sont envolées, et cela a évidemment eu un impact sur la marque Premium, Audi. A l’époque, la marque aux anneaux bénéficiait d’une réputation en béton armé, concernant la qualité de finition, les motorisations et la présentation, de ses modèles. Audi, cette marque ultra sérieuse, proposait des véhicules attrayants, tels que le TT ou la R8. Aujourd’hui, Audi mise sur un gamme plutôt classique, qui fait la part belle au SUV. La situation actuelle, va certainement évoluer. Dans quelques jours, le public pourra découvrir ce concept C, au Salon de Munich. Il préfigure un futur modèle de série, qui devrait débarquer sur les routes en 2027. Vu le style de ce concept, on peut supposer qu’il reprend la base technique des futurs Porsche Boxster et Cayman. Long de 4.52m, ce concept propose un design sans fioritures, avec un minimum de nervures de carrosserie, un éclairage simplifié par rapport à la gamme actuelle, et une calandre d’un nouveau genre. Ces dernières années, Audi voulait nous en mettre plein la vue, avec un design et un habitacle, plutôt chargés, et une signature lumineuse un peu clinquante. Cet Audi Concept C fait dans la simplicité, avec son style racé, ses feux à LED  très affinés, et une calandre en forme de rectangle, qui arbore le logo, et le radar en partie basse. Pas de lunette arrière, mais un élément tôlé avec trois persiennes. La rétro-vision est assurée par un rétroviseur intérieur numérique. Ce Concept C est un coupé-cabriolet, et on note le retour de la capote dure, avec un système de déploiement type « Targa ». Dans l’habitacle, on retrouve l’esprit de l’Audi TT. Une instrumentation numérique devant le conducteur, et un écran central tactile de 10.4 pouces, escamotable. Du côté des matériaux, ce show-car fait la part belle à l’aluminium et le textile. C’est beau, c’est net, et sans bavure. Côté motorisation, pas de données techniques, mais le modèle de série sera sans doute électrique, comme les cousins de chez Porsche.


04 Septembre 2025 : Les berlines familiales et break, se font rares sur le vieux continent. Ce n’est évidemment pas le cas en Chine. BYD mise sur sa Seal 6 DM-i, pour convertir la clientèle européenne. Elle viendra contrer les Volkswagen Passat et Skoda Superb. Le constructeur chinois mise donc, sur cette version hybride rechargeable. Le design est plutôt consensuel, mais l’ensemble ne manque pas d’élégance, grâce à une jolie signature lumineuse, une ligne tendue, et un profil aérodynamique (cx de 0.28). Dans l’habitacle, c’est assez zen avec une planche de bord épurée, une finition soignée comme d’habitude, une instrumentation de 8.8 pouces pour le conducteur, un écran central pivotant de 12.8 ou 15.6 pouces, et quelques commandes physiques sur le volant et le tunnel central. Sur la version d’entrée de gamme Boost, on peut déjà compter sur le régulateur de vitesse adaptatif, la caméra de recul, la surveillance des angles-morts, les sièges électriques, la navigation, et le hayon motorisé (break). La berline pourra embarquer entre 491 et 1370 litres de bagages, et le break, entre 500 et 1535 litres. Pour mouvoir l’ensemble, BYD l’équipe d’un 4 cylindres 1.5L de 98ch et d’un moteur électrique de 197ch. La puissance cumulée est bridée à 184ch. La batterie de 10.08kWh (puissance de charge de 3.3kW AC), permet de parcourir 55km en mode zéro émission. Les versions haut de gamme (Comfort et Comfort Lite), proposent une puissance cumulée de 212ch et une batterie de 19kWh (puissance de charge de 6.6kW AC ou de 26kW DC), permettant une autonomie électrique de 105km. 


02 Septembre 2025 : Hongqi EHS5, c’est le nouveau SUV familial qui débarquera au Salon de Munich, dans quelques jours. Hongqi (née en 1958) est la plus ancienne marque automobile chinoise. Elle réservait sa production aux fonctionnaires de haut rang à cette époque. D’ailleurs, Hongqi signifie « Drapeau Rouge » en chinois. Propriété du groupe FAW aujourd’hui, le constructeur s’est spécialisé dans les véhicules haut de gamme. L’EHS5, c’est le plus petit SUV de la gamme. Et pourtant, il mesure déjà 4.75m. Il reprend la plate-forme à architecture 800V, de la berline EH5. Son empattement de 2.90m, permet d’accueillir confortablement, la grosse batterie de 85kWh, pouvant encaisser une charge de 265kW. Hongqi annonce une autonomie WLTP de 600km, et une recharge de 10 à 80% en 20mn. La version haut de gamme, dispose d’une double motorisation électrique, cumulant 560ch. L’entrée de gamme propulsion, développe 286ch, et est associé à une batterie de 62kWh. Le constructeur chinois élabore actuellement, une version 900V, qui a pour but d’améliorer, aussi bien l’autonomie que la puissance de charge. Dans l’habitacle, toutes les technologies sont disponibles sur l’écran 15.6 pouces, et le véhicule dispose d’un chargeur par induction de 40W, d’une pompe à chaleur, d’un toit en verre panoramique, d’un système de navigation avec pré-conditionnement de la batterie, et d’un affichage tête-haute à réalité augmentée.


02 Septembre 2025 : On pourrait penser à une toute nouvelle génération, mais il s’agit en fait d’une grosse remise à jour esthétique. Le Kia Stonic, sorti en 2017, connaît une carrière très discrète, en Europe, mais également à la Réunion. Ce millésime 2025, reprend la même base technique, une plate-forme qu’elle partage déjà avec la Kia Rio, Hyundai i20 et Hyundai Bayon. Face aux coûts de développement des modèles électriques, tous les constructeurs ont décidé de prolonger la carrière des véhicules thermiques. Afin de rester dans le coup, Kia a tout de même décidé de transfigurer le design, de son crossover urbain. Le Stonic récupère donc les codes stylistiques de la gamme actuelle. Disparition de la petite calandre, adoption de cette signature lumineuse très géométrique, un bouclier massif avec insert en alu, il est totalement méconnaissable. Même topo à l’arrière, avec un style plus anguleux et de nouveaux feux. De profil, le véhicule évolue très peu, et se montre toujours aussi compact avec ses 4.17m (+3cm). Dans l’habitacle, tout change au niveau de la planche de bord, avec l’arrivée de cette double dalle numérique de 12.3 pouces, des nouveaux aérateurs et commandes de climatisation. On note aussi la présence de ces volants deux ou trois branches, plus modernes. Pas de changement au niveau habitabilité et capacité de chargement, et on reconnaît l’ancienne commande de boîte de vitesse, prouvant que la base technique n'a pas changé. Sous le capot, Kia propose donc le 1.0T-GDi de 100ch, ou de 115ch, en version mild-hybrid 48V.


01 Septembre 2025 : Pour les éternels insatisfaits, Brabus a décidé de booster le monstrueux Mercedes-AMG G63, depuis déjà un moment. Concernant le millésime 2025, le préparateur allemand a revu le design de ce Classe G, et ce n’est définitivement pas discret. Sans atteindre l’excentricité de Mansory, ce Brabus G63 800 se pare d’un capot avant avec prise d’air, d’une calandre Panamerica et d’un bouclier modifié, de projecteurs additionnels sur le toit, d’ailes élargies, d’un gros becquet de toit, d’extracteurs au niveau des ailes, de marquages Brabus 800 en orange, et de jantes spécifiques pleines. Dans l’habitacle, le ciel de toit étoilé, la sellerie en cuir matelassé, les surpiqûres orange, et les inserts en fibre de carbone, transfigurent l’ambiance à bord. Sous le capot, le bloc V8 4.0L Bi-Turbo, passe de 585ch à 800ch. Ce mammouth est clairement plus performant, avec un 0 à 100km/h effectué en 4.1s, mais on doute de l’utilité de cette opération. La ligne d’échappement avec finition en carbone, devrait donner de la voix.  


30 Août 2025 : Le département Land-Rover Classic, rend hommage à l’ancien premier ministre Anglais, Winston Churchill. Dix exemplaires, produits de 2012 à 2016, ont été rénovés. Ca commence par la teinte « vert bronze », les jantes en acier de 16 pouces, les pare-chocs galvanisés, et les nombreux éléments métalliques. A l’avant, on remarque le masque noir pour le phare avant droit, à la place de la plaque d’immatriculation du modèle originel (UKE 80). On retrouve justement un marquage « UKE 80 » sur les ailes avant. Le client pourra disposer d’un Land-Rover Defender 90 (3 portes) ou 110 (5 portes), et pourra même choisir une version Soft Top, avec son toit souple qui se dézippe. De nombreux détails ornent également l’habitacle, comme une horloge aux couleurs de Pol Roger, la marque de boisson préférée de Churchill. On rappelle qu’il ne conduisait pas, et que son véhicule avait été aménagé du côté passager, avec un siège plus large, un accoudoir, une poignée de maintien en cuir, et une buse de chauffage supplémentaire au niveau des pieds. Cela lui permettait de se balader sur son domaine de Chartwell, cigare à la main. Dommage, dans la version rénovée, Land-Rover a oublié d’installer un cendrier. On a néanmoins droit à un minimum de modernité, avec une Radio DAB, un système de navigation parfaitement camouflé, et une connexion bluetooth. Sous le capot de ce Land-Rover Defender Churchill Edition, on note la présence d’un V8 5.0L de 405ch et 515nm de couple, pouvant propulser ce mythique engin de 0 à 100km/h, en 5.9s. Il est accouplé à une transmission automatique à 8 rapports. L’amortissement est confié à Eibach (Ressorts) et Bilstein (Amortisseurs), et le système de freinage est signé Alcon. Il ne reste plus qu’à découvrir le tarif de l’engin, qui a demandé des centaines d’heures de travail. Il faudra débourser l’équivalent, d’environ 280 000 dollars hors-taxes, pour acquérir un des dix exemplaires.


29 Août 2025 : La Yangwang U9, avec ses 1305ch, est une des sportives électriques les plus efficaces au monde. La filiale sportive de BYD, a souhaité néanmoins, aller plus loin, avec cette version Track Edition. Le constructeur chinois l’a équipé de 4 moteurs électriques de 754ch (un moteur par roue), qui cumulent donc 3016ch. Le but était d’aller chercher le record de vitesse, pour une voiture électrique. Mission très clairement réussie, car elle devance la terrible Rimac Nevera R avec ses 431km/h et la très exclusive Aspark Owl avec ses 439km/h. Cette Yangwang U9 Track Edition a croisé à 472.41km/h. Malgré la présence du sa suspension pneumatique DiSus-X et sa monte pneumatique spécifique développée par Giti Tire, la stabilité a été mise à mal, sur la piste d’essai plutôt bosselée de Papenburg, en Allemagne. Il reste une dernière mission pour ce monstre électrique, établir un record sur la boucle du Nurburgring. 


28 Août 2025 : C’est la rentrée, et le Salon de Munich est en approche, certains constructeurs dévoilent donc leurs dernières nouveautés. Chez Volkswagen, c’est le renouvellement d’un modèle emblématique. En effet, le T-Roc est extrêmement populaire dans la gamme, et devance même la Golf en termes de ventes. Bref, il a profité de l’effet de mode, SUV urbain. La seconde génération se dévoile, et comme on pouvait s’y attendre, il a pris quelques centimètres, en passant de 4.25m à 4.37m. Cela dépend néanmoins de la finition choisie, avec un bouclier avant qui diffère. Il se positionne entre le T-Cross (4.13m), le Taïgo (4.27m) et le Tiguan (4.54m) Au niveau du look, on retrouve à peu près le même profil, mais les lignes se sont adoucies. Plus de rondeurs au niveau de la face avant, avec des feux en amande et l’absence de calandre. Un bandeau lumineux arbore ce faciès, et le logo est rétroéclairé en option. En partie basse, c’est le bouclier qui se charge de faire respirer la mécanique. Il est très expressif, mais son aspect fait très plastique. A l’arrière, le dessin est un mix entre un Tiguan et un Taïgo, avec un signature lumineuse traversante et un logo éclairé en rouge. Dans l’habitacle, ce Volkswagen T-Roc II, s’est appliqué à améliorer sa finition, la première génération étant souvent critiquée pour ses matériaux durs. Des plastiques de meilleure qualité, du textile à base de matières recyclées sur la planche de bord, éclairage d’ambiance soigné, écran central tactile de 10.4 ou 12.9 pouces, instrumentation numérique de 10 pouces sans casquette, petite molette multifonction sur le tunnel central, une habitabilité en légère progression avec un empattement majoré de 3cm, il devrait être agréable à vivre. Pour ce début de carrière, ce T-Roc mise sur le classique 1.5TSi micro-hybride 48V, de 116ch ou 150ch. Mais Volkswagen mise aussi, sur sa première motorisation full Hybride HEV 1.5TSi, qui développera 136ch ou 170ch. Ce nouveau bloc moteur arrivera très bientôt dans la gamme. Moins cher qu’une hybride rechargeable, ce type de motorisation permet à ce T-Roc, de concurrencer enfin, une multitude de SUV hybride, sur le marché.     


27 Août 2025 : C’était attendu, la marque au lion prévoyait de donner une petite jeunesse à sa 308. La Peugeot 308 de troisième génération phase 2, vient d’être dévoilée. C’est clairement la face avant, qui profite de ce lifting. Nouveaux feux diurnes à trois faisceaux de série en partie haute, en finition haut de gamme, Peugeot ajoute une calandre et un logo rétroéclairés. Plus bas, on retrouve une calandre couleur carrosserie, et on remarque un insert noir, qui intègre le bloc phare principal, aux extrémités. La découpe du bouclier, est plus agressive, et Peugeot ajoute deux entrées d’air, qui font la jonction avec les passages de roue. A l’arrière, la signature lumineuse en diagonale de la finition GT, équipe à présent toute la gamme. Les fausses canules d’échappement, ne sont plus chromées, mais noir brillant. Cette 308 III phase 2, est disponible avec de nouvelles jantes en 17 ou 18 pouces, et deux teintes supplémentaires (Bleu Ingaro et Bleu Lagoa) enrichissent le catalogue. Pas de grand changement à bord, avec toujours cet écran central tactile de 10 pouces, et les raccourcis i-Toggles, mais l’instrumentation numérique 3D propose un nouveau graphisme. Sous le capot, on retrouve le bloc 1.2L Turbo MHEV 48V de 145ch (boîte e-DSC6), le 1.5BlueHDi de 130ch (boîte EAT8), et la version hybride rechargeable 1.6L PHEV de 195ch, avec batterie de 17.2kWh (85km d’autonomie en électrique). Enfin, le modèle 100% électrique développe toujours 156ch, mais Peugeot propose une batterie plus volumineuse, qui passe de 51 à 55.4kWh net. Résultat, avec une autonomie totale de 450km, le rayon d’action est amélioré de 34km. La fonction V2L, permettant d’alimenter des appareils électriques, est enfin disponible. En plus des finitions Style, Allure et GT, Peugeot ajoute une version très haut de gamme, dénommée GT Exclusive (ChatGPT, instrumentation 3D, sièges chauffants et massants, sellerie en alcantara, jantes 18 pouces diamantées et navigation connectée).


26 Août 2025 : Deux mois après la présentation du nouveau Q3, Audi enchaîne avec le Q3 Sportback. Cette version dynamisée a trouvé sa place dans la gamme, et représente 43% des ventes de la famille Q3. Aucune surprise au niveau du look avec cet Audi Q3 Sportback, qui reprend en grande partie, les lignes du Q3. Le véhicule est moins haut de 3cm, et la lunette arrière inclinée, évoque le style d’un coupé. C’est à peu près tout, au niveau des différences. A part ça, on retrouve la calandre Single Frame proéminente, cerclée d’un élément couleur carrosserie, les feux diurnes en hauteur, et le bloc phare principal dans le bouclier, avec des projecteurs matriciels LED en option. A l’arrière, les feux se sont affinés par rapport à la génération précédente, et sont soulignés par un bandeau lumineux traversant. Dans l’habitacle, la double dalle numérique se compose d’une instrumentation de 11.9 pouces pour le conducteur, et d’un écran central tactile de 14.8 pouces. L’ergonomie évolue, avec une commande de boîte à droite du volant, et des commandes de clignotants et d’essuie-glace, à gauche. Comme dans le Q3, cette version Sportback profite d’une banquette arrière coulissante, faisant varier la capacité de chargement, de 488 à 575 litres. Attention, la version hybride rechargeable, fait perdre une centaine de litres, à ce coffre. Justement, côté motorisation, on peut choisir les version 35TFSi (1.5L essence) et 35TDi (2.0L Diesel), avec système micro-hybride 48V, développant toutes les deux, 150ch. Le modèle 45 e-hybride, se dote lui, d’un bloc thermique 1.5TFSi et d’un moteur électrique, cumulant 272ch. L’énorme batterie de 25.7kWh, promet une autonomie de 120km, en mode zéro émission. Vous pourrez découvrir ce nouveau Q3 Sportback en septembre, au Salon de Munich.  


25 Août 2025 : Nissan est en grande difficulté, mais il reste dans sa gamme, des véhicules innovants, qui font encore référence. C’est le cas du X-Trail, qui est disponible en version hybride e-4ORCE. Le constructeur nippon propose à présent, une version Nismo sur son marché domestique. Pas de changement sous le capot moteur, avec une double motorisation électrique, développant 213ch et 525nm de couple. Elle est alimentée par une petite batterie de 2.1kWh, et un moteur thermique 3 cylindres 1.5L Turbo. Malgré le poids de près d’1.9 tonne, ce SUV 7 places abat le 0 à 100km/h en 7.0s, et croise à 180km/h. Ce Nissan X-Trail e-4ORCE Hybride Nismo, dispose pour l’occasion, d’un kit carrosserie spécifique, de nouveaux trains roulants, et d’un habitacle plus sportif. Spoiler, diffuseur, bas de caisse, inserts rouges, jantes Enkei en 20 pouces, et monte pneumatique Michelin Pilot Sport EV, le look est clairement dynamisé. A l’intérieur, le rouge et le noir est à l’honneur, et on a droit à du simili-cuir et de la suédine. Le client pourra opter pour des sièges baquets Recaro. Ce X-Trail profite également de suspensions Kayaba Swing Valve, d’une direction recalibrée, d’une meilleure répartition du couple sur le train avant, et d’une cartographie moteur plus sportive.


24 Août 2025 : BJ 212 pour Beijing-Jeep 212, est un véhicule extrêmement populaire en Chine, né d’un partenariat entre la société Beijing et l’industrie automobile russe, dans les années 60. La nouvelle entité BAW (Beijing Automobile Works) souhaite encore capitaliser sur ce modèle aujourd’hui. Au Salon de Munich, on pourra découvrir ce BAW 212, grâce à la société IndiMO Automotive GmbH (importateur de voiture chinoise pour l’Europe). Ce nouveau modèle ne trahit pas ses origines, avec un look digne de son ancêtre. Ce pur 4x4 de 4.70m de long, 1.90 de large et 1.93m de haut, n’aura aucun mal à concurrencer un bon vieux Defender ou un Mercedes Classe G. Son empattement de 2.86m devrait assurer côté habitabilité. Instrumentation numérique, grand écran central tactile, du simili-cuir de partout, des inserts type aluminium, la finition ne souffre pas la critique. Sous son capot, un bloc 2.0L turbo diesel de 166ch, passe la puissance au sol, via une transmission intégrale enclenchable, et une boîte automatique à 8 rapports. BAW annonce une consommation de 8.5L au 100km pour des rejets de CO2 de 244g/km. Le BAW 212 sera commercialisé en Allemagne dès le mois de septembre. IndiMO se charge de la fourniture des pièces de rechange, et de l’assistance technique, via un réseau de concessionnaires agréés.


22 Août 2025 : Ringbrothers Octavia, c’est un monstrueux véhicule au style néo-rétro. Rien à voir avec la marque Skoda, et malgré la présence d’un V8 Ford Coyotte sous le capot, l’engin a pour origine, Aston-Martin. Ringbrothers, le préparateur américain, spécialisé dans la restauration de véhicules de prestige, a décidé de s’attaquer à l’Aston-Martin DBS de 1971. Il ne reste plus rien de la GT originelle, qui n’a été qu’une source d’inspiration. Le châssis est spécifique à ce restomod, et tous les panneaux de carrosserie son en fibre de carbone. Les frères Ring et le designer, Gary Ragle, ont voulu mélanger le style élégant d’une Aston-Martin, et la bestialité naturelle d’une Muscle-car. Mission accomplie, avec une Ringbrothers Octavia, qui dispose d’une sacrée gueule. L’amortissement est signé Fox Racing, et le système de freinage est fourni par Brembo. Les jantes de 19 pouces à l’avant et 20 pouces à l’arrière, s’équipent de pneus Michelin Pilot Sport Cup 2. Ce véhicule a demandé 12 000 heures de travail, et on ose à peine imaginer son tarif. L’habitacle est tout aussi soigné, avec de l’alu poli, du cuir Connoly, du carbone, du laiton, de la moquette épaisse, et un système de caméras. Sous le capot, le V8 Ford est accouplé à un énorme compresseur, permettant d’atteindre une puissance de 805ch. Ce monstre est équipé d’une boîte manuelle Magnum Tremec à 6 rapports. Cette Octavia pourrait être confié au célèbre agent secret, James Bond 007. D’ailleurs, on remarque l’inscription Aston-Martini sur le couvre-culasse, rappelant la boisson préférée de l’espion. Le patronyme Octavia fait référence à Octavia Smythe (surnommée Octopussy), rivale de James Bond.


21 Août 2025 : Opel prépare doucement, l’arrivée de la septième génération de Corsa. Le modèle actuel date de 2019, et a déjà connu un lifting de taille, en 2023. La nouvelle mouture devrait arriver en 2028. La prochaine Opel Corsa, reposera sur la plate-forme STLA Small, grosse évolution du châssis actuel, dénommé CMP. On ne connaît pas encore à quoi elle ressemblera, mais Opel nous donne de sacrés indices, grâce à un célèbre jeu vidéo. Gran Turismo 7, des studios Polyphony Digital, proposera de faire connaissance avec ce prototype, développé par la marque au Blitz. Ce concept-car sera visible au Salon de Munich, au mois de septembre. La berline compacte est bodybuildée pour l’occasion, avec des ailes et des voies, très larges. Bouclier avant avec une énorme lame striée, des jantes carénées, un diffuseur arrière actif, qui peut coulisser sur 25cm, on est un peu dans le monde de la science-fiction, côté aérodynamisme. Néanmoins, on peut déjà remarquer cette nouvelle calandre « vizor », avec signature lumineuse spécifique et logo rétroéclairé. A l’arrière, c’est le même graphisme, mais on trouve cette fois-ci, le marquage Opel lumineux, et une barrette verticale supplémentaire. L’actuel Grandland, a déjà adopté ces codes stylistiques. Une seule place de disponible dans cette Opel Corsa GSE Vision Gran Turismo, avec un siège central, une planche de bord entièrement dépouillée, et deux petites gâchettes, permettant de couper le moteur, et l’alimentation au niveau de la batterie. Les données de conduite sont projetées sur le pare-brise. Opel annonce une double motorisation (un bloc de 476ch par essieu), pouvant développer une puissance cumulée de 800ch (880ch avec l’overboost). Ces blocs électriques seraient alimentés par une batterie de 82kWh. Avec un poids contenu de 1170kg, ce monstre pourrait abattre le 0 à 100km/h en 2.0s, et croiser à 320km/h.


20 Août 2025 : Tesla est toujours dans une passe difficile. Le constructeur américain connaît une baisse de ses ventes, sans précédent dans le monde, notamment en Europe et en Chine. Justement, sur le marché chinois, et malgré sa Gigafactory basée à Shangai, Tesla a encore vu ses ventes baisser en Juillet (-8.6%). Sur le premier marché mondial des véhicules électriques, la concurrence est devenue féroce, avec des constructeurs chinois à la pointe de la technologie en ce qui concerne les logiciels ou la conception de batteries. Tesla mise comme d’habitude, sur son Model Y, fraîchement restylé. La marque proposera en Chine, une version rallongée, pouvant accueillir six passagers (Model YL photos ci-dessous).

       En Europe, la situation est encore plus compliquée. Dans des pays comme la France, l’Allemagne ou le Royaume Uni, la baisse des ventes est comprise entre 40% et 50%, depuis le début de l’année. L’arrivée du Tesla Model Y millésime 2025, semble freiner cette descente en enfer, en juin et juillet. Néanmoins, sur le vieux continent, Tesla est à présent au coude-à-coude, avec BYD. La firme chinoise, en progression constante chez nous, devrait logiquement être le leader concernant la vente de véhicules 100% électriques, à court terme. Tesla souffre particulièrement au Royaume Uni. Les ventes sont catastrophiques en juillet, avec une baisse de 60% par rapport à l’année dernière. Résultat, la marque a décidé de booster ses ventes, via les sociétés de leasing. On parle de remise allant jusqu’à 40%, prouvant une fois de plus, les tarifs très fluctuants chez Tesla, provoquant la colère des anciens propriétaires. Néanmoins, c’est la seule solution trouvée par la firme Californienne, afin de sauvegarder ses parts de marché, et libérer de l’espace de stockage.


19 Août 2025 : Lexus, filiale premium de Toyota, se montre discrète depuis de nombreuses années. Sa gamme est composée principalement de SUV et berlines, hybrides ou hybrides rechargeables. Les modèles les plus dynamiques, RC et LC, en fin de carrière, restent des véhicules confortables, malgré un niveau de puissance respectable. Il manque clairement un modèle prestigieux, pour ce constructeur premium. On se rappelle notamment, de la fameuse supersportive LFA, dans les années 2010. Son châssis rigide et son moteur avant V10 atmosphérique de 570ch, développé par Yamaha, ont marqué l’histoire de la marque. Lexus présentait à la Monterey Car Week, la Sport Concept. Pas encore de données techniques, mais on remarque le long capot avant et la double sortie d’échappement au niveau de l’aileron rétractable. Ca annonce la présence d’un moteur thermique. Capot plongeant, garde au toit contenue, lame proéminente, extracteur avant, latéral et arrière, diffuseur imposant, on a clairement affaire à une supercar. Les quatre petites hélices en haut de la lunette arrière, sont assez mystérieux, mais il ne s’agit que d’un concept. Le modèle de série pourrait s’appeler LFR, Lexus ayant déjà réservé le nom. Reste à savoir si cette Lexus Sport Concept, verra le jour, la marque étant habituellement très prudente, pour le lancement d’un nouveau modèle.


18 Août 2025 : En Californie, on pouvait faire connaissance avec les meilleures hypercars du moment, lors de la Monterey Car Week. Gordon Murray présentait d’ailleurs deux modèles, dont cette magnifique GMA Le Mans GTR. Elle reprend sa base technique, de la GMA T50. Néanmoins, le style a véritablement changé, avec un véhicule très profilé, une longue queue, un gros aileron fixe, des voies élargies, et de nouveaux soubassements, qui génèrent de l’effet de sol. Le ventilateur de la T50, n’était plus nécessaire. Sous le capot, le V12 4.0L développant 670ch à 12 100tr/mn, donne toujours de la voix. Il est accouplé à une boîte manuelle à 6 rapports. Le conducteur profite de sa position centrale, pour mieux cerner les limites de la piste, mais ce monstre est homologué pour la route. Cette Le Mans GTR est entièrement personnalisable, et sera produite à 24 exemplaires. Malgré son tarif de 2.4 millions de livres sterling, toute la production a déjà été vendue.


15 Août 2025 : La planète est en pleine crise économique. Mais non, pas du tout, nous avons droit à un monde parallèle où toutes les excentricités sont permises. Vous avez craqué pour la Revuelto, la dernière hypercar de Lamborghini, mais vous souhaitez ne pas vous mélanger au petit peuple des riches. Vous, vous êtes un ultra-riche, et vous souhaitez évidemment un modèle plus exclusif. Pas de panique, la firme de Sant’Agata Bolognese a une solution. Pour commencer, Lamborghini a changé à peu près, tous les panneaux de carrosserie. Cela vous permet de vous distinguer, avec la signature lumineuse très discrète à l’avant, un capot échancré, de nouvelles prises d’air latérales, des jantes redessinées, et une poupe en carbone, où réapparaît étrangement, le gros « Y ». Cette Lamborghini Fenomeno est un peu « too much », mais c’est ce que la clientèle visée recherche. Le V12 6.5L accouplé à un moteur électrique à l’arrière, les deux blocs électriques supplémentaires à l’avant, l’ensemble développe 1080ch, soir 65ch de plus que la Revuelto. Bonne nouvelle, le constructeur a tout de même, fait un petit effort, en adoptant une batterie rechargeable de 7kWh, à la place de la petite unité de 3.8kWh. Ca vous permettra de disposer de la puissance maximum, pendant quelques secondes supplémentaires. Pour justifier le prix stratosphérique, Lamborghini annonce un système de freinage carbone céramique issu de la compétition et de nouveaux capteurs 6D, capable de calculer la puissance de freinage en fonction de la vitesse, l’angle de glissement et le frottement entre la route et les pneumatiques. Le véhicule est bien évidemment, entièrement personnalisable, avec 400 teintes différentes et une multitude de matériaux au choix, à bord. La firme prévoit de produire uniquement 29 exemplaires, au tarif d’environ 3 millions d’euros, sachant que la Revuelto est disponible à partir de 500 000€HT.


13 Août 2025 : Rezvani, préparateur américain, surtout connu pour ses véhicules blindés, s’attaque à une légende du monde automobile. Modifier la célèbre Porsche 911, est un exercice risqué. Le petit constructeur reprend la base technique de la 911 Type 992, en lui donnant un look néo-rétro. Cette Rezvani RR1 ressemble au proto 935, qui a connu nombre de succès en course, dans les années 70. On a même droit à cette teinte, aux couleurs Martini. La carrosserie originelle a complètement disparu, et a été remplacée par des éléments en fibre de carbone, et en aluminium, pour les portières. On remarque cette partie arrière plus longue, avec un panneau aérodynamique et un aileron type compétition. Il y a aussi les jantes carénées, de 20 pouces à l’avant, et de 21 pouces à l’arrière. La Rezvani RR1 600, reprend le bloc 6 cylindres 3.0L Bi-Turbo de la 911 Carrera, mais la puissance est boostée à 600ch. Elle s’équipe d’une boîte manuelle à 7 rapports, et avale le 0 à 100km/h en 3.1s. La Rezvani RR1 750, dispose du bloc de la 911 Turbo S, soit le 6 cylindres 3.8L Bi-Turbo, qui développe 715ch pour l’occasion (750ch pour la version piste). La boîte PDK à 7 rapports et la transmission intégrale, sont imposées. Le 0 à 100km/h effectué en 2.0s, annonce la couleur. Il faudra débourser environ 195 000$ pour cette préparation, hors achat du véhicule bien sûr. Rezvani propose des options, comme les freins Brembo GT-S avec disques de 380mm, un arceau de sécurité, ou les suspensions réglables Ohlins TTX-Pro, et l’habitacle est entièrement personnalisable, si votre portefeuille est assez lourd. 


12 Août 2025 : Si en Europe, Fiat ne dispose pas d’une gamme de véhicules, extrêmement large, ce n’est pas tout à fait le cas, dans le reste du monde. Le marché de prédilection du constructeur italien, reste l’Amérique du Sud. Le Brésil et l’Argentine, sont une grande bouffée d’oxygène, et on y trouve des modèles inconnus chez nous. Le Fiat Toro en est le parfait exemple. Cette première génération est apparue en 2016, et a connu un lifting en 2020. Sa carrière n’est pas terminée, et il a droit à un second restylage et à des mises à jour techniques. Fiat a modifié une fois de plus la calandre, qui devient concave, avec des barrettes verticales. On a toujours droit à la fine signature lumineuse, au bloc phare principal juste en dessous, et à des antibrouillards en partie basse. A l’arrière, elle garde les deux volets arrière, à ouverture latérale, qui rendent le chargement de la benne, plus confortable. Les clients pourront choisir entre de nouvelles jantes en 17 ou 18 pouces. Ce pick-up à double cabine, de 4.95m de long, se montre également confortable. Instrumentation numérique de 7 pouces, grand écran central vertical, Fiat ajoute des prise USB, des rangements, et l’équipe d’un frein à main électrique. D’ailleurs, les tambours à l’arrière, sont remplacés par des disques. Ce Fiat Toro repose toujours sur la plate-forme du Jeep Renegade, dispose d’une garde au sol de 20cm, et la benne a une capacité de chargement de 937 litres. Fiat propose un bloc essence 1.3L Turbo de 175ch et 270nm de couple, accouplé à une boîte automatique à 6 rapports, capable de transporter 750kg de marchandises. Le nouveau bloc Turbo diesel 2.2L, développe 200ch et 450nm, dispose d’une boîte automatique à 9 rapports, et peut encaisser une charge utile de 1200kg. La transmission intégrale est évidemment de la partie. Ce sympathique pick-up serait le parfait véhicule de loisirs en Europe.   


10 Août 2025 : Petit coup de com de la part de Chevrolet, avec un record de distance, pour son énorme pick-up électrique, Silverado EV. Petit rappel de la fiche technique de ce mastodonte, qui accuse plus de 3350kg à vide. Il est équipé d’une double motorisation électrique, développant 754ch pour le modèle le plus puissant. Sa batterie de 205kWh net, permet de parcourir 793km, selon le cycle d’homologation américain. Chevrolet a souhaité établir un record, qui ne sera pas homologué. Le constructeur a enlevé la roue de secours pour gagner quelques kilos, a recouvert la benne avec un couvre tonneau afin d’améliorer l’aérodynamisme, a modifié le parallélisme du véhicule, et a gonflé les pneus au maximum. La vitesse était comprise entre 35 et 40km/h, la climatisation n’a pas été utilisée, et seul le conducteur se trouvait à bord. Le résultat est néanmoins impressionnant, avec une distance de 1705km (1059.2 miles), avant la panne d’énergie. Avec ce type de démonstration, General Motors souhaite montrer son implication dans la conception de véhicules électriques (logiciel, chimie de la batterie, unité d’entraînement), malgré la disparition d’un certain nombre d’incitations à l’achat, aux Etats-Unis.


09 Août 2025 : Les multimillionnaires ont droit à un nouveau jouet. Un nouvel acteur a vu le jour en Angleterre. Il s’agit de Garagisti&Co, qui nous propose sa GP1. Retour aux sources, et à la sportivité pure, avec une hypercar qui mise sur son style racé, son poids mini, son V12, et une bonne vieille boîte manuelle. C’est un produit 100% analogique, avec l’absence d’écrans à bord, et vous ne trouverez pas une trace d’électrification concernant le bloc moteur. Angel Guerra, ancien designer bugatti et Rimac, s’est inspiré de certains modèles Gandini, de la fin du 20ème siècle, comme la Lamborghini Countach ou le proto Lancia Stratos Zero. Pas d’aileron disgracieux, on note les énormes entrées d’air à l’avant, les larges bas de caisse et l’imposant diffuseur. Cette hypercar privilégie apparemment, l’effet de sol. Le châssis monocoque en fibre de carbone, est réalisé par la société Dexet Technologies. Cette Garagisti&Co GP1 est équipée de suspensions Ohlins et d’un système de freinage Brembo. Sous le capot arrière, on trouve un majestueux V12 6.6L, développant 789ch et 900nm de couple. On pourra l’entendre vrombir jusqu’à 9000tr/mn. La puissance est délivrée aux roues arrière, via une boîte manuelle à 6 rapports. Le plus étonnant, reste le poids de la bête, contenu à une tonne. Côté tarif, c’est pas mal non plus, car il faudra débourser 2.45 livres sterling, soit environ 2.85 millions d’euros hors taxes. La petite firme est encore à la recherche de financement, pour produire les 25 exemplaires. Elle propose à ses 12 premiers clients, de participer au développement de cette GP1.


08 Août 2025 : Les marques les plus prestigieuses au monde, ne savent plus quoi faire, pour satisfaire les grandes fortunes de ce monde. Un collectionneur de Bugatti, anciennes et récentes, vient de passer commande, d’un modèle unique. La marque franco-allemande lance son nouveau programme « Solitaire », qui proposera des véhicules sur mesure. Elle lève le voile sur cette Brouillard, qui sera exposé à la Monterey Car Week, dès ce week-end. Cette Bugatti Brouillard, reprend la base technique du roadster Mistral de 2022 (100 exemplaires), dérivée de la Chiron. On a donc droit au retour du bloc W16 8.0L quadri-turbo de 1600ch, et non pas au tout nouveau V16 atmosphérique hybride de la Tourbillon. Après de nombreuses discussions, la firme et le propriétaire de ce modèle unique, sont tombés d’accord pour cette teinte vert pistache (intérieur et extérieur). Par rapport à la Mistral, le style a légèrement évolué, avec un capot, une calandre, et des prises d’air, tous redessinés. A l’arrière, on retrouve cette belle signature lumineuse en X, et la Brouillard adopte deux doubles sorties d’échappement, positionnées verticalement. Pour l’anecdote, Brouillard était le nom du cheval préféré d’Ettore Bugatti. A bord, on retrouve une multitude de détails, comme les nombreuses fresques habillant l’habitacle, ou ce levier de vitesse en aluminium avec insert en verre, qui recouvre une sculpture de cheval. Aucune information sur le tarif, qui devrait dépasser allègrement les 5 millions d’euros demandés, pour une Mistral.


06 Août 2025 : Avec sa nouvelle P7, Xpeng souhaite mettre une claque, à toute l’industrie automobile. Cette berline fastback de 5.02m de long pour seulement 1.43m de haut, a été dessinée par le français, Rafik Ferrag. Son style anguleux et sportif, ses jantes en X, et son aérodynamisme soigné, seront vous séduire. Mais c’est également à l’intérieur, qu’elle intrigue. En plus des quelques informations devant le conducteur, ce Xpeng P7 ajoute un écran central tactile mobile sur trois axes, mais surtout, un affichage tête-haute de 87 pouces. Les données de conduite, la navigation, ou des jeux interactifs (à l’arrêt), sont projetés sur le pare-brise. Le système d’info-divertissement peut reconnaître une multitude de gestes, même un hochement de tête, et dispose d’une commande vocale de dernière génération. L’éclairage d’ambiance, les différentes surfaces tactiles, le nouveau volant trois branches, les matériaux de haute facture, rien n’a été laissé au hasard. Cette P7 pourrait faire passer une Tesla Model S, pour une antiquité. En plus d’être chauffants, ventilés et massants, les sièges s’adaptent à votre morphologie, et agissent latéralement sur 30mm en 10 millisecondes, dans les virages, en conduite dynamique. Justement, sous le capot, la version standard propulsion, développera 362ch. La version bi-moteur à transmission intégrale, propose 586ch. Le client pourra opter pour une batterie de 74.9kWh ou 92.9kWh, avec des autonomies variant de 702 à 820km, selon le cycle chinois CLTC. En crête, la puissance de charge devrait dépasser les 450kW, permettant de récupérer 436km d’autonomie, en 10 minutes. En Chine, les technologies électriques avancent vite, peut-être même, un peu trop vite. 


05 Août 2025 : Les droits de douane américains, n’arrêtent pas de mettre la pagaille, dans l’économie mondiale. Un des secteurs les plus durement touchés, c’est bien évidemment l’automobile. Concernant Kia, il faut savoir que près de 40% de ses ventes, s’effectuent au pays de l’oncle Sam. D’ailleurs, le constructeur coréen, produit le Sportage, le Sorento, le Telluride, le K5 et l’EV9, sur le territoire etatsunien. Malgré des ventes mondiales en hausse de 6.5%, le bénéfice est lui, en chute libre, au deuxième trimestre 2025 (-24%). C’est dû principalement, à l’importation des pièces détachés, aux Etats-Unis. Les marges commerciales en pâtissent, forcément. Kia souhaite dans un premier temps, localiser la production d’un maximum de modèles. Néanmoins, cette production sera réservée aux Etats-Unis, et ne sera pas exportée au Canada ou au Mexique, à cause des droits de douane réciproques. Les véhicules prévus pour le marché canadien, mexicain ou du Moyen-Orient, seront importés, directement de Corée. Kia souhaite donc limiter au maximum ses investissements, revoir entièrement, l’acheminement de sa production, et modifier sa stratégie commerciale. Il s’agit d’une marque reconnue à présent, sur le marché américain. Afin d’améliorer ses bénéfices, Kia a décidé de réduire drastiquement les remises commerciales, concernant la clientèle américaine. On rappelle, que les véhicules sont plus chers à produire, mais que les tarifs resteront à peu près stables. Pour avoir un ordre d’idée des difficultés de la marque, on peut prendre en compte, le résultat du groupe, Hyundai-Kia-Genesis. Au deuxième trimestre 2025, le bénéfice est en baisse de 15.8%, en passant de 2.66 milliards et 2.24 milliards (-420 millions d’euros). Le groupe a réussi à réduire les dégâts des droits de douane, estimés à 520 millions d’euros.  


04 Août 2025 : Toyota développe tranquillement sa gamme de véhicules électriques au Japon et en Europe. De notre point de vue, cette transition énergétique semble assez lente, de la part du premier constructeur mondial. Au catalogue, on a droit au bZ4X, bZ4X Touring et C-HR+. En Amérique du Nord, Toyota ne mise pas sur le 100% électrique, et continu de développer sa technologie hybride. En ce qui concerne les technologies électriques, Toyota préfère miser sur des marchés d’avenir, et se tourne tout naturellement, vers la Chine. Elle développe une gamme électrique, grâce à des joints venture, avec les grands groupes chinois. En plus des bZ3, bZ3X et bZ5, Toyota développe également sa grande berline bZ7. Plus de 5.00m de long, un style reconnaissable à l’avant, avec les feux en boomerang, un profil musculeux, une poupe massive avec signature lumineuse traversante, cette berline a été conçue en partenariat, avec le groupe GAC. Pas encore de donnés techniques, mais on sait que la partie logicielle a été développée par Huawei, le géant de la téléphonie mobile. Le véhicule pourrait être équipé d’un Lidar. En Europe Toyota fait preuve de conservatisme, concernant son système multimédia, plutôt basique, mais très ergonomique. Ce n’est pas tout à fait le cas en Chine, avec l’adoption du système HarmonyOS de Huawei.


03 Août 2025 : Brabus, le célèbre préparateur, lié de longue date, au constructeur à l’étoile, nous propose une AMG-GT 63S E Performance, boostée à sa sauce. Le V8 Bi-Turbo gagne en cylindrée, en passant de 4.0L à 4.5L. Comme sur le modèle originel, ce moteur thermique est accouplé à un moteur électrique, associé à une batterie rechargeable. On a donc affaire à une hybride rechargeable, qui passe de 816, à 1000ch dans le cas de cette Brabus. Le couple a été bridé volontairement à 1620nm, pour ne pas abîmer la transmission. Ce monstre, se dote de jantes alu forgées, de 21 pouces à l’avant, et 22 pouces à l’arrière. On peut choisir une monte pneumatique Continental ou Hankook. Le capot, les coques de rétroviseur, les bas de caisse, les lames du bouclier avant, l’aileron, et le diffuseur, sont tous en carbone. La ligne d’échappement sport, est spécifique. Le 0 à 100km/h est expédié en 2.6s, et la vitesse de pointe, bridée à 320km/h. On a affaire à une GT. L’habitacle profite des meilleures attentions, avec du cuir pleine fleur matelassé, sur les sièges, les contre-portes, et même au niveau des tapis de sol. Le carbone est omniprésent à bord, et on a droit en prime, à de nombreux inserts, typique du préparateur. Cette Brabus AMG-GT 1000 a été fabriquée, de manière artisanale, et ça annonce un tarif coquet, non divulgué.


02 Août 2025 : Il y a quelques semaines, nous avons essayé l’Opel Frontera Electric, armé de son petit moteur de 113ch, associé à une batterie LFP de 44kWh. L’autonomie de 305km selon le cycle WLTP, est suffisante pour un usage urbain et périurbain, et à la Réunion, les sorties dominicales autour de l’île, sont parfaitement envisageables. Opel annonce néanmoins, l’arrivée d’une version grande autonomie. Ce SUV très habitable, sera disponible avec la batterie NMC de 54kWh (51kWh net), qui équipe nombre de modèles du groupe Stellantis. L’autonomie de 411km devrait rassurer les plus réfractaires. Comme pour la version 44kWh, la batterie encaisse une charge AC de 7.4kW ou 11kW en option, et une charge DC de 100kW, permettant de passer de 20 à 80%, en 30mn. Pas de changement au niveau de la motorisation, avec toujours ce petit bloc de 113ch et 124nm de couple, qui devra composer avec un poids en hausse. On rappelle que les versions électriques du Frontera, restent des strictes 5 places. La version 1.2 Turbo Mild-Hybrid 48V, est disponible en 7 places.


01 Août 2025 : Les constructeurs de supercars et d’hypercars, ne sont pas encore décidés à investir massivement, dans la conception de véhicules électriques. C’est en tout cas l’avis, de Pagani et de Koenigsegg, qui s’exprimaient il y a quelques jours à ce sujet. La clientèle visée, ne recherchent pas forcément une puissance et un couple, stratosphériques. C’est avant tout, du caractère et de l’émotion, qui attirent le chaland. Un bon vieux moteur thermique a donc, encore des atouts. Après un sondage rapide, Pagani a par exemple, abandonné son projet, d’une Utopia 100% électrique, la demande étant quasi-nulle. D’ailleurs, Rimac, le grand spécialiste de l’électrique, a énormément de mal, à écouler sa terrible Nevera. Et pourtant, la marque la plus prestigieuse au monde, Ferrari, est sur le point de dévoiler son premier modèle zéro émission. Le prototype s’appelle « Elletrica », et la présentation officielle est prévue, dans quelques semaines, pour une mise en production, au début de l’année prochaine. Apparemment, on aura affaire à un crossover ultra-sportif, à l’image du Purosangue, mais une surprise est toujours possible. Avec ce modèle 100% électrique, Ferrari souhaite élargir sa clientèle, et accroître ses ventes, en Chine notamment (-25% au début de cette année). Un cliché a fait le buzz il y a quelques jours. A l’entrée de l’usine de Maranello, les passants et les photographes, ont justement pu apercevoir, une berline électrique chinoise. Il s’agit bien sûr, de la Xiaomi SU7 Ultra, le véhicule électrique le plus rapide sur la boucle du Nurburgring, avec un temps de de 7mn04s957. Elle devance une certaine Porsche Taycan Turbo GT avec pack Weissach (7mn07s55). Avec sa triple motorisation, développant 1548ch, ce monstre abat le 0 à 100km/h en 1.98s, et croise à 350km/h. La batterie CATL Qilin 2.0 haute performance de 93.7kWh, le système de refroidissement spécifique, la charge de 10 à 80% en 11minutes, le châssis rigide avec suspensions pilotés, le kit aérodynamique spécifique avec 285kg d’appui supplémentaires, la SU7 Ultra intrigue les marques occidentales. Néanmoins, étudier les modèles concurrents, est une pratique courante dans le monde automobile. Dans beaucoup de domaines, c’est à présent la Chine qui montre l’exemple.     


31 Juillet 2025 : Petit bilan économique du monde automobile, après le premier semestre 2025. Et on commence par le géant Stellantis, dont le nouveau patron, Antonio Filosa, fait face à de nombreux challenges, après une perte de 2.3 milliards d’euros, au premier semestre 2025. Ce n’est pas vraiment étonnant, après les problèmes rencontrés avec l’ancien bloc 1.2 PureTech, les quelques soucis avec le bloc 1.5BlueHDi, et surtout, les retards de prise en charge, dans l’affaire des airbags Takata. A noter que ce problème a été réglé, il y a presque dix ans aux Etats-Unis, avec des constructeurs qui ont fait un rappel progressif des véhicules, sur plusieurs années. Les marques européennes du groupe Stellantis, ne se sont pas inquiétées du problème, et le résultat est assez morbide. Du côté des marques américaines, comme Chrysler, Dodge, Jeep ou Ram, les droits de douane américains, commencent à avoir un impact sur les résultats. Cela concerne le coût supplémentaire sur les pièces détachées et les véhicules importés, directement sur le territoire.

   

   Le conseil d’administration du groupe Renault, vient de désigner son nouveau grand patron. Après le départ de Luca de Meo, les actionnaires hésitaient apparemment entre Maxime Picat, ancien cadre supérieur du groupe Stellantis, Denis Le Vot, directeur de la marque Dacia, et François Provost, actuel directeur des achats et des affaires publics, chez Renault. C’est ce dernier qui décroche la timbale. Présent depuis 23 ans, il connaît parfaitement la maison. Il devra continuer le plan « Renaulution », de son prédécesseur. Malgré des résultats en baisse, dus à la conjoncture économique actuelle, la marque au losange, accompagnée de ses filiales, ne devrait pas faire face aux difficultés des marques internationales (droits de douane). Le groupe se concentre avant tout, sur son marché domestique, l’Europe.

 

    Ford Europe, est en position de faiblesse. Implanté en Allemagne, le groupe concentre toute son énergie sur la fabrication de véhicules électriques. Actuellement, ça ne semble pas être une stratégie payante, avec une baisse des ventes significatives pour ce type de véhicule. Cela sera peut-être payant dans quelques années. En attendant, la marque a annoncé un plan de licenciement en Allemagne, concernant son usine de Cologne, avec près de 3000 employés sur le départ. A l’international, Ford doit faire face aux droits de douane, comme tous les groupes américains, mais les problèmes semblent maîtrisés. Sur le marché Chinois, la présence de la marque à l’ovale est anecdotique. Ford souhaite mettre en avant son Bronco électrique, et électrique à prolongateur d’autonomie, pour séduire la clientèle asiatique.

    

    Le groupe JLR, doit son succès, principalement à la marque Land-Rover, les ventes de Jaguar reposant sur un seul modèle, le F-Pace. Malgré ça, le groupe a enregistré un bénéfice record en 2024 (2.5 milliards de livres), et se porte relativement bien, malgré les tensions commerciales actuelles. Néanmoins, ces derniers mois, il a dû faire face à des droits de douane de 27.5% aux Etats-Unis, et à présent de 10%. Les exportations depuis l’Angleterre avaient même cessé, pendant quelques semaines. Le groupe anglo-indien a vu ses ventes baisser outre-atlantique, mais également sur le marché chinois. Par mesure de prudence, JLR a décidé de se séparer de 500 cadres au Royaume-Uni, représentant 1.5% de son personnel. Le groupe prévoit néanmoins, d’investir massivement (18 milliards de livres) dans les cinq années qui viennent, afin de moderniser ses usines actuelles. Aucune installation aux Etats-Unis n’est prévue.

 

     Volvo est très dépendant du marché Nord-Américain, et particulièrement des Etats-Unis. Le groupe produit déjà son gros SUV électrique, EX90, en Caroline du Sud. Afin de garder ses parts de marché, la marque suédoise a décidé de produire le XC60, dans cette même usine de Ridgeville. On rappelle que le XC60 est le modèle le plus populaire de la gamme, et qu’il représente 33% des ventes de la marque aux USA. On ne sait pas encore, si cette future production, sera dédiée uniquement au marché américain.

 

   Nissan, est sans aucun doute, le constructeur le plus en difficulté à l’heure actuelle. Déficit record en 2024, la marque nippone doit composer avec les tensions géopolitiques. Avec son plan Re:Nissan, le constructeur se sépare de 9000 de ses employés, et baisse sa production, de 20%, au niveau mondial. Il prévoit la fermeture de sept usines dans le monde, sur les dix-sept, en fonction. Le Mexique est la première victime, avec la fermeture prochaine de l’usine de Civac à Jiutepec (Nissan Kicks et Sentra), ouverte depuis 1966, et l’usine d’Aguascalientes concernant sa filiale COMPAS (marque Genesis), en partenariat avec Mercedes-Benz. Les usines américaines sont à l’abri pour le moment, mais la production ne sera pas optimale (Pathfinder, Murano et Frontier). Les droits de douanes canadiens, face à son voisin Etats-Unien, posent également des problèmes. Les gros 4x4 de la gamme, auront du mal à s’exporter au Canada, avec des tarifs en forte hausse.

   

     Etrangement, le premier constructeur mondial, ne semble pas ressentir les effets de la crise. Toyota affiche des chiffres records au premier semestre 2025, avec 5.1 millions de véhicules vendus. Le leader mondial de l’automobile a augmenté sa production au Japon, avant la mise en place des droits de douane américain. Le japon a dû faire face à un taux de 25% pendant quelques mois, qui a été abaissé à 15% après les récents accords. On rappelle que ce taux était de 2.5% jusqu’à l’arrivée de Trump. Le groupe possède évidemment des sites de production dans le monde entier, et devra adapter les chaînes de production, en fonction des marchés. On peut s’attendre à un deuxième semestre moins florissant, mais Toyota est actuellement, la firme la mieux armée face au contexte actuel. Concernant le vieux continent, Toyota Motor Europe, semble toujours au sommet de sa forme, avec plus de 630 000 véhicules écoulés. Sa part de marché est de 7.3% en Europe. Toyota et Lexus, cartonnent avec leur gamme de véhicules hybrides (+2%) et hybrides rechargeable (+186%). Le groupe progresse également sur le marché des véhicules électriques (+42%), mais souhaite accélérer le processus de transition énergétique, dans les mois qui viennent.   

 

     Malgré la politique mise en place par Trump, le géant local, General Motors connaît quelques difficultés au deuxième trimestre. Les ventes sont à peu près stables (-1.8%), mais le bénéfice net de 1.89 milliard (-35.4%) est en forte baisse. GM peut compter sur une large gamme de crossover et SUV, très récente de surcroît, grâce à ses marques les plus populaires que sont Chevrolet, GMC, et Buick. Mais s’agissant d’un groupe international, les droits de douanes ont coûté cher, à cause des véhicules et pièces détachés, importés. La grande patronne, Mary Barra, a annoncé que la politique économique du gouvernement américain, a fait perdre au groupe 1.1 milliard de dollars sur ce seul trimestre. Les répercussions attendues pour la fin de l’année, risquent d’être plus importantes, même si des investissements sont prévus, dans les usines du Michigan, Kansas et Tenessee.      


29 Juillet 2025 : On sait que Honda, prépare l’arrivée d’une mini-citadine électrique, sur le marché européen. Un prototype surnommé Super EV, a montré le bout de son nez au Festival de Goodwood. Il y a quelques années, le constructeur nippon proposait son Honda e, une citadine électrique qui n’a malheureusement pas connu le succès, à cause d’un tarif prohibitif et une autonomie insuffisante. Son style et sa technologie embarquée, étaient pourtant attirants. Honda va remettre le couvercle, avec un véhicule qui pourrait s’inspirer des « Kei-cars », disponibles au Japon. D’ailleurs, la marque vient de dévoiler sur l’archipel, sa N-One. On a affaire à une sorte de petit cube, de 3.40m de long. Face à la future Twingo et au Dacia Spring, Honda joue la carte de la praticité. Habitabilité, modularité, ergonomie simpliste, cette Honda N-One souhaite être un allié de choix, dans la jungle urbaine. Son look est assez rigolo, avec sa grande garde au toit, ses deux feux ronds à l’avant, et ses petites roues. Pas encore d’informations techniques, mais selon la législation japonaise, le bloc électrique ne doit pas excéder les 64ch. On pourrait donc retrouver le bloc du Honda N-Van de 64ch et 162nm de couple, associé à une petite batterie de 29.6kWh. Reste à voir, si le modèle prévu pour l’Europe, sera identique.  


28 Juillet 2025 : Pour les plus anciens comme moi, le patronyme de Prelude, était à l’époque, synonyme d’élégance, de performance, et de fiabilité. Ce coupé nippon a été commercialisé de 1978 à 2001, grâce à cinq générations, toutes plus désirables les unes que les autres. On pouvait disposer de motorisations sages ou dynamiques, et opter pour un bloc V-Tech, à partir de la quatrième mouture. Bref, son design dynamique, son confort général, et sa finition impeccable, ont su séduire une large clientèle, notamment, en Europe. Les coupés étant moins populaires au début des années 2000, et avec l’avènement des SUV, Honda a décidé de mettre définitivement un terme à sa carrière. Heureusement, en 2025, le constructeur a décidé de faire renaître ce mythique modèle. Même si on s’attend à des tarifs beaucoup plus salés qu’à l’époque, ce retour intéressera certainement, les plus nostalgiques d’entre-nous. On connaît le style général de cette sixième génération, même si Honda n’a pas encore officiellement présenté, le modèle de série. Cette Honda Prelude devrait reprendre la base technique et la mécanique de la Civic hybride. On peut donc s’attendre à retrouver un bloc hybride 2.0i-MMD e :HEV approchant les 200ch, associé à une boîte à variation continue. Cela annonce des performances très raisonnables, et une conduite plutôt coulée, avec cette boîte typée confort. La marque nippone, annonce la présence de sa nouvelle technologie S+Shift, avec des passages de rapport simulés, afin d’améliorer la dynamique de conduite. Côté châssis, la Prelude devrait être équipée d’un train avant à pivot découplé. Une spécificité que l’on trouvait déjà sur les antiques Peugeot 407, Ford Focus RS ou Opel Astra OPC. Cela permet de séparer l’amortissement de la direction. Moins d’effet de couple dans le volant, et une précision de conduite accrue, elle hérite donc de certaines pièces de la Civic Type R, à défaut de disposer de son moteur. Honda annonce également la présence du système de freinage Brembo, avec disque de 350mm à l’avant, pincé par des étriers à 4 pistons. Rendez-vous en 2026.


27 Juillet 2025 : Retour au bercail pour le designer français, Gilles Vidal. Après avoir passé les cinq dernières années à la tête du département design de Renault, il fait son retour chez Stellantis. On rappelle qu’il a œuvré chez Citroën, de 1996 à 2010, puis a été transféré chez Peugeot de 2010 à 2020. Il a été l’auteur de plusieurs modèles à succès, comme la 208, le 2008, ou les 308 et 3008 de seconde génération, une période très prolifique pour la marque au lion. Il a été débauché par Renault en 2020, et a transfiguré la gamme, avec un style plus tranchant du côté des SUV (Captur restylé, Symbioz, Scenic E-Tech, Rafale, Espace). On avait d’ailleurs détecté une certaine ressemblance entre le Rafale et la Peugeot 408. Il a également été en charge, de faire renaître la Renault 5 et la Renault 4, et a bien évidemment dessiné les lignes de la future Twingo. Après le départ du grand patron de Renault Luca de Meo, la marque au losange, perd donc son designer en chef. De retour chez Stellantis, il sera sous les ordres du nouveau patron du groupe, Antonio Filosa, du directeur des opérations Europe, Jean-Philippe Imperato, et du directeur du design Stellantis, Ralph Gilles. Gilles Vidal devient le responsable design, des marques européennes, comptant Peugeot, Citroën, DS, Alfa-Roméo, Fiat, Abarth, Lancia et Opel. Il remplace Jean-Pierre Ploué, qui a décidé de prendre sa retraite, après 26 ans à ce poste. Gilles Vidal devra donner une ligne directrice claire, mais différente, en fonction des marques. On s’attend à voir une gamme Peugeot redynamiser, à la naissance de nouveaux modèles Alfa-Roméo, et à un vrai retour de Lancia, avec le développent de la future Delta. Wait and See…


26 Juillet 2025 : Renault est une marque internationale, qui ne pense pas suffisamment à sa clientèle originelle. En France, le pouvoir d’achat est en berne. Et sans faire de politique, on pense aux nombreuses normes, mais également à une stratégie gouvernementale, loin des préoccupations de la France qui travaille. En Inde, les nombreux clients de la marque, auront droit à ce Renault Triber. Il ne paye pas de mine, avec sa taille de 3.99m, correspondant à des taxes locales réduites. Néanmoins, il peut embarquer jusqu’à 7 passagers, et en configuration 5 places, il peut embarquer 625 litres de bagages. Bref, il s’agit d’un Dacia ++. D’ailleurs, sa base technique provient du Renault Kwind, indisponible chez nous, et du Dacia Spring. Renault a souhaité moderniser le style, avec une calandre et une signature lumineuse, remaniées. Les passages de roue en plastique, la carrosserie bi-ton, les boucliers en plastique gris, ce petit crossover a une certaine allure, dans sa finition haut de gamme. Dans l’habitacle, la marque au losange a donc réussi à caser trois rangées de sièges. La petite instrumentation numérique, l’écran central tactile, on peut disposer du régulateur de vitesse, des applications applecarplay et androïd auto, et même de la caméra à 360°. Malgré un poids à vide de seulement 925kg (955kg en boîte auto), le petit 3 cylindres atmosphérique 1.0L de 72ch, montrera certainement ses limites, une fois le véhicule chargé. Néanmoins, avec des tarifs variant de 6 200€ à 8 500€, Renault compte bien faire un carton en Inde.


25 Juillet 2025 : Les Américains ne sont pas encore prêts à descendre en gamme, surtout concernant la taille de leur véhicule. Un voyage en famille, ça se passe forcément dans un SUV surdimensionné, et plutôt glouton. Ce GMC Acadia 2026, en est un parfait exemple. Ce modèle emblématique aux Etats-Unis, en est à sa troisième génération, et a droit à un petit lifting, ainsi qu’à une belle remise à jour technologique. Les clients pourront à présent opter, pour cette finition très luxueuse, Denali Ultimate. Il se pare d’une calandre « Chrome Vader » assombrie, du nouveau logo de la marque, et d’une signature lumineuse avec animation séquentielle au démarrage. On note également la présence de ces jantes 22 pouces « After Midnight Metallic ». Dans l’habitacle, ce SUV 7 places, propose une sellerie en cuir pleine fleur « Woodland Mahogany ». Le conducteur et son passager avant, bénéficieront des fonctions chauffantes, ventilées et massantes. GMC met en avant la sécurité, avec pas moins de 19 systèmes d’aides à la conduite, dont le « Super Cruise », avec conduite autonome mains libres (abonnement Onstar pendant 3 ans, avec véhicule connecté à une multitude de services en ligne). Ce GMC Acadia Denali Ultimate dispose également, d’un système audio Bose Performance 16HP, d’un immense toit panoramique, de 9 caméras, et d’un rétroviseur intérieur à affichage numérique. Sous le capot, la motorisation semble presque raisonnable, avec ce 4 cylindres 2.5L Turbo, développant 328ch et 440nm de couple. Il peut tout de même tracter une remorque de 2270kg. La douceur de conduite, est assurée par une classique boîte automatique à 8 rapports.


24 Juillet 2025 : Sur le plan de la sportivité, Opel semble avoir un petit sursaut d’orgueil par rapport aux marques soeurs du groupe Stellantis. Après l’Abarth 600e Scorpionissima, la Peugeot e208 GTi, la Lancia Ypsilon HF, ou encore, l’Alfa-Roméo Junior Veloce, la marque au Blitz réplique, avec son Mokka GSE. Lui aussi, profite de la plate-forme CMP, et cela lui permet de disposer des mêmes attributs. Il se dote donc du bloc électrique de 280ch et 345nm de couple, qui sera associé à la batterie de 54kWh. Ce SUV urbain de 4.15m, pesant 1.6 tonnes, abat à présent, le 0 à 100km/h en 5.9s, et croise à 200km/h. Cet Opel Mokka GSE dispose d’une autonomie de 336km selon le cycle WLTP. Avec ce surplus de puissance, le constructeur la dote de quelques attributs très sportifs. Jantes de 20 pouces avec une monte pneumatique Michelin Pilot Sport EV, étriers de frein jaunes à 4 pistons, différentiel autobloquant mécanique Torsen, suspensions à double butée hydraulique, garde au sol abaissée de 10mm, barres stabilisatrices arrière raffermies, trois modes de conduite, Opel ajoute même un système de télémétrie à bord, fournissant un maximum d’informations pour le conducteur (répartition du couple aux roues avant, puissance utilisée, température et tension de la batterie, force G, chronométrage des accélérations etc…). Côté look, on a droit à des boucliers s’inspirant du Mokka GSE Rally développé pour la compétition, des bas de caisse siglés GSE, et on peut opter pour un toit noir, et un capot de la même teinte. Dans l’habitacle, de l’alcantara habille l’assise des sièges Sport et les contre-portes, des inserts type alu ornent la planche de bord et le pédalier. Opel dit avoir revu la densité des mousses dans les sièges, afin de préserver un certain confort. Dommage, pour le moment, cet Opel Mokka GSE ne disposera pas d’un système artificiel de bruit. On sait qu’une sonorité fictive sur un véhicule électrique, peut rendre la conduite un poil plus passionnante.  


22 Juillet 2025 : Mercedes dispose d’une gamme tentaculaire et diversifiée. En plus de ses berlines haut de gamme, le constructeur à l’étoile a mis le paquet sur la conception de SUV, et a investi massivement dans les technologies électriques. Malheureusement, malgré un nombre incroyable de modèles à disposition, les dirigeants semblent encore avoir du mal à cerner les besoins du marché, dans les années à venir. Les ventes de véhicules électriques diminuent, les SUV seront de plus en plus taxés, et réservés à une clientèle aisée. Mercedes vient donc de présenter son nouveau CLA, sa berline coupé multi-énergie, techniquement très aboutie, mais plutôt chère à l’achat. Afin de sauvegarder ses parts de ventes sur un marché totalement en berne, la firme allemande a donc décidé de prolonger la carrière de son véhicule d’entée de gamme, la Classe A. Cette berline compacte a réussi à démocratiser la marque à l’étoile à la fin des années 90, sous la forme d’un petit monospace. La seconde génération de ce monospace a également été bien accueillie en 2004. En 2012, pour sa troisième génération, la Classe A se transforme en berline, et séduit alors, une clientèle plus dynamique. La quatrième génération sortie en 2018, reste encore aujourd’hui, un des modèles les plus appréciés de la gamme, mais cette Classe A ne devait à la base, pas être renouvelée. C’est pour cette raison, que Mercedes a décidé de prolonger sa carrière. Elle devait se terminer en 2026, mais la clientèle est toujours au rendez-vous. Le véhicule est entièrement rentabilisé, et les blocs thermiques et hybrides rechargeable (116ch à 421ch), sont toujours dans le coup. Résultat, on peut s’attendre à la retrouver en concession pendant encore deux ou trois ans, avec toujours en ligne de mire, les BMW Série 1 et Audi A3.  


21 Juillet 2025 : Mitsubishi présente un tout nouveau SUV, basique, pratique, et très bien équipé. Ce dernier sera disponible sur les marchés du sud-est asiatique. Pas d’électrification, ni de transmission intégrale, ce Mitsubishi Destination se veut très abordable, même si la marque nippone n’a pas encore dévoilé ses tarifs. Ce SUV de 4.68m de long, arbore une face musculeuse, avec une calandre semi-carénée, un bouclier gris anthracite, une jolie signature lumineuse et des plastiques type alu. Les passages de roue sont nervurés et accueillent des jantes en 18 pouces, les portières sont creusées au niveau de bas de caisse, et les gros feux arrière, habillent un hayon massif. La garde au toit de 1.78m et l’empattement de 2.81m, annoncent un espace habitable conséquent, pour les 7 passagers. Sous le capot, un simple bloc 4 cylindres 1.5L Turbo de 161ch et 250nm, accouplé au train avant, et à une boîte CVT. Mitsubishi propose tout de même trois modes de conduite (Gravier, Wet et Mud). A noter, la masse très contenue de l’engin, avec seulement 1495kg à vide. Rien ne manque à bord de ce Destination, qui dispose d’une instrumentation numérique de 8 pouces pour le conducteur, un écran central tactile de 12.3 pouces, un bloc de commandes séparé pour la climatisation, un système audio Yamaha, un éclairage d’ambiance 64 couleurs, de nombreux ports USB, un toit panoramique, et des tablettes rétractables pour les passagers du second rang. Ce Mitsubishi Destination fera ses débuts en Indonésie.


20 Juillet 2025 : Après le Solterra et l’E-Outback, Subaru nous présente son troisième SUV 100% électrique. Comme pour ses deux frères, cet Uncharted reprend une base technique Toyota. On a donc droit à la plate-forme e-TNGA, renommée e-Subaru Global. Ce Subaru Uncharted est un proche cousin du Toyota C-HR+. Le style est néanmoins revu, avec une face avant très différente, comptant un bloc phare à six faisceaux lumineux, et une calandre pleine, qui intègre le logo de la marque au centre. Ce SUV compact de 4.50m, du segment C, arbore une ligne de coupé, avec des ailes particulièrement galbées à l’arrière. La poupe est assez carrée dans son dessin, le bouclier est imposant, et les feux en hauteur, épousent la lunette arrière très inclinée. Dans l’habitacle, c’est un copier-coller de la planche de bord du C-HR+. Petite instrumentation en hauteur type i-cockpit, grand écran central tactile de 14 pouces, avec commandes de climatisation intégrées, double chargeur de smartphone par induction, un volant à double méplat, la présentation est définitivement moderne. Subaru annonce trois motorisations au choix. Une entrée de gamme traction de 167ch avec batterie de 57.7kWh, offrant 445km d’autonomie. On peut opter pour un bloc de 224ch et une batterie de 77kWh, permettant de parcourir 585km. Une version 4 roues motrices de 343ch, est également au programme, avec la même batterie de 77kWh (470km d’autonomie). Cette dernière abat le 0 à 100km/h en 5.0s, et pourra tracter une remorque d’1.5 tonne.


18 Juillet 2025 : Certains concessionnaires sont de vrais passionnés d’automobiles, et n’hésitent pas à se concocter, des modèles spécifiques. Le distributeur néerlandais Zeeuw&Zeeuw, qui est chargé de commercialiser la marque Renault, a décidé de modifier la Renault 5 E-Tech, en s’associant au préparateur Re-Volve. La nouvelle Renault 5 est déjà un véhicule néo-rétro, inspiré des années 80. Zeeuw&Zeeuw a voulu faire un mix entre cette fameuse R5, le rallye Monte-Carlo, et la célèbre Clio Williams, sortie en 1993. Le résultat est plutôt intéressant, avec cette très exclusive Renault 5 E-Tech Monte-Carlo Edition, qui se pare d’une teinte de carrosserie bleu foncé, des jantes dorées de 18 pouces, et de liserés dorés tout autour du véhicule. On n’oublie pas le badge Monte-Carlo sur les ailes arrière et le hayon. Dans l’habitacle, la sellerie se pare comme à l’extérieur, d’un badge 5 doré, et de surpiqûres dorées. Une plaque d’identification, prend place sur le tunnel central. Le concessionnaire proposera 25 exemplaires à la vente. Sous le capot, on retrouve le bloc électrique de 150ch associé à la batterie de 52kWh. Finalement, c’est une puissance équivalente à la fameuse Clio Williams, mais on doit composer avec un poids malheureusement, très supérieur. Cette R5 E-Tech Monte-Carlo Edition sera proposée au tarif de 37 995€ au Pays-Bas, soit 8000€ de plus que la version de série. 


17 Juillet 2025 : La Ferrari SP3 Daytona, est une des supercars les plus spectaculaires et exclusives, de ces quatre dernières années. Elle a été produite à 599 exemplaires, et commercialisée à un tarif stratosphérique de 2 millions d’euros. Ce monstre reprenait alors le châssis monocoque en fibre de carbone de LaFerrari Aperta, et sous son capot arrière, on retrouvait le V12 6.5L atmosphérique de la 812 Competizione. Pistons spécifiques, vilebrequin allégé, injection revue, il développait 840ch et un couple de 697nm. Pour le look, Ferrari s’est inspirée de la 330 P4 de 1967, une véritable terreur des compétitions automobiles de l’époque. Finalement, la firme italienne a décidé de produite un 600ème exemplaire. Ce modèle ultime ne remplira pas les caisses du célèbre constructeur de Maranello, puisqu’il sera vendu aux enchères, lors de la Monterey Car Week. La société RM Sotheby’s, est chargée de la vente. Les fonds récoltés iront à la Fondation Ferrari, censée soutenir de nombreux projets éducatifs. Ce dernier exemplaire se distingue par sa teinte bi-ton, mêlant carbone brut et un jaune Giallo Modena. L’inscription Ferrari orne le centre du véhicule. Dans l’habitacle, en plus du carbone et de l’alcantara, Ferrari a fait appel à des matériaux recyclés à base de pneus usagés. La sellerie propose des nuances de gris, avec le cheval cabré comme motif.


15 Juillet 2025 : Il y a quelques mois, Mercedes présentait sa toute nouvelle génération de CLA. Cette berline coupé 4 portes, sera la grosse nouveauté de l’étoile, en 2025. Au premier trimestre 2026, Mercedes annonce le lancement de la version CLA Shooting Brake. Ce break a légèrement grandi par rapport à la génération précédente, avec une longueur (4.72m) accrue de 3.5cm, une largeur de 1.86m (+3cm) et une hauteur de 1.47m (+3cm). Grâce à la nouvelle plate-forme MMA (Mercedes Modular Architecture), l’empattement prend lui 6cm, avec 2.79m. L’habitabilité est un peu plus généreuse à bord, même s’il faudra se contorsionner, pour prendre place à l’arrière. Dommage, ce châssis ne profite pas à la capacité de chargement, qui perd 30 litres de contenance, avec 455 litres. Heureusement, en version électrique, ce Mercedes CLA Shooting Brake, propose un Frunk de 101 litres, sous le capot avant. La planche de bord noir laqué, accueille une instrumentation numérique (10.25 pouces) et une grande dalle tactile centrale (14 pouces), mais on peut opter pour le MBUX Superscreen, qui étend la partie écran, jusqu’au passager avant (14 pouces). Le toit panoramique arbore une multitude d’étoiles, multicolore. Des étoiles illuminées, on en retrouve sur la calandre, et au niveau de la signature lumineuse, avant et arrière. Au niveau technique, la grande nouveauté, c’est la possibilité de choisir entre deux versions électriques. Taillée pour fendre l’air, ce CLA Shooting Brake se dote d’une version EQ250+ avec un moteur électrique de 272ch, ou d’une version EQ350 4Matic, et sa double motorisation de 354ch. Sa batterie NMC de 85kWh et son architecture 800V, permettent une autonomie comprise entre 730 et 761km, et le véhicule encaisse une puissance de charge de 320kW. Cette autonomie généreuse est due notamment, à sa boîte de vitesse à deux rapports, permettant d’optimiser la consommation d’énergie à partir de 110km/h. Bien sûr, le client pourra choisir le bloc Mild-Hybrid 48V 1.5L Turbo de 136, 163 ou 190ch.    


14 Juillet 2025 : Vous en avez marre des SUV, et vous êtes nostalgiques des bons vieux baroudeurs, tels que le Mitsubishi Pajero, Nissan Patrol ou Toyota Land-Cruiser. BYD, le géant chinois, a certainement trouvé la solution. Les investissements ne font pas peur en Chine, et les constructeurs souhaitent s’imposer dans toutes les catégories de véhicules. Via sa filiale premium, BYD nous présente ce Denza B5. Châssis et trains roulants de pur baroudeur, garde au sol généreuse, style cubique et musculeux, un gabarit de tank, avec ses 4.89m de long et 1.92m de haut, ce 4x4 ne manque pas d’allure. Afin de faire face aux normes antipollution, il s’équipe d’un bloc hybride rechargeable, comptant un petit 4 cylindres 1.5L Turbo, et deux moteurs électriques (un pour chaque essieu). Ils seront alimentés par une grosse batterie LFP de 31.8kWh, permettant de parcourir près de 100km en mode zéro émission. La question est de savoir le niveau de puissance restant, une fois la batterie vide. Batterie chargée, ce monstre développe 677ch et 760nm de couple. La transmission intégrale est intelligente, et gérée électroniquement bien sûr. Ce mammouth pèse son poids, avec 2890kg sur la balance. Le malus au poids, est inévitable dans nos contrées. Néanmoins, on peut faire confiance à BYD, pour nous proposer un tarif attractif, s’il devait un jour, arriver chez nous.


13 Juillet 2025 : Profondément remanié en 2024, l’Aston-Martin Vantage est une des sportives les plus désirables du marché. Son look râblé et musclé, son long capot, et sa large calandre, lui donnent du caractère. Son V8 4.0L Bi-Turbo d’origine AMG, n’est pas en reste, avec une puissance de 665ch et un couple de 800nm. Un an plus tard, Aston-Martin nous propose cette version « S ». Par rapport au modèle classique, cette Aston-Martin Vantage S, sera facilement identifiable. Des liserés rouges, habillent les bas de caisse, les boucliers, ainsi que les jantes de 21 pouces. Un nouveau becquet arrière, promet 44kg d’appui supplémentaires. Côté châssis, le constructeur anglais a modifié le carrossage, le tarage des suspensions, la calibration de l’amortissement piloté Bilstein, la direction, et les supports de boîte pour réduire les vibrations. Le moteur connaît une petite cure de vitamines, et développe à présent, 680ch. Cela permet de gagner un dixième de seconde, de 0 à 100km/h (3.4s) et de 0 à 200km/h (10.1s). Dans l’habitacle, on a droit comme à l’extérieur, à de nombreuses touches de rouge. Le cuir, l’alcantara et le carbone, entourent les chanceux passagers. 


12 Juillet 2025 : La marque au losange nous présente un énième SUV, mais ce dernier ne sera pas disponible en Europe occidentale. Avec le Captur, le Symbioz, l’Austral, l’Espace et le Rafale, la gamme est archi-complète chez nous. Renault s’intéresse donc à d’autres marchés, et cela concerne, pas moins de 71 pays. Ce Renault Boreal sera produit au Brésil et en Turquie. Il reprend la base technique du Dacia Bigster. La plate-forme CMF-B a été modifiée, et se nomme RGMP sur ce Boréal. Le véhicule mesure 4.56m contre 4.57m pour le Bigster. Il est plus large de 3cm, mais moins haut de 6cm. Renault a souhaité lui donner un style plus dynamique que le SUV Roumain. Capot bombé en son centre, calandre d’un nouveau genre avec éléments couleur carrosserie et insert noir laqué, signature lumineuse sur plusieurs niveaux, passage de roue surmonté d’une jolie nervure de carrosserie, un hayon massif, des feux tout aussi stylés à l’arrière, et de nombreux inserts type alu, sur les boucliers, les bas de caisse, et la custode arrière, le design a été particulièrement soigné. Ce Renault Boréal pourrait mettre en difficulté l’Austral sur notre marché. Dans l’habitacle, on retrouve un agencement très moderne et des équipements technologiques, avec une instrumentation numérique de 10 pouces, une dalle tactile de 10.1 pouces, le système OpenR Link avec l’interface Google Automotive, un éclairage d’ambiance 48 couleurs, et un système audio Harman Kardon 10HP. L’empattement de 2.70m, offre une habitabilité conséquente à bord, et la capacité de chargement n’est pas en reste, avec un coffre de 586 litres, ou de 1770 litres avec la banquette rabattue. Cette capacité de chargement est néanmoins en baisse, par rapport au Bigster. Ce véhicule dispose de 24 aides à la conduite, comptant notamment, une correction d’urgence de trajectoire, un régulateur de vitesse adaptatif avec fonction embouteillage, un centrage dans la voie, et un système de stationnement semi-autonome. On a également affaire à un véhicule connecté, puisque votre smartphone vous permettra de commander de nombreuses fonctions à distance (déverrouillage, démarrage, préchauffer ou climatiser l’habitacle, localisation du véhicule, et alerte intrusion). Pour son lancement, Renault proposera son bloc 1.3TCe en version essence ou Flexfuel, avec des puissances de 138ch, 156ch, ou 163ch, selon les marchés et le carburant utilisé. Renault proposera un peu plus tard, une version full hybride, et une version 4X4 MHEV 48V.


11 Juillet 2025 : L’heure du renouvellement a sonné pour le Mazda CX-5. Il avait disparu du catalogue depuis quelques mois, le constructeur misant, sur ses CX-30 et CX-60. La troisième génération de Mazda CX-5, arrivera sur les routes en 2026, mais on peut déjà découvrir son nouveau style. Il est d’abord, beaucoup plus imposant. Avec ses 4.69m de long (+11cm), il passe de la catégorie des SUV compacts, à celle des SUV familiaux, un peu à l’image d’un Honda CR-V. Par rapport à son grand-frère CX-60, c’est seulement 6cm de moins. Ce véhicule repose sur la plate-forme de l’ancienne génération, mais les modifications sont nombreuses, avec pour commencer, un empattement qui passe de 2.70m à 2.82m. Pas de doute, il devrait se montrer plus accueillant. Le coffre (583 litres) gagne également une soixantaine de litres. L’ambiance à bord se veut plus zen, avec la disparition de nombreuses commandes physiques, l’adoption d’une instrumentation de 10.25 pouces, et d’un écran central tactile de 12.9 ou 15.6 pouces, selon le degré de finition. On attendra de juger l’ergonomie, qui a toujours été l’un des points forts, de la marque nippone. Le système multimédia profite de quelques applications Google, comme Maps pour la navigation, ou l’assistant vocal Gemini. Mazda donnera la possibilité d’opter pour un système audio Bose 12HP, ou un affichage tête-haute. Côté design, le Mazda CX-5 II était une référence, avec un style à la fois élégant et dynamique. Cette nouvelle génération s’est un peu alourdie au niveau du style, mais ce SUV restera certainement, un des plus séduisants du marché. On remarque la nouvelle signature lumineuse sur deux niveaux à l’avant, et des feux qui se sont élargis au niveau du hayon. Pour son lancement, au début de l’année prochaine, ce CX-5 se dotera d’un bloc 4 cylindres atmosphérique 2.5L, mild-hybrid 24V, de 141ch et 238nm de couple. Avec une consommation de 7.3L au 100km, et des rejets de CO2 de 157g/km, il sera soumis à un beau malus écologique. Mazda proposera par la suite, une inédite motorisation hybride rechargeable Skyactiv-Z, bien plus puissante et frugale.  


10 Juillet 2025 : En 2026, Bentley présentera officiellement, le petit frère du Bentayga, et ce dernier sera apparemment, 100% électrique. Le constructeur anglo-allemand, est un peu en retard sur Rolls-Royce, concernant l’électrification de ses modèles. Bentley pense donc au futur, et nous présente ce concept EXP 15, qui préfigure un futur modèle très haut de gamme, prévu pour 2028. Long de plus de 5.00m, cette Bentley EXP 15 mêle les genres. Berline, crossover, coupé, on ne sait pas vraiment à quel type de véhicule on a affaire. Attention, vouloir satisfaire tout le monde, donne parfois des résultats décevants. En attendant, on peut analyser ce design plutôt original, avec deux portes côté conducteur, et une porte à l’opposé. Ce paquebot repose sur d’immenses jantes carénées de 23 pouces, se pare d’une signature verticale à l’avant, et d’une énorme calandre, plus vraiment destinée au refroidissement. Elle est d’ailleurs, entièrement rétro-éclairée. A l’arrière, on dispose d’un hayon, avec deux spoilers mobiles en partie haute. L’éclairage en forme de crochet, encercle un élément couleur carrosserie, siglé Bentley. L’habitacle, totalement virtuel, propose trois places très confortables. Le conducteur est esseulé à l’avant. Un passager peut prendre place derrière lui, mais c’est surtout celui de gauche, qui est aux anges, avec un fauteuil qui peut s’incliner plus confortablement. L’espace libre à l’avant, permet d’embarquer des bagages supplémentaires, ou un animal de compagnie. Un frunk se cache sous le grand capot avant. Au niveau du coffre, la présence d’un hayon facilite le chargement, mais on peut aussi s’installer sur son seuil, grâce à la présence de deux strapontins. Cuir, laine, soie, bois, laiton, dalle tactile transparente quand on l’éteint, éclairage d’ambiance feutré, Bentley vise évidemment l’excellence côté finition.     


09 Juillet 2025 : Kia consolide un peu plus sa gamme de véhicules électriques en Europe. Après, l’EV6, l’EV9, et l’EV3, la marque coréenne lance son EV5, un SUV de taille équivalente à un Sportage, mais qui ne carbure qu’à l’électricité. Ce modèle de 4.61m de long, sorti il y a deux ans en Corée, mais également en Chine, arrivera donc avec un peu de retard sur le vieux continent. Il faut dire que le marché des véhicules électriques, est en légère perte de vitesse chez nous. Ce SUV, est stylistiquement proche d’un EV9, avec un design cubique, massif, mais très moderne. Passages de roue marqués, signature lumineuse type « constellation », capot et toit à l’horizontale, et des jantes de 18 ou 19 pouces (GT-Line), il impose un style fort. Dans l’habitacle, c’est tout aussi intéressant, avec triple dalle numérique, comptant une instrumentation et un écran central de 12.3 pouces, ainsi qu’une petite unité de 5.3 pouces, au milieu, dédié à la climatisation. Des commandes sensitives au-dessus des aérateurs, font office de raccourcis, et Kia ajoute encore des commandes physiques pour la climatisation. De nombreux rangements sont à disposition, le toit panoramique illumine l’habitacle, et le confort des passagers semble être la priorité. Le coffre de 566 litres est un de ses atouts, et un Frunk de 44 litres se cache sous le capot avant. Ce Kia EV5 repose sur la plate-forme E-GMP de ses grands frères EV6 et EV9, mais il doit se contenter d’une architecture 400V. La batterie LFP disponible en Chine, laisse place à une batterie type NMC de 81.4kWh. Cette dernière encaisse une puissance très raisonnable de 150kW, et le véhicule dispose d’un chargeur embarqué de 11kW. Sur borne rapide, il vous faudra 30mn, pour recharger de 10 à 80%. Il faut savoir que Kia, annonce une autonomie allant de 505 à 530km. Pour le moment, l’EV5 sera disponible avec un moteur électrique de 218ch et 295nm, en mode traction. Le 0 à 100km/h est effectué en 8.4s, et la vitesse maxi est de 165km/h. Une version 4 roues motrices, pourrait voir le jour.


08 Juillet 2025 : Fiat souhaite certainement, redevenir une marque populaire. Le marché automobile est au plus bas, en France, mais également en Europe. En présentant il y a quelques mois, sa Grande Panda, le constructeur italien voulait conquérir les nostalgiques du modèle originel. Sa petite sœur, Panda, est toujours au catalogue, avec son petit bloc 1.0 Firefly de 70ch, mais ce nouveau modèle se veut à la fois plus moderne, plus pratique, et plus puissant. Après les finitions Pop, Icône, RED et La Prima, Fiat propose cette finition, tout simplement nommée, « Grande Panda ». Cela permet d’abaisser le ticket d’entrée à 17 900€, soit un gain de 1300€ par rapport à la finition « Pop ». Cette Fiat Grande Panda de base, ne sera disponible, qu’avec le bloc 1.2 Hybrid 48V 110ch, avec boîte eDCT6. Pour l’avoir testé sur certains modèles du groupe Stellantis, on sait que son petit moteur électrique de 28ch, peut tracter le véhicule à très faible allure, ou en descente. Côté équipements, les choses se gâtent un peu, sur cette finition très dépouillée. L’instrumentation numérique de 10 pouces est toujours présente, de nombreuses aides à la conduite imposées par la norme GSR2 sont bien évidemment de série, la climatisation est manuelle, une prise USB-C est disponible à l’avant, et le frein à main électrique est également en place. L’écran central tactile de 10 pouces, a lui, totalement disparu, remplacé par une surface en plastique et un support smartphone. A l’extérieur, le client devra se contenter de jantes noires 16 pouces en acier, sans enjoliveurs, et de deux teintes de carrosserie (rouge Passione de série, et blanc Gelato en option). L’éclairage à LED, à l’avant et à l’arrière, a totalement disparu.  


06 Juillet 2025 : Après un début de carrière en fanfare, dès son lancement en 2020, la Fiat 500e a fait face à un effondrement de ses ventes, en 2024. La clientèle la plus huppée, a été servie, et les clients moins fortunés, regrettaient l’absence de modèles thermiques, certainement moins coûteux. En fait, cela fait déjà quelques mois, que le constructeur italien, planche sur une version micro-hybrid. Faire entrer un moteur thermique dans une plate-forme prévue, pour accueillir des motorisations électriques, ce n’est pas si simple. La plate-forme STLA City, a connu de nombreuses modifications. Les ingénieurs ont réussi à caser le bloc 3 cylindres atmosphérique Firefly, de 70ch. Il est réputé pour être fiable. Il sera associé à un petit alterno-démarreur, alimenté par une batterie lithium-ion 12V de 0.13kWh. Sa mission est d’aider légèrement le moteur thermique au démarrage, et d’optimiser le système stop and start. C’est également le retour de la boîte manuelle, comptant 6 rapports, et positionnée en hauteur. Cette Fiat 500 Hybrid est esthétiquement très proche du modèle électrique. Une entrée d’air supplémentaire, sous l’inscription 500, distingue cette version Hybrid. Elle sera disponible en version Classique 3 portes, Treipuno (3+1), et Cabriolet. Elle sera produite dans l’usine italienne de Mirafiori, et les premières livraisons en Europe, sont prévues pour Novembre.


04 Juillet 2025 : La Porsche 911 Type 992 est toujours aussi pimpante, mais cette sportive de légende évolue constamment. Après la sortie du modèle full hybride GTS en 2024, la marque nous propose une mise à jour de la gamme 4S, en version Coupé, Cabriolet et Targa. Les clients Porsche, optent de plus en plus, pour ces modèles à 4 roues motrices. De série, le client disposera des feux matriciels LED, du chargeur de smartphone par induction, des rétroviseurs rabattables électriquement, de nouvelles jantes en 20 pouces à l’avant, et 21 pouces à l’arrière, du Porsche Torque Vectoring pour la répartition de la puissance sur les quatre roues, et d’un échappement Sport. On est toujours content de ne pas passer par la case option, chez le constructeur de Stuggart. Les Porsche 911 4S, s’équipent du même système de freinage que la GTS, avec des étriers rouges, et des disques de 408mm (av) et 380mm (ar). La plus grosse modification nous vient du bloc moteur. Grâce à un meilleur refroidissement de l’air de suralimentation, le Flat 6 3.0L Bi-Turbo gagne 30ch, en passant de 450ch à 480ch. Ca pousse donc très fort, avec un 0 à 100km/h effectué en 3.3s, et une vitesse de pointe de 308km/h. Petit bonus pour la Targa 4S, qui profite de série, des 4 roues directrices.


03 Juillet 2025 : On ne comprend pas vraiment, la stratégie de Mitsubishi en Europe. Le constructeur nippon souhaite étoffer sa gamme au plus vite. Son partenariat avec la marque Renault, est une aubaine. Après l’ASX, véritable clone du Renault Captur, et la Colt, un copier/coller de la Clio, Mitsubishi enchaine avec ce Grandis. Ancien monospace de la marque dans les années 2000, ce nouveau Mitsubishi Grandis est à présent un SUV compact du segment C. Il s’agit bien évidemment, d’un Renault Symbioz déguisé. La marque aux diamants, a fait évoluer la face avant, avec un bouclier et une calandre, totalement redessinés, sur fond noir. La signature lumineuse et le bloc phare principal, sont inchangés. De profil, Mitsubishi proposera des jantes spécifiques allant de 17 à 19 pouces. Au niveau de la poupe, le Grandis se distingue un peu plus, avec un hayon remanié, qui accueille des feux plus volumineux. Pas de surprise dans l’habitacle, avec une planche de bord identique à la française. La commande de boîte change, mais on la remarque à peine. Le Grandis garde tous les aspects pratiques du Symbioz, avec une habitabilité correcte, une capacité de chargement généreuse, une modularité intéressante, et un système d’info-divertissement assuré par Google. Sous le capot moteur, il aura droit à des motorisations modernes, avec l’inédit bloc 1.3TCE Mild-Hybrid de 140ch, et le nouveau bloc Full Hybrid 1.8L de 160ch, développé conjointement entre les deux marques. Légèrement plus cher que le Symbioz, ce Mitsubishi Grandis offre néanmoins, une garantie plus intéressante, de 5ans et 100 000km, ou de 8 ans et 160 000km. Cela diffère de la garantie minime de 2 ans, du constructeur français. 


02 Juillet 2025 : La Ferrari Roma, apparue en 2019, n’est plus. Elle cède sa place à l’Amalfi, qui n’est qu’une évolution de la Roma. Elle tire son nom, de la cité côtière du golfe de Salerne. Ce n’est clairement pas un nouveau modèle, puisque cette Ferrari Amalfi, reprend le châssis, les dimensions, et la mécanique, de la très élégante Roma. Les designers ont tenté de faire évoluer son style, et la mission a apparemment été compliquée. On note la disparition de la petite calandre, qui faisait partie du charme de la Roma. Cette face avant est épurée mais également moins expressive, avec un bloc phare très discret. A l’arrière, la plaque a migré sur le bouclier. La partie tôlée plus importante, alourdit quelque peu la ligne. Le diffuseur n’est pas très bien intégré. On remarque également, un pli de carrosserie étrange sur les portières. Ferrari annonce que le nouvel aileron, offre 15kg d’appui supplémentaire, à 250km/h. Dans l’habitacle, c’est à peu près la même chose. La planche de bord de la Roma, toute en rondeur, avec une parfaite intégration des écrans, laisse place à des gros blocs d’instrumentation avec aérateurs latéraux, aussi bien pour le conducteur, que le passager. L’écran central vertical de la Roma, est remplacé par une interface horizontale, positionnée très bas. Cette GT 2+2, privilégie avant tout, les passagers avant. Les sièges « Confort », sont ventilés, chauffants, et massants. Côté mécanique, on a droit à des arbres à cames allégés et une suralimentation optimisée. Résultat, le V8 3.9L Bi-Turbo, développe à présent 640ch (+20ch). Toute cette puissance, est toujours délivrée aux roues arrière, via une boîte de vitesse à double embrayage et 8 rapports. Bonne nouvelle, malgré les nombreuses modifications, le véhicule annonce un poids en baisse de 2kg, avec une masse totale de 1470kg. Le 0 à 100km/h est effectué en 3.3s (-0.1s), et le 0 à 200km/h en 9.0s (-0.3s). Une version découvrable Spider, sera dévoilée dans quelques semaines.  


01 Juillet 2025 : En 2026, on fêtera les 50 ans, de la première génération de Golf GTi. La compacte familiale est sortie en 1974, mais c’est seulement en 1976, qu’elle s’est faite une réputation, avec son logo GTi. Volkswagen nous propose bien évidemment, une série limitée Edition 50, dont la production commencera en fin d’année, avec des livraisons prévues, au début de l’année prochaine. La marque allemande fait toujours confiance à son bloc 2.0TSi, qui développe 325ch et 420nm de couple. C’est 25ch et 20nm, de plus, que la GTi Clubsport. Sur le Nurburgring, cette Volkswagen Golf GTi Edition 50, a déjà fait parler la poudre, avec un chrono de 7mn46s125. Pour atteindre ce niveau de performances, il faut justement opter pour le pack Performance, qui comprend un amortissement plus ferme, une caisse rabaissée, un carrossage spécifique, des jantes allégées Warmenau de 19 pouces, des pneus semi-slicks Bridgestone, et une ligne d’échappement en titane, signée Akrapovic. Cet attirail semble intéressant, mais le confort devrait en pâtir.  Elle est plus rapide que la Golf R (7mn53s219), équipé du bloc 2.0TSi de 333ch et de la transmission intégrale. La Golf GTi Edition 50, abat le 0 à 100km/h en 5.5s, et croise à 270km/h. Côté look, le logo « GTI 50 » prend place, sur le volant, les seuils de portes ou le becquet arrière. Volkswagen propose cinq teintes de carrosserie, le toit et les rétroviseurs noirs, sont de série, tout comme le bandeau lumineux da la face avant. Dans l’habitacle, on note la présence de ces sièges sport semi-baquets, de teinte grise, avec carreaux et bandes multicolores.  


30 Juin 2025 : Ce véhicule ne posera évidemment pas ses roues sur le vieux continent. Ce n’est pas une raison pour l’ignorer. Afin de combler les clients du Moyen-Orient, Nissan a décidé de proposer ce Patrol Nismo, aussi puissant, qu’expressif. Sa robe est spécifique, avec une calandre redimensionnée afin de refroidir le cœur de la bête, un package aérodynamique permettant d’abaisser la température du système de freinage, de nombreux inserts rouges, un diffuseur arrière, un toit contrasté, et des jantes de 22 pouces allégées de 23%. Même topo dans l’habitacle, avec une sellerie cuir et suédine, matelassée, des touches de rouge, un volant sport avec point-milieu, et toutes les technologies qui vont bien. Mais, le plus important, c’est ce qui se passe sous le capot avant. Le bloc V6 3.5L Bi-Turbo Nissan, a été boosté, et développe 502ch et 700nm de couple. Ce Nissan Patrol Nismo dispose d’une ligne d’échappement sport, mais la marque ajoute un amplificateur de son à bord, pour parfaire l’ambiance. La boîte de vitesse à neuf rapports, dispose de palettes au volant. Ce pachyderme à 4 roues motrices, fait appel à une suspension pilotée ultra-réactive, censée réduire les mouvements de caisse. Nissan assure qu’il sera aussi à l’aise sur la route, que dans les dunes. Ce véhicule sera disponible dès le mois de juillet, en Arabie Saoudite et dans les Emirats Arabes Unis.


29 Juin 2025 : Lancia tente de ressusciter en Europe. Ce ne sera pas le cas à la Réunion, puisque aucun concessionnaire n’a pris la carte pour le moment. La nouvelle Lancia Ypsilon a débarqué sur les routes du vieux continent, il y a quelques mois. Elle était disponible en version 1.2MHEV 48V, ou avec une motorisation 100% électrique de 156ch, et batterie de 54kWh. Le constructeur annonce l’arrivée d’une finition HF Line. Par rapport aux finitions, classique et LX, elle ajoute les boucliers spécifiques HF, des contre-portes Bleu Racing, des jantes en 17 pouces, et des inserts HF. L’Ypsilon HF Line, sera disponible à 27 800€ avec le bloc Mild-Hybrid de 110ch, et à 37 800€, avec le bloc full électrique de 156ch. Mais si votre portefeuille le permet, vous pouvez choisir la véritable Lancia Ypsilon HF, qui se dote elle, d’un moteur électrique de 280ch. On dispose des mêmes caractéristiques techniques que sa cousine, Peugeot e208 GTi. Elle développe 280ch, se dote d’un différentiel avant Torsen, d’un système de freinage Alcon, d’un kit carrosserie HF, de jantes en 18 pouces, et de sièges sport avec sellerie bleu Racing. Avec 280ch et 345nm de couple, cette citadine de 1.6 tonnes, abat le 0 à 100km/h en 5.6s et croise à 180km/h (autolimitée). Elle est plus large de 2cm, et la caisse est également moins haute de 2cm. Cette Lancia Ypsilon HF Perfor 280ch 54kWh, est disponible à partir de 42 400€.


27 Juin 2025 : Le Nissan Qashqai, pionnier des SUV compact, a perdu un peu de sa superbe au fil des années. Néanmoins, il reste une des références du marché, et la dernière génération profite de la très agréable motorisation e-Power. C’est cette version qui fait le gros des ventes. Ce bloc full hybride, propose une cinématique de fonctionnement très originale. On a droit à un gros moteur électrique, en charge de tracter le véhicule. Le moteur thermique, a pour mission de recharger la petite batterie de 1.97kWh, ou d’alimenter directement le moteur électrique, via un onduleur. Ce moteur thermique ne s’accouple donc, jamais aux roues. Résultat, malgré le fait d’être un véhicule hybride, à la conduite, on a toujours l’impression de conduire un véhicule électrique. Le Nissan Qashqai e-Power, connaît une évolution en 2025. Le constructeur nippon fait évoluer son 3 cylindres 1.5L Turbo de 158ch. Il profite d’un nouveau collecteur d’admission, d’une chambre de combustion et de pistons modifiés, et d’un plus gros turbo. Nissan a également réduit les frottements grâce à une nouvelle huile moteur. Le rendement thermique est largement amélioré. Le moteur électrique passe lui, de 190 à 205ch (couple de 330nm). La bonne nouvelle, c’est évidemment la consommation mixte, qui passe de 5.1L à 4.5L, selon le cycle WLTP. On peut en théorie, parcourir près de 1200km, d’une seule traite. Les rejets de CO2 sont de 102g/km (-14g/km). Déjà très silencieux à la base, ce Qashqai améliore encore l’insonorisation, avec une meilleure isolation de l’habitacle, et un système de réduction du bruit actif, via les haut-parleurs.


26 Juin 2025 : Mercedes prépare activement son avenir électrique. Même si le constructeur proposera encore des véhicules thermiques ou hybrides rechargeables dans les années qui viennent, de nombreux ingénieurs se concentrent sur les nouvelles technologies 100% électriques, à hautes performances. On vous présente donc ce concept AMG GT XX, qui remplacera à moyen terme, la grosse berline AMG GT 4 portes, actuellement au catalogue. Ce futur modèle, est plutôt radical dans sa conception, avec l’adoption d’une toute nouvelle plate-forme (AMG.EA) qui intègre la batterie, un système aérodynamique actif, un style très racé, et un habitacle ultra-sportif. Cette face avant néo-rétro, se pare d’une calandre grillagée éclairée, d’un bloc phare principal type Maserati sur les ailes avant, et d’un capot avant avec extracteurs d’air. Cette Mercedes AMG GT XX dispose de différents volets actifs, au niveau du bouclier et du diffuseur, et les soubassements sont entièrement carénés. Les jantes aérodynamiques disposent également de volets actifs. Pas de lunette arrière sur cette berline sportive, on note au niveau de la poupe, un éclairage à trois cercles lumineux, et ce bandeau noir avec panneaux lumineux. Dans l’habitacle, on a droit à un univers assez dépouillé, avec volant type Formule 1, une instrumentation 10.2 pouces, accolée à un écran central de 14 pouces, et un éclairage d’ambiance spécifique. Mercedes utilisera un maximum de matériaux recyclés à bord, sans toucher à la qualité perçue. La marque à l’étoile dévoile quelques données techniques. Ce monstre s’équipera d’une triple motorisation électrique de 1360ch, avec des blocs de nouvelle génération à flux axial, plus performants et moins volumineux. Les deux moteurs arrière, propulsent en permanence, alors que l’unité avant, rentrera en action, selon les besoins. On ne connaît pas encore la capacité de la batterie, mais elle sera de type NMCA (nickel, manganèse, cobalt et aluminium), avec anode en silicium. Elle pourrait récupérer 400km d’autonomie, en à peine 5 minutes.    


25 Juin 2025 : On pensait que cet énorme SUV électrique, resterait cantonner aux marchés américains et asiatiques. Finalement, Hyundai importera son Ioniq 9 en Europe, notamment en France. Les volumes de ventes ne seront pas impressionnants sur le vieux continent, et c’est un peu normal, quand on analyse les dimensions de ce beau bébé. Reposant sur la plate-forme E-GMP, qu’elle partage avec son cousin Kia EV9, ce Hyundai Ioniq 9, mesure 5.06m de long, 1.98m de large, 1.79m de haut, pour un poids à vide, de 2549kg. Son empattement gigantesque de 3.13m, permettra d’accueillir confortablement, 6 ou 7 passagers. La capacité de chargement varie de 620 à 1320 litres, bref, un vrai déménageur. Le client pourra choisir la version d’entrée de gamme, propulsion, de 218ch, associée à la seule batterie disponible, de 110.3kWh. L’autonomie annoncée est alors de 620km. Il faut savoir que cette batterie encaisse une charge de 11kW en AC, et 350kW en DC. Hyundai proposera également deux versions à transmission intégrale (double motorisation), de 307ch ou 428ch. La liste des équipements, est archi-complète de série (Finition Creative), mais si vous optez pour la finition Executive ou Callygraphy, le constructeur coréen, ajoutera par exemple, un affichage tête-haute 12 pouces, une sellerie full cuir, des sièges ventilés au rang 1 et 2, le rétroviseur intérieur caméra, les jantes en 20 pouces ou 21 pouces, le toit ouvrant panoramique, le stationnement semi-autonome à distance, ou les rétro-caméras latéraux sur écran de 7 pouces. En France Métropolitaine, les tarifs iront de 69 900€ à 86 900€.


24 Juin 2025 : Il y a quelques semaines, BMW annonçait les premiers tests, d’une i7, équipée d’une batterie solide. La marque allemande mise sur une commercialisation d’un modèle de série, à l’horizon 2030. Bien évidemment, les Chinois souhaitent accélérer le mouvement, et mettre une fois de plus KO, les constructeurs occidentaux. C’est BYD qui tire le premier. On sait qu’il travaille sur cette technologie depuis un long moment, grâce à une armada d’ingénieurs (plus 100 000 personnes bossent sur le projet). Les résultats sont apparemment très intéressants, même si la marque ne confirme pas les chiffres annoncés. Cette batterie solide, d’une capacité de 400kWh, proposerait une autonomie de 1875km selon le cycle CLTC, et pourrait récupérer en 12mn, une charge permettant de parcourir 1500km. La batterie solide a de nombreux avantages, par rapport aux batteries actuelles, à électrolyte liquide. Pas de produits inflammables, une meilleure densité énergétique, une puissance de charge plus intéressante, BYD semble une fois de plus, avoir un coup d’avance par rapport à la concurrence. Elle a déjà installé une unité dans sa berline dynamique Seal. Le constructeur souhaite parfaire la fiabilité, après avoir détecté quelques courts-circuits, à cause de la formation de dentrites (petites projections de métal). La batterie pourrait développer jusqu’à 500kWh, mais BYD a décidé de brider son système, pour des raisons de fiabilité. Selon le constructeur, un véhicule de série, pourrait débarquer sur les routes dès 2027. L’objectif sera par la suite, d’abaisser les coûts de production, en améliorant les process de fabrication, entre 2027 et 2030. Connaissant la détermination chinoise, on peut s’attendre à quelques surprises, niveau date.    


23 Juin 2025 : Quand il s’agit de choisir un véhicule électrifié, la clientèle européenne hésite encore entre les modèles hybrides rechargeables ou 100% électriques. Ca tombe bien pour la marque BYD, qui dispose déjà d’une gamme de véhicules 100% électriques, très intéressante, mais qui développe également sa technologie hybride rechargeable. Nous avons essayé il y a quelques mois, le gros SUV, Seal U DM-i. Un deuxième modèle PHEV fait son entrée sur le marché européen, il s’agit de la Seal 5 DM-i. Pour le moment, elle est disponible à la vente, en Pologne et en Slovaquie, mais pourrait arriver très rapidement en Europe de l’Ouest. Ultra-classique au niveau de son style, cette berline tricorps de 4.78m de long, mise sur ses aspects pratiques. Par certains côtés, elle fait penser à la très populaire Skoda Octavia. Son empattement de 2.72m, assure une habitabilité confortable aux places arrière, et son coffre de 508 litres pourrait séduire une clientèle professionnelle, comme les taxis ou VTC. Jolie instrumentation numérique devant le conducteur, écran central tactile de 12.8 pouces qui pivote sur 90%, toutes les aides à la conduite à disposition, équipements généreux, et matériaux de qualité à première vue, cette BYD Seal 5 DM-i semble agréable à vivre. Sous son capot, le constructeur chinois la dote d’un 4 cylindre 1.5L de 100ch, d’un bloc électrique de 161ch, et d’une batterie rechargeable de 7.7, ou 15.8kWh. La puissance cumulée de 212ch, permet un 0 à 100km/h en 7.5s, et une vitesse de pointe bridée à 180km/h. Avec sa batterie la plus imposante, elle annonce une autonomie de 100km, en mode électrique. Grâce à son gros bac à essence de 65 litres, elle peut parcourir d’une seule traite, près de 1050km. La puissance de charge de la batterie, est de 6.6kW. Dans les pays de l’Est, elle est disponible à la vente, à des tarifs compris entre 30 000 et 34 000€.


22 Juin 2025 : La Volkswagen Polo a 50 ans. La fourmi est encore aujourd’hui, une référence du marché des citadines compactes. Néanmoins, elle n’est plus aussi populaire qu’à une époque, avec une montée en gamme ces 15 dernières années, et une concurrence beaucoup mieux organisée. En 2026, elle sera secondée par l’ID2, une citadine électrique annoncée de longues dates. Avec un peu de chance, elle pourrait adopter le patronyme de Polo. En attendant, Volkswagen nous propose cette finition « Edition 50 ». Elle se dote de quelques éléments spécifiques, avec des inscriptions 50, sur les seuils de porte, les montants extérieurs, la planche de bord, et le volant. De série, elle propose de superbes jantes Coventry en 16 pouces, ou Tortosa de 17 pouces, en option. Instrumentation et écran central tactile de 8 pouces, caméra de recul, chargeur par induction, pédalier en inox, stationnement semi-autonome, aide au changement de voie, vitres arrière surteintées, l’équipement de série est plutôt généreux. Côté motorisation, cette Volkswagen Polo Edition 50, ne sera disponible, qu’avec le sage 1.0TSi de 95ch, automatiquement associé à la boîte DSG7. Son tarif débute à 27 720€ en France. Selon le constructeur, cette version très bien équipée, permet de faire 2000€ d’économie par rapport à la finition Style, dotée des mêmes équipements.


20 Juin 2025 : Le groupe russe Avtovaz, est assez discret depuis 2022, après le déclenchement de la guerre en Ukraine. Maison mère de la marque Lada, elle a été nationalisée la même année, après le retrait de son actionnaire principal, le groupe Renault-Nissan. En 2025, Lada nous propose néanmoins, ce nouveau modèle, prénommé Azimut. On ne sait pas vraiment sur quelle base technique elle repose. On rappelle que la marque coopérait très étroitement avec Renault et Dacia, à l’époque. Ce Lada Azimut est en tout cas un SUV, d’apparence moderne. On remarque le style très musculeux au niveau des ailes avant et arrière. La face avant très carrée, se pare d’une grosse signature lumineuse en C, la garde au sol est généreuse (20.8cm), on dispose de jantes en 18 pouces, et la poupe est assez élégante, avec un éclairage stylé à bandeau lumineux. Dans l’habitacle, on découvre une planche de bord, tout aussi moderne, avec une grande instrumentation numérique, un volant deux branches, de nombreux inserts en plastique type alu, des commandes physiques pour la climatisation, et un écran central tactile de 10 pouces, avec une interface développée par Sber, le géant local de la « Tech ». Sous le capot, c’est du classique, avec deux blocs atmosphériques de 1.6L et 1.8L, développant respectivement, 120ch et 132ch. Ils sont associés à une boîte manuelle à 6 rapports ou une unité automatique type CVT. La version haut de gamme, se dote d’un bloc 1.5 Turbo de 150ch et d’une boîte automatique à convertisseur. Dommage, cet Azimut ne proposera pas de transmission intégrale, un équipement souvent indispensable en Russie, surtout en hiver.  


19 Juin 2025 : Corvette hausse encore son niveau de jeu, avec l’arrivée de cette version ZR1X. On avait déjà droit à la version E-Ray, doté d’un V8 atmosphérique et d’un bloc électrique sur le train avant. C’était la première Corvette Hybride, et à transmission intégrale. Corvette a ensuite présenté une ZR1, beaucoup pus traditionnelle, équipée d’un gros V8 Bi-Turbo de 1079ch, en mode propulsion. Le constructeur américain a décidé de combiner les atouts de ces deux modèles, pour créer la ZR1X. Elle est donc équipée du gros bloc turbocompressé à l’arrière, et du moteur électrique de 189ch, toujours accolé au train avant. Résultat, on dispose sous le pied droit, de 1267ch, et d’un couple titanesque de 1123nm. Le véhicule peut se déplacer en mode zéro émission, pendant 6km, grâce à la batterie de 1.9kWh. Néanmoins, on se retrouve dans une supercar full hybride 4WD, qui privilégie avant tout, les performances. Et ça envoie du lourd, avec un 0 à 100km/h avalé en 2.0s, et un 400mDA expédié en 9.0s. Pour coller ce monstre au sol, on dispose de la suspension pilotée Magnetic Ride, de pneus Michelin Pilot Sport 4S, et d’un kit aérodynamique offrant jusqu’à 544kg d’appui. Un système de freinage carbone céramique avec étrier 10 pistons à l’avant et 6 pistons à l’arrière, est également de la partie. Cette Corvette ZR1X, arrivera dans les concessions américaines, à la fin de l’année.


18 Juin 2025 : Nissan est en grande difficulté financière, mais la présentation de la troisième génération de Leaf, devrait redonner le moral à toutes les équipes. On rappelle que la Leaf, sortie en 2010, fut pendant un long moment, le véhicule électrique le plus vendu au monde, avec près de 700 000 exemplaires écoulés, grâce aux deux premières moutures. Ce nouveau modèle change du tout au tout, puisque la Leaf n’est plus une berline compacte, mais un crossover du segment C. La Leaf a toujours misé, sur son habitabilité, son équipement, et ses tarifs assez serrés. Cette Nissan Leaf 2026, semble par contre, monter en gamme. Le véhicule est plus court de 14 centimètres par rapport à la génération précédente, avec ses 4.35m, mais cela n’affectera pas l’habitabilité, ni la capacité de chargement (437 litres), selon les premières données techniques. Le coefficient de pénétration dans l’air progresse, en passant de 0.28 à 0.25, ce qui est également un bon point. Le style est épuré, avec une calandre couleur carrosserie, une signature lumineuse élégante, un profil de coupé, et un hayon massif, avec un éclairage sur fond noir. Reposant sur la plate-forme du Renault Scenic E-Tech et de son grand frère, le Nissan Ariya, cette Leaf profite des mêmes technologies. Nissan propose une double dalle numérique de 12.3 pouces, ou de 14.3 pouces sur la version haut de gamme. Comme chez Renault, l’interface est signée Google. On peut disposer d’un système de vision panoramique 3D à 8 caméras, avec fonction capot invisible, lors des manœuvres. On peut aussi opter pour un toit panoramique opacifiant en plusieurs parties, type Solarbay. Toutes ces technologies, font craindre le pire côté tarif. On peut être sûr, que cette Nissan Leaf III, ne sera plus le véhicule électrique, le plus populaire au monde. Côté mécanique, on peut choisir la version de 177ch, avec batterie de 52kWh (436km d’autonomie), capable d’encaisser une charge de 105kW. Le modèle haut de gamme, dispose d’un moteur électrique de 217ch, avec batterie de 75kWh (604km), capable d’encaisser une charge de 150kW. Si la vitesse maxi est bridée à 160km/h dans les deux cas, les performances d’accélération sont très convaincantes, avec un 0 à 100km/h effectué respectivement, en 8.6s ou 7.6s. La Leaf disposera des fonctions V2L et V2G, permettant d’alimenter des appareils électriques, ou de renvoyer de l’énergie, sur le réseau électrique. Fabriquée en Angleterre, dans l’usine Nissan de Sunderland, elle devrait débarquer sur les routes, à la fin du premier trimestre 2026.


17 Juin 2025 : Audi renouvelle une des stars de sa gamme. Dans les années 90 et 2000, c’est l’Audi A3 qui faisait le gros des ventes de la firme aux anneaux. Il semble à présent que ce soit le Q3, qui est pris l’ascendant. Le succès de ce SUV compact, est capital pour le constructeur allemand. L’Audi Q3 de troisième génération, se dévoile enfin. Elle repose sur la plate-forme MQB Evo, qu’elle partage notamment, avec le Volkswagen Tiguan. Audi ne communique pas sur la longueur et l’empattement de ce Q3, mais on sait qu’il accueillera des motorisations MHEV 48V, et une version hybride rechargeable. On aura droit à un 1.5TFSi et un 2.0TDi, micro-hybrides, développant 150ch. Pour ce début de carrière, Audi proposera d’entrée de jeu, une version hybride rechargeable, qui combine le bloc 1.5TFSi, un moteur électrique de 116ch, et une énorme batterie de 25.7kWh. Cela offre une puissance combinée de 272ch et une autonomie full électrique de 120km. Justement, la capacité de chargement est annoncée en baisse, avec un coffre qui passe de 530 à 488 litres. Heureusement, la banquette coulissante, avec dossier réglable, permet de disposer de 575 litres, quand ils sont avancés au maximum. Aux places avant, on retrouve l’agencement des nouvelles productions Audi, avec une double dalle numérique, très, et peut-être même, trop imposante. Les nouvelles technologies vont de pair, avec une mémorisation des 50 derniers mètres, permettant une marche arrière automatique, à l’image de BMW. La conduite semi-autonome de niveau 2 a été améliorée, et le système multimédia Androïd Automotive fait appel à l’IA. La commande de boîte migre à gauche du volant. Du coup, la manette de droite accueille de concert, les commandes d’essuie-glace, de clignotants, et des feux. A voir côté ergonomie. Le design de cette troisième génération, semble massif, avec plus de rondeurs par rapport à la génération précédente. La calandre proéminente, entourée d’un gros élément couleur carrosserie, lui procure une sacrée agressivité. Bien évidemment, Audi a travaillé l’éclairage, avec les nouveaux feux diurnes en partie haute, et un bloc phare principal dans le bouclier, équipé de projecteurs matriciels, avec 25 600 micro-LED. A l’arrière, on a également droit à un éclairage à double étage, avec une signature lumineuse paramétrable, soulignée par un bandeau, et logo éclairé en option.     


16 Juin 2025 : Il n’y avait pas que de la Formule 1 ce week-end. Si Georges Russel a remporté brillamment le grand-prix du Canada, les passionnés de sport mécanique, ont pu également suivre, la mythique course des 24 Heures du Mans. Si les Cadillac ont fait exploser les chronos en qualifications, ce sont bien les Ferrari qui étaient les plus rapides ce week-end. La Porsche Penske n°6, a surpris son monde, en faisant une remontée spectaculaire jusqu’à la seconde place, mais c’est finalement une Ferrari qui s’impose. Etonnament, il ne s’agit pas d’une Ferrari rouge, mais d’une jaune, de l’équipe AF Corse. Robert Kubica, Yifei Ye, et l’anglais Philip Hanson, remportent cette édition avec brio. Le polonais Robert Kubica, anicen pilote de formule 1, remporte pour la première fois cette course. Pour YiFei Ye, il s’agit du premier chinois à s’imposer dans la Sarthe. Les deux Ferrari officielles, finissent ces 24 Heures, à la troisième et quatrième place. La Cadillac n°12, réussit à terminer cinquième, juste devant la Toyota du Gazoo Racing, qui manquait clairement de rythme. C’est encore pire pour les équipes françaises, Alpine et Peugeot. Les deux Alpine, terminent 10ème et 11ème, juste devant, la Peugeot n°94. Pour Aston-Martin, il y a encore beaucoup de travail, avec sa magnifique hypercar à moteur V12 (13ème et 15ème).  


15 Juin 2025 : Les nouveaux Audi Q5 et Q5 Sportback, ont été renouvelés, à la fin de l’année dernière. Elles étaient alors disponibles en version micro-hybride 48V, 2.0TDi et 2.0TFSi, d’une puissance de 204ch. Les plus excités pouvaient également choisir la version SQ5, et son V6 3.0TFSi de 367ch. Pour rivaliser avec le nouveau BMW X3 ou le Mercedes GLC, la marque aux anneaux se devait de présenter une version hybride rechargeable. Il y aura deux niveaux de puissance, avec ce nouvel Audi Q5 e-Hybrid, de 299 ou 367ch. Le bloc thermique 2.0TFSi développe 252ch, et s’associe à un moteur électrique de 143ch. Le véhicule dispose de série, de la boîte S-Tronic à 7 rapports, et de la transmission intégrale. Par rapport à la génération précédente, Audi l’a équipé d’une batterie bien plus imposante, qui passe de 17.9kWh à 25.9kWh. L’autonomie en mode full électrique, est de 113km, à une vitesse maximum de 140km/h. Le conducteur peut jouer sur les modes de conduite (EV ou Hybride), et même sauvegarder la charge de la batterie en fonction du parcours. La récupération d’énergie est réglable sur trois niveaux, via les palettes au volant. Seul bémol, la capacité de chargement passe de 520 litres en version MHEV, à 438 litres, sur ces versions hybrides rechargeables. L’Audi Q5 e-Hybrid de 299ch, sera disponible en Europe, à 67 900€TTC en finition Design, et le modèle de 367ch, à 78 400€TTC en finition S-Line.


14 Juin 2025 : Attention, Peugeot sort les griffes, avec le retour du label GTi. C’est la Peugeot 208, qui fait son show, avec une version très sportive. Le groupe Stellantis vient de changer de directeur, le but, étant de redorer l’image de marque du groupe. Fiat, Chrysler, Lancia, Alfa-Romeo, toutes auront droit à quelques surprises dans leur gamme respective. Aujourd’hui, on va se concentrer sur cette Peugeot e208 GTi, qui s’annonce électrisante. Bien évidemment, il faut oublier une quelconque motorisation thermique, bien trop taxée, sous nos contrées. Cette citadine, qui repose sur la plate-forme STLA Small (ou CMP pour les plus anciens), se dote d’une motorisation très excitante. Comme sur l’Abarth 600e ou la Lancia Ypsilon HF, le bloc électrique développe 280ch, au mieux de sa forme. L’Alpine A290, avec ses 220ch, paraît presque timide. Peugeot a travaillé sur les trains roulants, avec des amortisseurs à butée hydraulique, des ressorts plus fermes, une nouvelle barre anti-roulis, et un différentiel à glissement limité. Les voies ont été élargies de 5.6cm à l’avant et 2.7cm à l’arrière, et la caisse a été rabaissée de 3cm. Cette petite traction, qui dispose d’un couple de 345nm, expédie le 0 à 100km/h en 5.7s, et croise à 180km/h (autolimitée). Son poids de 1500kg, ne devrait pas poser de problème, avec la batterie de 54kWh, placée sous le plancher. C’est la même que pour la e208 de 156ch. L’autonomie annoncée est de 350km. Le chargeur embarqué de 7.4kW, recharge cette unité en 4h40, mais vous pourrez la brancher sur une borne rapide de 100kW, pour une recharge de 20 à 80%, en une demi-heure. La fonction V2L, permet d’alimenter d’autres appareils électriques. Pour le look, on vous laisse admirer le spoiler spécifique à l’avant, le toit noir, le gros becquet, ou les superbes jantes à trous, siglées GTi. A bord, l’ambiance est au rouge, avec une moquette, une instrumentation, et des données multimédia, propres à cette version très sportive. Vous disposerez de données télémétriques supplémentaires, grâce au système multimédia. Siège baquet, sellerie en tissu et alcantara, volant et pédalier sport, plastique type carbone, la citadine française semble rugir pour la première fois. Le conducteur pourra à sa guise, activer une sonorité artificielle, pour améliorer l’ambiance, en conduite dynamique. Reste à savoir le tarif, de cette nouvelle petite lionne, qui devrait allègrement dépasser les 42 000€, en Europe. 


13 Juin 2025 : Le monde du rallye, est-il prêt à basculer vers la technologie 100% électrique ? Opel a déjà lancé sa formule, avec la Corsa-e, et prépare l’arrivée de la Mokka GSE. Un autre constructeur semble s’intéresser à ce nouveau type de voiture de rallye, et il s’agit d’un spécialiste de la discipline. Skoda a une expérience conséquente en rallye, avec l’Octavia WRC dans les années 90, et la Fabia, qui sévit toujours en catégorie WRC2. La marque tchèque nous présente ce concept Enyaq RS Race, qui affiche un look très démonstratif. Ce SUV 100% électrique, a choisi des pièces biocomposites, pour de nombreux éléments de carrosserie, les contre-portes ou le tableau de bord, et les vitres sont en polycarbonate. Résultat, ce gros bébé perd plus de 300kg sur la balance. La double motorisation électrique de 340ch, sera automatiquement, plus efficace. Le 0 à 100km/h est expédié en 4.6s, et la vitesse max de 180km/h est atteint en un rien de temps. La caisse est rabaissée de 70mm, et les suspensions et amortisseurs, sont évidemment, réglables. Les voies et les ailes ont été élargies. Le système de freinage en carbone céramique, s’équipe d’étriers à 10 pistons à l’avant, et 4 pistons à l’arrière. Le véhicule a droit à des jantes spécifiques OZ, de 20 pouces. La marque a voulu travailler sur la sonorisation de cette bête de rallye. Afin de l’entendre dans les spéciales, cette Skoda Enyaq RS Race, s’équipe d’un système extérieur audio, signé Havas. Un haut-parleur à l’avant, et deux à l’arrière, avec une sonorité rageuse selon le constructeur.  


11 Juin 2025 : Fondée en 2014, la marque Xpeng est arrivée en Europe, il y a déjà quelques années, en débarquant en Norvège. La marque installe son réseau sur le vieux continent, et a infiltré le marché français en 2024. Pour la Réunion, il faudra sans doute, attendre encore un peu. Pour le moment, la gamme mise sur son crossover familial G6, et sur son gros SUV G9. La berline Mona M03, devrait arriver dans les prochains mois, et la berline haut de gamme P7, sera renouvelée très bientôt. Xpeng présentera dans quelques jours, officiellement, son nouveau crossover G7. Avec ses 4.89m de long, il est presque aussi grand que le G9, mais son style est bien plus racé. Grandes surfaces lisses et galbées, une lunette arrière inclinée, une face avant épurée, une signature lumineuse arrière stylée, elle peut également s’équiper de ces grandes jantes en forme de X. Pour le moment, Xpeng annonce l’arrivée d’une version propulsion de 296ch, associée à une batterie de 68.2kWh (510km d’autonomie) ou une batterie de 80.8kWh (600km). Le plus impressionnant, reste la technologie embarquée. Xpeng a développé son propre logiciel concernant les aides à la conduite et le système multimédia, et a fait appel à Huawei, pour développer le système AR-HUD. Le véhicule sera équipé d’un grand écran central de 15 pouces, mais cela semblait trop classique pour Xpeng. Pas d’instrumentation pour le conducteur, le système AR-HUD viendra pallier cette absence, avec un affichage tête-haute de 87 pouces, à réalité augmentée. Le but, est de disposer d’une vision très claire des données de conduite, grâce à une nouvelle technologie cristal liquide, permettant de disposer d’une image haute résolution, sur le pare-brise. Les données de navigation seront projetées au niveau du sol, afin d’éviter toute erreur de direction. Changement de voie, angle mort, piétons, stationnement, les informations parviendront de façon naturelle au conducteur, et ce Xpeng G7 peut même vous assister, lors de conditions météos difficiles. Toutes ses aides fonctionnent de concert, avec l’IA. Encore une fois, les entreprises chinoises semblent avoir une décennie d’avance, grâce à des investissements colossaux en recherche et développement.     


10 Juin 2025 : Le MG EHS est disponible à la Réunion ou en France, uniquement en version Hybride rechargeable. Pour l’avoir testé il y a quelques jours, on ne peut qu’apprécier ses excellentes prestations, avec son moteur suffisamment pêchu, son couple omniprésent et son équipement archi-complet. Avec son énorme batterie, elle peut même parcourir une centaine de kilomètres, sans utiliser une goutte d’essence. Néanmoins, pour les allergiques à la prise électrique, MG propose sur certains marchés, une version full hybride non rechargeable. La motorisation ne change pas, avec toujours un 4 cylindres 1.5L Turbo de 142ch, et un moteur électrique de 198ch. La puissance cumulée est bien évidemment revue à la baisse, en passant de 272ch sur le modèle hybride rechargeable, à 224ch, sur cette version full hybride. Le couple de 340nm est toujours aussi généreux. La grosse batterie de 21.4kWh, est remplacée par une unité de 1.8kWh brut. Cette dernière se recharge en roulant bien sûr. On peut s’attendre à un poids en baisse, qui profitera au comportement routier. Le coffre est également plus généreux, avec une capacité de chargement qui passe de 425 à 507 litres. Les performances annoncées sont plus qu’honorables, avec un 0 à 100km/h effectué en 7.9s, et une consommation mixte de 5.5L pour des rejets de CO2 de 126g/km. Pour le moment, ce MG EHS 224ch, sera commercialisé au Royaume Uni.


09 Juin 2025 : C’est la fin d’une époque. La Honda Civic Type R, est la dernière berline compacte sportive, a quitté le marché européen. A partir du 1er janvier 2026, il sera presque impossible d’homologué ce type de véhicule, avec cette nouvelle norme Euro6e-bis. Elle est encore au catalogue du constructeur nippon pour quelques mois, en Europe. Les clients peuvent même s’offrir cette série limitée à 40 exemplaires. La France n’aura droit qu’à une seule unité. Pour se procurer cette Honda Civic Type R Ultimate Edition, il faudra avoir un peu de chance au tirage au sort. Elle sera affichée à 64 420€ (+ 7200€ par rapport à la version standard), mais il faudra ajouter 58 134€ de malus écologique. Elle dispose de quelques spécificités, avec un aileron en fibre de carbone, des rétroviseurs et un toit noir, et une teinte exclusive blanche à bandes rouges. Le logo type R est projeté au sol, à l’ouverture des portes, l’éclairage d’ambiance est revu à bord, et quelques touches de carbone habillent l’habitacle. Pas d’évolutions techniques, pour cette sportive, qui détient toujours le record de la traction la plus rapide, sur le Nurburgring. Caisse et amortissement rigides, différentiel autobloquant, bloc moteur 2.0L VTEC Turbo de 329ch et 420nm de couple, c’est du pur plaisir, à l’ancienne.


08 Juin 2025 : Ce n’est pas la première fois, que l’on peut retrouver, de véritables voitures de course, sur la route. Porsche a par exemple, homologué trois 917 dans les années 70. A la fin des années 90, les monstres de l’endurance, en catégorie GT1, devaient dériver d’une voiture de route. Porsche avait alors, commercialisé une vingtaine de 911 GT1. L’édition 2025 des 24 Heures de Mans, approche. Porsche nous dévoile la seule 963 RSP, qui a eu l’autorisation de prendre la route. Son propriétaire est le célèbre patron d’écurie, Roger Penske. C’est le pilote Timo Bernhard, qui a eu le privilège de faire les premiers tours de roue. Finalement, côté motorisation, l’homologation a été facilitée, puisque cette 963, embarque le bloc moteur de l’hypercar 918 Spyder, sortie en 2013. Le bloc thermique n’est plus atmosphérique, après l’adoption de deux turbos. Par rapport au modèle de compétition, ce V8 4.6L Bi-Turbo hybride, est plus souple à l’usage, avec une centrale MGU, assagie. Il développe 680ch, comme en course, et s’accouple à une boîte séquentielle Xtrac, à sept rapports. Le véhicule se dote évidemment, de clignotants et d’un klaxon. Porsche a relevé la hauteur de caisse, et a assoupli l’amortissement. L’habitacle a également été revisité, avec un habillage full cuir, et on a même droit à un porte-gobelet amovible.


06 Juin 2025 : La Renault 5 Electric, lancée en mai 2024, a fait sensation, mais elle n’était disponible qu’en version haut de gamme Iconic, puis en version Techno, avec le moteur de 150ch et la batterie de 52kWh. Les clients les plus à l’aise financièrement, se sont fait plaisir, et les ventes ont été à la hauteur, avec plus de 40 000 exemplaires, mis en circulation. Maintenant, la Renault 5 Electric, doit également séduire une clientèle lambda, qui souhaite simplement profiter des aptitudes routières et du look de cette dernière. La gamme sera complète en juillet, avec une R5 Five de 95ch (Batterie de 40kWh), une R5 (Evolution, Techno et Iconic) de 120ch, et une R5 (Evolution, Techno, Iconic, et Roland Garros) de 152ch. On va s’intéresser au modèle d’entrée de gamme de 95ch, en finition Five, avec batterie NMC de 40kWh, disponible à partir de 24 990€TTC en France Métropolitaine (Hors bonus écologique). L’affaire paraît juteuse. L’équipement comprend déjà, la climatisation manuelle, une petite instrumentation de 7 pouces pour le conducteur, l’écran central tactile de 10.1 pouces, les applications Androïd auto et Applecarplay, des roues de 18 pouces avec enjoliveurs, le radar de recul, ainsi que le détecteur de pluie et de luminosité. Même si quelques artifices manquent au niveau de l’habillage de la carrosserie, le véhicule paraît toujours aussi sympa. Le petit bloc électrique de 95ch et 215nm de couple, n'est pas une foudre de guerre, avec son 0 à 100km/h effectué en 12.0s, un 1000mDA en 36.0s, et une vitesse maximum de 130km/h. La batterie de 40kWh offre une autonomie de 312km, selon le cycle WLTP. Pour une entrée de gamme, les parcours quotidiens sont largement assurés, et on peut même penser à faire de l’autoroute. Le rêve s’arrête là, puisque cette finition d’entrée de gamme 95ch Five, propose uniquement une recharge de la batterie en courant alternatif de 11kW. Il faut plus de 2h30, pour charger la batterie, de 15 à 80%. Résultat, ce véhicule se cantonnera à une région, et n’a pas vocation à traverser la France. La version de 120ch, disponible à partir de 27 990€TTC, en finition Evolution, paraît alors, plus intéressante. La batterie encaisse une charge de 80kW en courant continu, permettant une recharge rapide sur autoroute. Les performances semblent beaucoup plus alléchantes, avec un 0 à 100km/h effectué en 9.0s, un 1000mDA en 31.5s, et une vitesse maxi de 150km/h. De nombreuses teintes de carrosserie supplémentaires sont disponibles, et la liste d’équipement est plus étoffée, avec un accès et démarrage mains-libres, la pompe à chaleur, les projecteurs 100% LED, et les feux de croisement/route automatique. Mais vous pourrez toujours choisir le moteur de 152ch, la grosse batterie de 52kWh, sa recharge acceptant 100kW, et ses tarifs variant de 31 490€TTC à 36 490€TTC, hors bonus.


05 Juin 2025 : La BMW i4, dispose déjà de prestations très respectables, dans le monde de la voiture électrique premium. La marque à l’hélice, souhaite néanmoins améliorer son modèle par petites touches, au fil des années. La gamme se compose de quatre versions, avec la eDrive35 de 286ch, la eDrive40 de 340ch, la xDrive40 de 401ch, et la M50 xDrive de 544ch. Cette dernière évolue, et se transforme en M60 xDrive de 601ch. Sur les deux versions d’entrée de gamme, BMW fait appel à de nouveaux semi-conducteurs en carbure de silicium. Résultat, les eDrive35 (batterie de 70kWh) et eDrive40 (Batterie de 84kWh), abaisse leur consommation de 4.5%. Les autonomies passent respectivement, de 500 à 513km, et de 600 à 612km. Pas de changement pour la xDrive40, qui annonce toujours 546km. La M60 xDrive améliore par contre, significativement son score, malgré la hausse de puissance. Elle passe de 520 à 551km, et le 0 à 100km/h gagne 0.2s (3.7s). La hausse de tarif est modérée, avec un surcoût de seulement 250€ (300€ pour la M60). La gamme commence à 57 850€TTC en Europe.


04 Juin 2025 : Petit cours d’histoire obligatoire, avant la présentation de cette McLaren 750S le Mans. On est en 1995, et après la folie Peugeot 905, au début de la décennie, les constructeurs n’ont que peu d’intérêts pour les courses d’endurance. Porsche est encore présent avec des teams semi-officiels, mais ce sont surtout les teams privés qui font le gros du plateau. McLaren a alors une folle idée, en engageant sa terrible hypercar, lors de cette surprenante édition 1995. Il s’agit de la McLaren F1, sortie en 1993 et conçue par Gordon Murray. Elle était propulsée par le fabuleux V12 6.1L d’origine BMW, qui développait alors, 627ch et 651nm de couple. C’était la voiture la plus rapide du monde, avec une vitesse de pointe de 391km/h. Avec sa coque en fibre de carbone, le véhicule pesait 1140kg. La position centrale du pilote, améliorait la précision de conduite. Le véhicule se mit aux normes de la catégorie GT1, et a réussi à s’imposer dès sa première participation. L’équipage, Yanick Dalmas, Masanori Sekiya et JJ Lehto, a réussi à devancer le proto Courage C34, motorisé par Porsche. Trois autres McLaren F1, finissent respectivement 3ème, 4ème et 5ème. La firme anglaise présente donc cette 750S le Mans, qui fête les 30 ans de cette mémorable victoire. Elle sera produite à 50 exemplaires. Le bouclier, les extracteurs d’air au-dessus des ailes avant, la prise d’air sur le toit, et l’aileron fixe, font partie de ses spécificités. Et puis, il y a les jantes 5 branches, qui rappellent la F1 originelle. Son V8 4.0L Bi-Turbo crache toujours 750ch et 800nm de couple, permettant un 0 à 100km/h en 3.2s et une vitesse de pointe de 332km/h.


03 Juin 2025 : La gamme du constructeur premium français, DS, n’est peut-être pas, encore tout à fait complète. Néanmoins, la marque a le mérite, de ne pas faire d’économies, en ce qui concerne la finition. Une nouvelle série spéciale, est donc, toujours très intéressante. DS met à l’honneur, le célèbre écrivain Français, Jules Verne, qui nous a quitté il y a 120 ans. Ses œuvres les plus connus sont mis en avant, avec une DS 3, qui s’inspire de « Vingt milles lieues sous les mers », une DS N°4 qui se décline en une version « Tour du monde en 80 jours », une DS 7 qui prend pour thème « Cinq semaines en ballon », et pour la toute nouvelle berline haut de gamme DS N°8, la marque a choisi « De la terre à la lune ». Les spécifications de ces différents modèles, concernent les badges, les cache-moyeux, les seuils de porte, la teinte de la carrosserie, et l’habillage de la planche de bord et des contre-portes. On retrouve sur tous les modèles, différentes teintes de bleu, et du beige. On a affaire à des versions suréquipées, mais il est temps de découvrir les premières images.


02 Juin 2025 : En 2022, Toyota lançait son Aygo X. La mini-citadine se donnait alors, des petits airs de crossovers. La plupart des constructeurs, abandonne le segment A, ne le trouvant pas assez rentable. Pour des marques internationales, telle que Toyota, il en est hors de question, et cela vaut également pour Hyundai ou Kia. La marque nippone nous propose déjà un restylage de mi-carrière, mais surtout, une grosse remise à jour technique. Côté style, la face avant semble moins fun, avec une signature lumineuse plus classique, un nouveau capot, et un bouclier redessiné. On peut personnaliser son Aygo X, selon le degré de finition, avec un toit en toile, des jantes en 18 pouces, une teinte bi-ton, et des badges GR. Dans l’habitacle, la planche de bord est assez rigolote, avec toutes ses rondeurs, mais les plastiques semblent toujours aussi durs. De série, on profite d’une instrumentation numérique de 7 pouces, et d’un grand écran central tactile, avec les applications courantes. Le coffre cube lui, toujours 231 litres. Et pourtant, la motorisation est toute nouvelle pour cette mini-citadine de 3.78m. Reposant sur la plate-forme TNGA-B de la Yaris depuis 2022, elle pouvait en théorie accueillir la même motorisation hybride. C’est maintenant chose faite. Elle troque son petit 3 cylindres 1.0L de 72ch, pour le bloc 1.5 Hybride de 116ch. C’est une sacrée montée en gamme. Elle se met à l’abri d’un quelconque malus écologique, la puissance est largement majorée, et les consommations sont en baisse. Néanmoins, cela affecte largement le tarif d’entrée de gamme, qui devrait dépasser les 20 000€TTC en Europe. Certains clients pourraient alors hésiter, et opter pour la catégorie supérieure. Affaire à suivre.


31 Mai 2025 : Le modèle de série, n’a pas encore débarqué sur nos routes. Et pourtant, Opel nous dévoile un concept typé tout-terrain, du nouveau SUV compact, Frontera. Dans quelques semaines, on pourra sans doute apercevoir la nouvelle génération d’Opel Frontera, qui viendra épauler le Mokka et le Grandland. Ce petit SUV 7 places, se dote de la plate-forme Smart Car du groupe Stellantis. Cette dernière équipe le Citroën C3 et la Fiat Panda. Elle pourrait, en théorie, accueillir un petit moteur électrique sur son essieu arrière. Résultat, l’Opel Frontera pourrait se transformer en un véritable baroudeur. Reste à savoir, si ce serait un véhicule 100% électrique, ou mild-hybrid. En attendant, la marque au blitz, s’est associée aux petits préparateurs XS et Blackfish, qui nous ont pondues cet intéressant Opel Frontera Gravel. Une galerie de toit, des rampes lumineuses sur le capot moteur et cette même galerie, des boucliers avec skis, à l’avant et à l’arrière, des supports latéraux pour un panel d’accessoires, un treuil, une garde au sol majoré, et des jantes de 16 pouces, avec pneus tout-terrain BF Goodrich, ce look de franchisseur, donne envie. Opel ajoute des stickers, et des éléments de carrosserie orange ou noir mat. Sans être aussi radicale, cette Opel Frontera Gravel pourrait voir le jour, et venir chatouiller ses cousines Jeep Avenger ou Alfa-Roméo Junior, qui disposent déjà de la transmission intégrale.


30 Mai 2025 : BMW nous présente officiellement sa M2 CS, à l’occasion du concours d’élégance de la Villa d’Este. C’est peut-être, le modèle le plus intéressant de la gamme à l’hélice. Par rapport à la M2, cette version CS s’allège de 30kg, grâce à plusieurs éléments de carrosserie en polymère de carbone. Les sièges baquets en carbone, participe également à cet allègement, tout comme la ligne d’échappement, en titane. Attention, l’engin pèse tout de même 1775kg, mais ça paraît presque raisonnable aujourd’hui. Contrairement à la M4 Compétion, cette M2 CS reste une pure propulsion. Elle est donc plus légère que sa grande sœur, et profite de la même motorisation. Le 6 cylindres 3.0L Bi-Turbo gagne donc 50ch par rapport à une M2 classique, en passant de 480 à 530ch, pour un couple de 650nm. La BMW M2 CS ne sera disponible, qu’avec la boîte Steptronic à 8 rapports. Les chronos progressent logiquement, avec un 0 à 100km/h effectué en 3.8s (-0.2s), et un 0 à 200, en 11.7s (-1.2s). La vitesse maxi est bridée à 302km/h. Il est assez simple de reconnaître cette version CS. Le becquet arrière en queue de canard saute aux yeux, mais on dispose aussi, d’un bouclier et d’une grille de calandre, spécifiques. On peut opter pour des jantes en alu forgé, couleur bronze, et un système de freinage en carbone céramique. BMW a abaissé la caisse de 8mm, a modifié les réglages de la suspension pilotée et de la direction. On aurait pu gagner quelques kilos supplémentaires sur la balance, mais la marque à l’hélice a préféré garder tous les équipements de confort, comme la banquette arrière, le système audio Harman Kardon, l’affichage tête-haute, et autres coquetteries. Le carbone est omniprésent dans l’habitacle. Avec un tarif de 119 900€TTC (hors options et hors malus écologique de 70 000€), elle est 30 000€ plus chère que la M2 classique.


29 Mai 2025 : Pour survivre, Alpine se devait d’élargir sa gamme. La berlinette A110 lancée en 2017, marquait la renaissance du petit constructeur. L’année dernière, Alpine a boosté la petite Renault 5 Electric, en sortant son A290. La firme de Dieppe, enchaîne en 2025, avec l’A390. Selon Alpine, il s’agit bien d’une berline surélevée, à l’instar d’une Peugeot 408, et non d’un SUV. Pour nous, il s’agira plutôt d’un crossover dynamique. Ce véhicule reprend la plate-forme AmpR Medium, de sa cousine, Renault Scenic E-Tech. Cela n’annonce rien de bon côté poids, mais les ingénieurs se sont employés à abaisser le centre de gravité. Effectivement, avec son style de coupé 4 portes, la garde au toit est de seulement 1.53m. Cette Alpine A390 est bien campée sur ses grandes jantes de 20 ou 21 pouces, selon la version choisie. On vous laisse juge du design général de l’engin. Absence de calandre, signature lumineuse traversante, des LED incrustés dans le bouclier, un discret bloc phare en partie basse, un capot creusé avec arête central, un profil racé, une lunette arrière qui se termine par un becquet et une élégante signature lumineuse arrière avec l’inscription Alpine, l’A390 ne s’en sort pas trop mal. Elle peut accueillir 5 passagers, mais il faut savoir que l’empattement (2.71m) a été raccourci de 7cm par rapport au Scenic. Le coffre lui, propose une capacité de chargement très confortable, de 532 litres. Pas de soucis sur ce point, on a affaire à une vraie familiale. La planche de bord en L, rappelle les dernières productions Renault. Néanmoins, l’instrumentation disposera d’un graphisme spécifique, et le système multimédia développé par Google, est toujours, très appréciable. Les boutons DNR pour la commande de boîte, les petites touches de carbone, le cuir, l’alcantara, les nombreuses surpiqûres, la présentation est définitivement très soignée. On note aussi, la présence de ce volant Alpine, avec molettes, pour les modes de conduite et la récupération d’énergie (RCH), ainsi que la touche OV, pour l’overboost. Justement, côté technique, l’A390 se dote d’un moteur électrique sur le train avant, et de deux blocs supplémentaires, sur l’essieu arrière. Cela permet de disposer de la transmission intégrale, mais également de la fonction Torque Vectoring, avec une gestion du couple indépendante sur les deux roues arrière. Alpine propose une version GT développant 400ch et 650nm, déjà excitante, avec son 0 à 100km/h avalé en 4.8s. Mais on peut opter pour une version GTS de 470ch et 808nm de couple, permettant un 0 à 100, en 3.9s. La batterie NMC d’origine Verkor, de 89kWh, promet une autonomie respective de 555 ou 520km. Elle encaisse une charge de 11kW, 22kW, ou 190kW sur borne rapide. Moteur fabriqué à Cléon, batterie produite à Dunkerque, système audio Devialet, pneumatique Michelin, et véhicule assemblé à Dieppe, on ne peut pas faire plus français que cette Alpine A390. Les tarifs de ce beau bébé de 2121kg, seront compris entre 65 000 et 76 000€TTC.  


28 Mai 2025 : Comme chaque année, BMW profite du concours d’élégance de la Villa d’Este, pour présenter quelques modèles très exclusifs. On rappelle que la marque à l’hélice, est le partenaire officiel de ce concours. En 2024, BMW proposait à sa clientèle la plus fidèle et la plus argentée, la Skytop Concept, une décapotable très luxueuse, reprenant la base technique de la BMW Série 8. Le constructeur allemand a bien voulu fabriquer 50 exemplaires. Rebelote en 2025, avec la Speedtop, qui se présente elle, comme une GT bi-place, type break de chasse. Comme pour le prestigieux concours, c’est le mot élégance qui rime le mieux, concernant cette Speedtop. Aucune excentricité au niveau de sa ligne, son design fluide, sa calandre qui pointe vers l’avant, son regard perçant, son capot creusé avec extracteur, l’arête centrale qui habille ce dernier et une partie du toit, on ne peut qu’admirer le travail. Les ailes arrière très larges, la lunette particulièrement inclinée, le hayon sculpté, et la double canule d’échappement, tout est également parfait, au niveau de la poupe. Attention, ce style racé a évidemment quelques inconvénients. Le coffre ne semble pas disposer d’une grande capacité de chargement, et aux places arrière, la Speedtop remplace la banquette, par deux espaces de rangement. Justement, le fabricant italien Schedoni, s’est chargé de concevoir et produire pour l’occasion, une ligne de sacs. La BMW Speedtop reprend la planche de bord de la Série 8, mais comme on s’en doutait, l’habitacle profite d’une finition, qui sent bon le cuir. Les performances seront assurées par le bloc moteur V8 4.4L Bi-Turbo 625ch, de la M8. Dépêchez-vous, la marque mettra prochainement, 70 exemplaires en production. 


27 Mai 2025 : Qu’il est dur de faire une croix, sur un glorieux passé automobile. Alpina, la célèbre firme créée par Burkard Bovensiepen en 1965, passera définitivement, sous le contrôle de BMW, en 2026. Alpina prépare des BMW depuis des décennies, et ont décidé de s’associer en 2022. A partir de 2026, Alpina deviendra donc, une filiale de luxe, dont on ne connaît pas encore la mission exacte, dans le groupe allemand. Les fils Bovensiepen, Andreas et Florian, se lancent dans un autre projet, en créant leur propre marque. Elle se nomme, tout naturellement, Bovensiepen. On vous présente son premier modèle, sur base de BMW M4. Le véhicule a été totalement recarrossé par Zagato. On remarque la signature du studio de design, avec le double bossage au niveau du toit. La face avant est méconnaissable, le profil a été affiné, et la poupe fait penser à une BMW Série 8. Bovensiepen a travaillé sur les trains roulants, en partenariat avec Bilstein. Le bloc moteur 6 cylindres 3.0L Bi-Turbo, est plus véloce, puisqu’il développe 610ch et un couple de 700nm. La sonorité moteur, est assurée par une ligne d’échappement, signée Akrapovic. Cela promet un 0 à 100km/h en 3.3s, et une vitesse maxi de 300km/h en toute décontraction. La planche de bord est celle de la M4, mais côté finition, on est dans un autre monde. Qualité des matériaux exceptionnelle, cuir pleine fleur recouvrant une grande partie de l’habitacle, assemblage parfait, vous pourrez évidemment choisir votre teinte préférée. Cette Bovensiepen, fera ses grands débuts, au concours d’élégance de la Villa d’Este.