Actualités Auto/Moto
04 Juillet 2025 : La Porsche 911 Type 992 est toujours aussi pimpante, mais cette sportive de légende évolue constamment. Après la sortie du modèle full hybride GTS en 2024, la marque nous propose une mise à jour de la gamme 4S, en version Coupé, Cabriolet et Targa. Les clients Porsche, optent de plus en plus, pour ces modèles à 4 roues motrices. De série, le client disposera des feux matriciels LED, du chargeur de smartphone par induction, des rétroviseurs rabattables électriquement, de nouvelles jantes en 20 pouces à l’avant, et 21 pouces à l’arrière, du Porsche Torque Vectoring pour la répartition de la puissance sur les quatre roues, et d’un échappement Sport. On est toujours content de ne pas passer par la case option, chez le constructeur de Stuggart. Les Porsche 911 4S, s’équipent du même système de freinage que la GTS, avec des étriers rouges, et des disques de 408mm (av) et 380mm (ar). La plus grosse modification nous vient du bloc moteur. Grâce à un meilleur refroidissement de l’air de suralimentation, le Flat 6 3.0L Bi-Turbo gagne 30ch, en passant de 450ch à 480ch. Ca pousse donc très fort, avec un 0 à 100km/h effectué en 3.3s, et une vitesse de pointe de 308km/h. Petit bonus pour la Targa 4S, qui profite de série, des 4 roues directrices.








03 Juillet 2025 : On ne comprend pas vraiment, la stratégie de Mitsubishi en Europe. Le constructeur nippon souhaite étoffer sa gamme au plus vite. Son partenariat avec la marque Renault, est une aubaine. Après l’ASX, véritable clone du Renault Captur, et la Colt, un copier/coller de la Clio, Mitsubishi enchaine avec ce Grandis. Ancien monospace de la marque dans les années 2000, ce nouveau Mitsubishi Grandis est à présent un SUV compact du segment C. Il s’agit bien évidemment, d’un Renault Symbioz déguisé. La marque aux diamants, a fait évoluer la face avant, avec un bouclier et une calandre, totalement redessinés, sur fond noir. La signature lumineuse et le bloc phare principal, sont inchangés. De profil, Mitsubishi proposera des jantes spécifiques allant de 17 à 19 pouces. Au niveau de la poupe, le Grandis se distingue un peu plus, avec un hayon remanié, qui accueille des feux plus volumineux. Pas de surprise dans l’habitacle, avec une planche de bord identique à la française. La commande de boîte change, mais on la remarque à peine. Le Grandis garde tous les aspects pratiques du Symbioz, avec une habitabilité correcte, une capacité de chargement généreuse, une modularité intéressante, et un système d’info-divertissement assuré par Google. Sous le capot moteur, il aura droit à des motorisations modernes, avec l’inédit bloc 1.3TCE Mild-Hybrid de 140ch, et le nouveau bloc Full Hybrid 1.8L de 160ch, développé conjointement entre les deux marques. Légèrement plus cher que le Symbioz, ce Mitsubishi Grandis offre néanmoins, une garantie plus intéressante, de 5ans et 100 000km, ou de 8 ans et 160 000km. Cela diffère de la garantie minime de 2 ans, du constructeur français.







02 Juillet 2025 : La Ferrari Roma, apparue en 2019, n’est plus. Elle cède sa place à l’Amalfi, qui n’est qu’une évolution de la Roma. Elle tire son nom, de la cité côtière du golfe de Salerne. Ce n’est clairement pas un nouveau modèle, puisque cette Ferrari Amalfi, reprend le châssis, les dimensions, et la mécanique, de la très élégante Roma. Les designers ont tenté de faire évoluer son style, et la mission a apparemment été compliquée. On note la disparition de la petite calandre, qui faisait partie du charme de la Roma. Cette face avant est épurée mais également moins expressive, avec un bloc phare très discret. A l’arrière, la plaque a migré sur le bouclier. La partie tôlée plus importante, alourdit quelque peu la ligne. Le diffuseur n’est pas très bien intégré. On remarque également, un pli de carrosserie étrange sur les portières. Ferrari annonce que le nouvel aileron, offre 15kg d’appui supplémentaire, à 250km/h. Dans l’habitacle, c’est à peu près la même chose. La planche de bord de la Roma, toute en rondeur, avec une parfaite intégration des écrans, laisse place à des gros blocs d’instrumentation avec aérateurs latéraux, aussi bien pour le conducteur, que le passager. L’écran central vertical de la Roma, est remplacé par une interface horizontale, positionnée très bas. Cette GT 2+2, privilégie avant tout, les passagers avant. Les sièges « Confort », sont ventilés, chauffants, et massants. Côté mécanique, on a droit à des arbres à cames allégés et une suralimentation optimisée. Résultat, le V8 3.9L Bi-Turbo, développe à présent 640ch (+20ch). Toute cette puissance, est toujours délivrée aux roues arrière, via une boîte de vitesse à double embrayage et 8 rapports. Bonne nouvelle, malgré les nombreuses modifications, le véhicule annonce un poids en baisse de 2kg, avec une masse totale de 1470kg. Le 0 à 100km/h est effectué en 3.3s (-0.1s), et le 0 à 200km/h en 9.0s (-0.3s). Une version découvrable Spider, sera dévoilée dans quelques semaines.














01 Juillet 2025 : En 2026, on fêtera les 50 ans, de la première génération de Golf GTi. La compacte familiale est sortie en 1974, mais c’est seulement en 1976, qu’elle s’est faite une réputation, avec son logo GTi. Volkswagen nous propose bien évidemment, une série limitée Edition 50, dont la production commencera en fin d’année, avec des livraisons prévues, au début de l’année prochaine. La marque allemande fait toujours confiance à son bloc 2.0TSi, qui développe 325ch et 420nm de couple. C’est 25ch et 20nm, de plus, que la GTi Clubsport. Sur le Nurburgring, cette Volkswagen Golf GTi Edition 50, a déjà fait parler la poudre, avec un chrono de 7mn46s125. Pour atteindre ce niveau de performances, il faut justement opter pour le pack Performance, qui comprend un amortissement plus ferme, une caisse rabaissée, un carrossage spécifique, des jantes allégées Warmenau de 19 pouces, des pneus semi-slicks Bridgestone, et une ligne d’échappement en titane, signée Akrapovic. Cet attirail semble intéressant, mais le confort devrait en pâtir. Elle est plus rapide que la Golf R (7mn53s219), équipé du bloc 2.0TSi de 333ch et de la transmission intégrale. La Golf GTi Edition 50, abat le 0 à 100km/h en 5.5s, et croise à 270km/h. Côté look, le logo « GTI 50 » prend place, sur le volant, les seuils de portes ou le becquet arrière. Volkswagen propose cinq teintes de carrosserie, le toit et les rétroviseurs noirs, sont de série, tout comme le bandeau lumineux da la face avant. Dans l’habitacle, on note la présence de ces sièges sport semi-baquets, de teinte grise, avec carreaux et bandes multicolores.











30 Juin 2025 : Ce véhicule ne posera évidemment pas ses roues sur le vieux continent. Ce n’est pas une raison pour l’ignorer. Afin de combler les clients du Moyen-Orient, Nissan a décidé de proposer ce Patrol Nismo, aussi puissant, qu’expressif. Sa robe est spécifique, avec une calandre redimensionnée afin de refroidir le cœur de la bête, un package aérodynamique permettant d’abaisser la température du système de freinage, de nombreux inserts rouges, un diffuseur arrière, un toit contrasté, et des jantes de 22 pouces allégées de 23%. Même topo dans l’habitacle, avec une sellerie cuir et suédine, matelassée, des touches de rouge, un volant sport avec point-milieu, et toutes les technologies qui vont bien. Mais, le plus important, c’est ce qui se passe sous le capot avant. Le bloc V6 3.5L Bi-Turbo Nissan, a été boosté, et développe 502ch et 700nm de couple. Ce Nissan Patrol Nismo dispose d’une ligne d’échappement sport, mais la marque ajoute un amplificateur de son à bord, pour parfaire l’ambiance. La boîte de vitesse à neuf rapports, dispose de palettes au volant. Ce pachyderme à 4 roues motrices, fait appel à une suspension pilotée ultra-réactive, censée réduire les mouvements de caisse. Nissan assure qu’il sera aussi à l’aise sur la route, que dans les dunes. Ce véhicule sera disponible dès le mois de juillet, en Arabie Saoudite et dans les Emirats Arabes Unis.








29 Juin 2025 : Lancia tente de ressusciter en Europe. Ce ne sera pas le cas à la Réunion, puisque aucun concessionnaire n’a pris la carte pour le moment. La nouvelle Lancia Ypsilon a débarqué sur les routes du vieux continent, il y a quelques mois. Elle était disponible en version 1.2MHEV 48V, ou avec une motorisation 100% électrique de 156ch, et batterie de 54kWh. Le constructeur annonce l’arrivée d’une finition HF Line. Par rapport aux finitions, classique et LX, elle ajoute les boucliers spécifiques HF, des contre-portes Bleu Racing, des jantes en 17 pouces, et des inserts HF. L’Ypsilon HF Line, sera disponible à 27 800€ avec le bloc Mild-Hybrid de 110ch, et à 37 800€, avec le bloc full électrique de 156ch. Mais si votre portefeuille le permet, vous pouvez choisir la véritable Lancia Ypsilon HF, qui se dote elle, d’un moteur électrique de 280ch. On dispose des mêmes caractéristiques techniques que sa cousine, Peugeot e208 GTi. Elle développe 280ch, se dote d’un différentiel avant Torsen, d’un système de freinage Alcon, d’un kit carrosserie HF, de jantes en 18 pouces, et de sièges sport avec sellerie bleu Racing. Avec 280ch et 345nm de couple, cette citadine de 1.6 tonnes, abat le 0 à 100km/h en 5.6s et croise à 180km/h (autolimitée). Elle est plus large de 2cm, et la caisse est également moins haute de 2cm. Cette Lancia Ypsilon HF Perfor 280ch 54kWh, est disponible à partir de 42 400€.









27 Juin 2025 : Le Nissan Qashqai, pionnier des SUV compact, a perdu un peu de sa superbe au fil des années. Néanmoins, il reste une des références du marché, et la dernière génération profite de la très agréable motorisation e-Power. C’est cette version qui fait le gros des ventes. Ce bloc full hybride, propose une cinématique de fonctionnement très originale. On a droit à un gros moteur électrique, en charge de tracter le véhicule. Le moteur thermique, a pour mission de recharger la petite batterie de 1.97kWh, ou d’alimenter directement le moteur électrique, via un onduleur. Ce moteur thermique ne s’accouple donc, jamais aux roues. Résultat, malgré le fait d’être un véhicule hybride, à la conduite, on a toujours l’impression de conduire un véhicule électrique. Le Nissan Qashqai e-Power, connaît une évolution en 2025. Le constructeur nippon fait évoluer son 3 cylindres 1.5L Turbo de 158ch. Il profite d’un nouveau collecteur d’admission, d’une chambre de combustion et de pistons modifiés, et d’un plus gros turbo. Nissan a également réduit les frottements grâce à une nouvelle huile moteur. Le rendement thermique est largement amélioré. Le moteur électrique passe lui, de 190 à 205ch (couple de 330nm). La bonne nouvelle, c’est évidemment la consommation mixte, qui passe de 5.1L à 4.5L, selon le cycle WLTP. On peut en théorie, parcourir près de 1200km, d’une seule traite. Les rejets de CO2 sont de 102g/km (-14g/km). Déjà très silencieux à la base, ce Qashqai améliore encore l’insonorisation, avec une meilleure isolation de l’habitacle, et un système de réduction du bruit actif, via les haut-parleurs.



26 Juin 2025 : Mercedes prépare activement son avenir électrique. Même si le constructeur proposera encore des véhicules thermiques ou hybrides rechargeables dans les années qui viennent, de nombreux ingénieurs se concentrent sur les nouvelles technologies 100% électriques, à hautes performances. On vous présente donc ce concept AMG GT XX, qui remplacera à moyen terme, la grosse berline AMG GT 4 portes, actuellement au catalogue. Ce futur modèle, est plutôt radical dans sa conception, avec l’adoption d’une toute nouvelle plate-forme (AMG.EA) qui intègre la batterie, un système aérodynamique actif, un style très racé, et un habitacle ultra-sportif. Cette face avant néo-rétro, se pare d’une calandre grillagée éclairée, d’un bloc phare principal type Maserati sur les ailes avant, et d’un capot avant avec extracteurs d’air. Cette Mercedes AMG GT XX dispose de différents volets actifs, au niveau du bouclier et du diffuseur, et les soubassements sont entièrement carénés. Les jantes aérodynamiques disposent également de volets actifs. Pas de lunette arrière sur cette berline sportive, on note au niveau de la poupe, un éclairage à trois cercles lumineux, et ce bandeau noir avec panneaux lumineux. Dans l’habitacle, on a droit à un univers assez dépouillé, avec volant type Formule 1, une instrumentation 10.2 pouces, accolée à un écran central de 14 pouces, et un éclairage d’ambiance spécifique. Mercedes utilisera un maximum de matériaux recyclés à bord, sans toucher à la qualité perçue. La marque à l’étoile dévoile quelques données techniques. Ce monstre s’équipera d’une triple motorisation électrique de 1360ch, avec des blocs de nouvelle génération à flux axial, plus performants et moins volumineux. Les deux moteurs arrière, propulsent en permanence, alors que l’unité avant, rentrera en action, selon les besoins. On ne connaît pas encore la capacité de la batterie, mais elle sera de type NMCA (nickel, manganèse, cobalt et aluminium), avec anode en silicium. Elle pourrait récupérer 400km d’autonomie, en à peine 5 minutes.









25 Juin 2025 : On pensait que cet énorme SUV électrique, resterait cantonner aux marchés américains et asiatiques. Finalement, Hyundai importera son Ioniq 9 en Europe, notamment en France. Les volumes de ventes ne seront pas impressionnants sur le vieux continent, et c’est un peu normal, quand on analyse les dimensions de ce beau bébé. Reposant sur la plate-forme E-GMP, qu’elle partage avec son cousin Kia EV9, ce Hyundai Ioniq 9, mesure 5.06m de long, 1.98m de large, 1.79m de haut, pour un poids à vide, de 2549kg. Son empattement gigantesque de 3.13m, permettra d’accueillir confortablement, 6 ou 7 passagers. La capacité de chargement varie de 620 à 1320 litres, bref, un vrai déménageur. Le client pourra choisir la version d’entrée de gamme, propulsion, de 218ch, associée à la seule batterie disponible, de 110.3kWh. L’autonomie annoncée est alors de 620km. Il faut savoir que cette batterie encaisse une charge de 11kW en AC, et 350kW en DC. Hyundai proposera également deux versions à transmission intégrale (double motorisation), de 307ch ou 428ch. La liste des équipements, est archi-complète de série (Finition Creative), mais si vous optez pour la finition Executive ou Callygraphy, le constructeur coréen, ajoutera par exemple, un affichage tête-haute 12 pouces, une sellerie full cuir, des sièges ventilés au rang 1 et 2, le rétroviseur intérieur caméra, les jantes en 20 pouces ou 21 pouces, le toit ouvrant panoramique, le stationnement semi-autonome à distance, ou les rétro-caméras latéraux sur écran de 7 pouces. En France Métropolitaine, les tarifs iront de 69 900€ à 86 900€.











24 Juin 2025 : Il y a quelques semaines, BMW annonçait les premiers tests, d’une i7, équipée d’une batterie solide. La marque allemande mise sur une commercialisation d’un modèle de série, à l’horizon 2030. Bien évidemment, les Chinois souhaitent accélérer le mouvement, et mettre une fois de plus KO, les constructeurs occidentaux. C’est BYD qui tire le premier. On sait qu’il travaille sur cette technologie depuis un long moment, grâce à une armada d’ingénieurs (plus 100 000 personnes bossent sur le projet). Les résultats sont apparemment très intéressants, même si la marque ne confirme pas les chiffres annoncés. Cette batterie solide, d’une capacité de 400kWh, proposerait une autonomie de 1875km selon le cycle CLTC, et pourrait récupérer en 12mn, une charge permettant de parcourir 1500km. La batterie solide a de nombreux avantages, par rapport aux batteries actuelles, à électrolyte liquide. Pas de produits inflammables, une meilleure densité énergétique, une puissance de charge plus intéressante, BYD semble une fois de plus, avoir un coup d’avance par rapport à la concurrence. Elle a déjà installé une unité dans sa berline dynamique Seal. Le constructeur souhaite parfaire la fiabilité, après avoir détecté quelques courts-circuits, à cause de la formation de dentrites (petites projections de métal). La batterie pourrait développer jusqu’à 500kWh, mais BYD a décidé de brider son système, pour des raisons de fiabilité. Selon le constructeur, un véhicule de série, pourrait débarquer sur les routes dès 2027. L’objectif sera par la suite, d’abaisser les coûts de production, en améliorant les process de fabrication, entre 2027 et 2030. Connaissant la détermination chinoise, on peut s’attendre à quelques surprises, niveau date.




23 Juin 2025 : Quand il s’agit de choisir un véhicule électrifié, la clientèle européenne hésite encore entre les modèles hybrides rechargeables ou 100% électriques. Ca tombe bien pour la marque BYD, qui dispose déjà d’une gamme de véhicules 100% électriques, très intéressante, mais qui développe également sa technologie hybride rechargeable. Nous avons essayé il y a quelques mois, le gros SUV, Seal U DM-i. Un deuxième modèle PHEV fait son entrée sur le marché européen, il s’agit de la Seal 5 DM-i. Pour le moment, elle est disponible à la vente, en Pologne et en Slovaquie, mais pourrait arriver très rapidement en Europe de l’Ouest. Ultra-classique au niveau de son style, cette berline tricorps de 4.78m de long, mise sur ses aspects pratiques. Par certains côtés, elle fait penser à la très populaire Skoda Octavia. Son empattement de 2.72m, assure une habitabilité confortable aux places arrière, et son coffre de 508 litres pourrait séduire une clientèle professionnelle, comme les taxis ou VTC. Jolie instrumentation numérique devant le conducteur, écran central tactile de 12.8 pouces qui pivote sur 90%, toutes les aides à la conduite à disposition, équipements généreux, et matériaux de qualité à première vue, cette BYD Seal 5 DM-i semble agréable à vivre. Sous son capot, le constructeur chinois la dote d’un 4 cylindre 1.5L de 100ch, d’un bloc électrique de 161ch, et d’une batterie rechargeable de 7.7, ou 15.8kWh. La puissance cumulée de 212ch, permet un 0 à 100km/h en 7.5s, et une vitesse de pointe bridée à 180km/h. Avec sa batterie la plus imposante, elle annonce une autonomie de 100km, en mode électrique. Grâce à son gros bac à essence de 65 litres, elle peut parcourir d’une seule traite, près de 1050km. La puissance de charge de la batterie, est de 6.6kW. Dans les pays de l’Est, elle est disponible à la vente, à des tarifs compris entre 30 000 et 34 000€.








22 Juin 2025 : La Volkswagen Polo a 50 ans. La fourmi est encore aujourd’hui, une référence du marché des citadines compactes. Néanmoins, elle n’est plus aussi populaire qu’à une époque, avec une montée en gamme ces 15 dernières années, et une concurrence beaucoup mieux organisée. En 2026, elle sera secondée par l’ID2, une citadine électrique annoncée de longues dates. Avec un peu de chance, elle pourrait adopter le patronyme de Polo. En attendant, Volkswagen nous propose cette finition « Edition 50 ». Elle se dote de quelques éléments spécifiques, avec des inscriptions 50, sur les seuils de porte, les montants extérieurs, la planche de bord, et le volant. De série, elle propose de superbes jantes Coventry en 16 pouces, ou Tortosa de 17 pouces, en option. Instrumentation et écran central tactile de 8 pouces, caméra de recul, chargeur par induction, pédalier en inox, stationnement semi-autonome, aide au changement de voie, vitres arrière surteintées, l’équipement de série est plutôt généreux. Côté motorisation, cette Volkswagen Polo Edition 50, ne sera disponible, qu’avec le sage 1.0TSi de 95ch, automatiquement associé à la boîte DSG7. Son tarif débute à 27 720€ en France. Selon le constructeur, cette version très bien équipée, permet de faire 2000€ d’économie par rapport à la finition Style, dotée des mêmes équipements.






20 Juin 2025 : Le groupe russe Avtovaz, est assez discret depuis 2022, après le déclenchement de la guerre en Ukraine. Maison mère de la marque Lada, elle a été nationalisée la même année, après le retrait de son actionnaire principal, le groupe Renault-Nissan. En 2025, Lada nous propose néanmoins, ce nouveau modèle, prénommé Azimut. On ne sait pas vraiment sur quelle base technique elle repose. On rappelle que la marque coopérait très étroitement avec Renault et Dacia, à l’époque. Ce Lada Azimut est en tout cas un SUV, d’apparence moderne. On remarque le style très musculeux au niveau des ailes avant et arrière. La face avant très carrée, se pare d’une grosse signature lumineuse en C, la garde au sol est généreuse (20.8cm), on dispose de jantes en 18 pouces, et la poupe est assez élégante, avec un éclairage stylé à bandeau lumineux. Dans l’habitacle, on découvre une planche de bord, tout aussi moderne, avec une grande instrumentation numérique, un volant deux branches, de nombreux inserts en plastique type alu, des commandes physiques pour la climatisation, et un écran central tactile de 10 pouces, avec une interface développée par Sber, le géant local de la « Tech ». Sous le capot, c’est du classique, avec deux blocs atmosphériques de 1.6L et 1.8L, développant respectivement, 120ch et 132ch. Ils sont associés à une boîte manuelle à 6 rapports ou une unité automatique type CVT. La version haut de gamme, se dote d’un bloc 1.5 Turbo de 150ch et d’une boîte automatique à convertisseur. Dommage, cet Azimut ne proposera pas de transmission intégrale, un équipement souvent indispensable en Russie, surtout en hiver.



19 Juin 2025 : Corvette hausse encore son niveau de jeu, avec l’arrivée de cette version ZR1X. On avait déjà droit à la version E-Ray, doté d’un V8 atmosphérique et d’un bloc électrique sur le train avant. C’était la première Corvette Hybride, et à transmission intégrale. Corvette a ensuite présenté une ZR1, beaucoup pus traditionnelle, équipée d’un gros V8 Bi-Turbo de 1079ch, en mode propulsion. Le constructeur américain a décidé de combiner les atouts de ces deux modèles, pour créer la ZR1X. Elle est donc équipée du gros bloc turbocompressé à l’arrière, et du moteur électrique de 189ch, toujours accolé au train avant. Résultat, on dispose sous le pied droit, de 1267ch, et d’un couple titanesque de 1123nm. Le véhicule peut se déplacer en mode zéro émission, pendant 6km, grâce à la batterie de 1.9kWh. Néanmoins, on se retrouve dans une supercar full hybride 4WD, qui privilégie avant tout, les performances. Et ça envoie du lourd, avec un 0 à 100km/h avalé en 2.0s, et un 400mDA expédié en 9.0s. Pour coller ce monstre au sol, on dispose de la suspension pilotée Magnetic Ride, de pneus Michelin Pilot Sport 4S, et d’un kit aérodynamique offrant jusqu’à 544kg d’appui. Un système de freinage carbone céramique avec étrier 10 pistons à l’avant et 6 pistons à l’arrière, est également de la partie. Cette Corvette ZR1X, arrivera dans les concessions américaines, à la fin de l’année.









18 Juin 2025 : Nissan est en grande difficulté financière, mais la présentation de la troisième génération de Leaf, devrait redonner le moral à toutes les équipes. On rappelle que la Leaf, sortie en 2010, fut pendant un long moment, le véhicule électrique le plus vendu au monde, avec près de 700 000 exemplaires écoulés, grâce aux deux premières moutures. Ce nouveau modèle change du tout au tout, puisque la Leaf n’est plus une berline compacte, mais un crossover du segment C. La Leaf a toujours misé, sur son habitabilité, son équipement, et ses tarifs assez serrés. Cette Nissan Leaf 2026, semble par contre, monter en gamme. Le véhicule est plus court de 14 centimètres par rapport à la génération précédente, avec ses 4.35m, mais cela n’affectera pas l’habitabilité, ni la capacité de chargement (437 litres), selon les premières données techniques. Le coefficient de pénétration dans l’air progresse, en passant de 0.28 à 0.25, ce qui est également un bon point. Le style est épuré, avec une calandre couleur carrosserie, une signature lumineuse élégante, un profil de coupé, et un hayon massif, avec un éclairage sur fond noir. Reposant sur la plate-forme du Renault Scenic E-Tech et de son grand frère, le Nissan Ariya, cette Leaf profite des mêmes technologies. Nissan propose une double dalle numérique de 12.3 pouces, ou de 14.3 pouces sur la version haut de gamme. Comme chez Renault, l’interface est signée Google. On peut disposer d’un système de vision panoramique 3D à 8 caméras, avec fonction capot invisible, lors des manœuvres. On peut aussi opter pour un toit panoramique opacifiant en plusieurs parties, type Solarbay. Toutes ces technologies, font craindre le pire côté tarif. On peut être sûr, que cette Nissan Leaf III, ne sera plus le véhicule électrique, le plus populaire au monde. Côté mécanique, on peut choisir la version de 177ch, avec batterie de 52kWh (436km d’autonomie), capable d’encaisser une charge de 105kW. Le modèle haut de gamme, dispose d’un moteur électrique de 217ch, avec batterie de 75kWh (604km), capable d’encaisser une charge de 150kW. Si la vitesse maxi est bridée à 160km/h dans les deux cas, les performances d’accélération sont très convaincantes, avec un 0 à 100km/h effectué respectivement, en 8.6s ou 7.6s. La Leaf disposera des fonctions V2L et V2G, permettant d’alimenter des appareils électriques, ou de renvoyer de l’énergie, sur le réseau électrique. Fabriquée en Angleterre, dans l’usine Nissan de Sunderland, elle devrait débarquer sur les routes, à la fin du premier trimestre 2026.











17 Juin 2025 : Audi renouvelle une des stars de sa gamme. Dans les années 90 et 2000, c’est l’Audi A3 qui faisait le gros des ventes de la firme aux anneaux. Il semble à présent que ce soit le Q3, qui est pris l’ascendant. Le succès de ce SUV compact, est capital pour le constructeur allemand. L’Audi Q3 de troisième génération, se dévoile enfin. Elle repose sur la plate-forme MQB Evo, qu’elle partage notamment, avec le Volkswagen Tiguan. Audi ne communique pas sur la longueur et l’empattement de ce Q3, mais on sait qu’il accueillera des motorisations MHEV 48V, et une version hybride rechargeable. On aura droit à un 1.5TFSi et un 2.0TDi, micro-hybrides, développant 150ch. Pour ce début de carrière, Audi proposera d’entrée de jeu, une version hybride rechargeable, qui combine le bloc 1.5TFSi, un moteur électrique de 116ch, et une énorme batterie de 25.7kWh. Cela offre une puissance combinée de 272ch et une autonomie full électrique de 120km. Justement, la capacité de chargement est annoncée en baisse, avec un coffre qui passe de 530 à 488 litres. Heureusement, la banquette coulissante, avec dossier réglable, permet de disposer de 575 litres, quand ils sont avancés au maximum. Aux places avant, on retrouve l’agencement des nouvelles productions Audi, avec une double dalle numérique, très, et peut-être même, trop imposante. Les nouvelles technologies vont de pair, avec une mémorisation des 50 derniers mètres, permettant une marche arrière automatique, à l’image de BMW. La conduite semi-autonome de niveau 2 a été améliorée, et le système multimédia Androïd Automotive fait appel à l’IA. La commande de boîte migre à gauche du volant. Du coup, la manette de droite accueille de concert, les commandes d’essuie-glace, de clignotants, et des feux. A voir côté ergonomie. Le design de cette troisième génération, semble massif, avec plus de rondeurs par rapport à la génération précédente. La calandre proéminente, entourée d’un gros élément couleur carrosserie, lui procure une sacrée agressivité. Bien évidemment, Audi a travaillé l’éclairage, avec les nouveaux feux diurnes en partie haute, et un bloc phare principal dans le bouclier, équipé de projecteurs matriciels, avec 25 600 micro-LED. A l’arrière, on a également droit à un éclairage à double étage, avec une signature lumineuse paramétrable, soulignée par un bandeau, et logo éclairé en option.












16 Juin 2025 : Il n’y avait pas que de la Formule 1 ce week-end. Si Georges Russel a remporté brillamment le grand-prix du Canada, les passionnés de sport mécanique, ont pu également suivre, la mythique course des 24 Heures du Mans. Si les Cadillac ont fait exploser les chronos en qualifications, ce sont bien les Ferrari qui étaient les plus rapides ce week-end. La Porsche Penske n°6, a surpris son monde, en faisant une remontée spectaculaire jusqu’à la seconde place, mais c’est finalement une Ferrari qui s’impose. Etonnament, il ne s’agit pas d’une Ferrari rouge, mais d’une jaune, de l’équipe AF Corse. Robert Kubica, Yifei Ye, et l’anglais Philip Hanson, remportent cette édition avec brio. Le polonais Robert Kubica, anicen pilote de formule 1, remporte pour la première fois cette course. Pour YiFei Ye, il s’agit du premier chinois à s’imposer dans la Sarthe. Les deux Ferrari officielles, finissent ces 24 Heures, à la troisième et quatrième place. La Cadillac n°12, réussit à terminer cinquième, juste devant la Toyota du Gazoo Racing, qui manquait clairement de rythme. C’est encore pire pour les équipes françaises, Alpine et Peugeot. Les deux Alpine, terminent 10ème et 11ème, juste devant, la Peugeot n°94. Pour Aston-Martin, il y a encore beaucoup de travail, avec sa magnifique hypercar à moteur V12 (13ème et 15ème).


15 Juin 2025 : Les nouveaux Audi Q5 et Q5 Sportback, ont été renouvelés, à la fin de l’année dernière. Elles étaient alors disponibles en version micro-hybride 48V, 2.0TDi et 2.0TFSi, d’une puissance de 204ch. Les plus excités pouvaient également choisir la version SQ5, et son V6 3.0TFSi de 367ch. Pour rivaliser avec le nouveau BMW X3 ou le Mercedes GLC, la marque aux anneaux se devait de présenter une version hybride rechargeable. Il y aura deux niveaux de puissance, avec ce nouvel Audi Q5 e-Hybrid, de 299 ou 367ch. Le bloc thermique 2.0TFSi développe 252ch, et s’associe à un moteur électrique de 143ch. Le véhicule dispose de série, de la boîte S-Tronic à 7 rapports, et de la transmission intégrale. Par rapport à la génération précédente, Audi l’a équipé d’une batterie bien plus imposante, qui passe de 17.9kWh à 25.9kWh. L’autonomie en mode full électrique, est de 113km, à une vitesse maximum de 140km/h. Le conducteur peut jouer sur les modes de conduite (EV ou Hybride), et même sauvegarder la charge de la batterie en fonction du parcours. La récupération d’énergie est réglable sur trois niveaux, via les palettes au volant. Seul bémol, la capacité de chargement passe de 520 litres en version MHEV, à 438 litres, sur ces versions hybrides rechargeables. L’Audi Q5 e-Hybrid de 299ch, sera disponible en Europe, à 67 900€TTC en finition Design, et le modèle de 367ch, à 78 400€TTC en finition S-Line.








14 Juin 2025 : Attention, Peugeot sort les griffes, avec le retour du label GTi. C’est la Peugeot 208, qui fait son show, avec une version très sportive. Le groupe Stellantis vient de changer de directeur, le but, étant de redorer l’image de marque du groupe. Fiat, Chrysler, Lancia, Alfa-Romeo, toutes auront droit à quelques surprises dans leur gamme respective. Aujourd’hui, on va se concentrer sur cette Peugeot e208 GTi, qui s’annonce électrisante. Bien évidemment, il faut oublier une quelconque motorisation thermique, bien trop taxée, sous nos contrées. Cette citadine, qui repose sur la plate-forme STLA Small (ou CMP pour les plus anciens), se dote d’une motorisation très excitante. Comme sur l’Abarth 600e ou la Lancia Ypsilon HF, le bloc électrique développe 280ch, au mieux de sa forme. L’Alpine A290, avec ses 220ch, paraît presque timide. Peugeot a travaillé sur les trains roulants, avec des amortisseurs à butée hydraulique, des ressorts plus fermes, une nouvelle barre anti-roulis, et un différentiel à glissement limité. Les voies ont été élargies de 5.6cm à l’avant et 2.7cm à l’arrière, et la caisse a été rabaissée de 3cm. Cette petite traction, qui dispose d’un couple de 345nm, expédie le 0 à 100km/h en 5.7s, et croise à 180km/h (autolimitée). Son poids de 1500kg, ne devrait pas poser de problème, avec la batterie de 54kWh, placée sous le plancher. C’est la même que pour la e208 de 156ch. L’autonomie annoncée est de 350km. Le chargeur embarqué de 7.4kW, recharge cette unité en 4h40, mais vous pourrez la brancher sur une borne rapide de 100kW, pour une recharge de 20 à 80%, en une demi-heure. La fonction V2L, permet d’alimenter d’autres appareils électriques. Pour le look, on vous laisse admirer le spoiler spécifique à l’avant, le toit noir, le gros becquet, ou les superbes jantes à trous, siglées GTi. A bord, l’ambiance est au rouge, avec une moquette, une instrumentation, et des données multimédia, propres à cette version très sportive. Vous disposerez de données télémétriques supplémentaires, grâce au système multimédia. Siège baquet, sellerie en tissu et alcantara, volant et pédalier sport, plastique type carbone, la citadine française semble rugir pour la première fois. Le conducteur pourra à sa guise, activer une sonorité artificielle, pour améliorer l’ambiance, en conduite dynamique. Reste à savoir le tarif, de cette nouvelle petite lionne, qui devrait allègrement dépasser les 42 000€, en Europe.










13 Juin 2025 : Le monde du rallye, est-il prêt à basculer vers la technologie 100% électrique ? Opel a déjà lancé sa formule, avec la Corsa-e, et prépare l’arrivée de la Mokka GSE. Un autre constructeur semble s’intéresser à ce nouveau type de voiture de rallye, et il s’agit d’un spécialiste de la discipline. Skoda a une expérience conséquente en rallye, avec l’Octavia WRC dans les années 90, et la Fabia, qui sévit toujours en catégorie WRC2. La marque tchèque nous présente ce concept Enyaq RS Race, qui affiche un look très démonstratif. Ce SUV 100% électrique, a choisi des pièces biocomposites, pour de nombreux éléments de carrosserie, les contre-portes ou le tableau de bord, et les vitres sont en polycarbonate. Résultat, ce gros bébé perd plus de 300kg sur la balance. La double motorisation électrique de 340ch, sera automatiquement, plus efficace. Le 0 à 100km/h est expédié en 4.6s, et la vitesse max de 180km/h est atteint en un rien de temps. La caisse est rabaissée de 70mm, et les suspensions et amortisseurs, sont évidemment, réglables. Les voies et les ailes ont été élargies. Le système de freinage en carbone céramique, s’équipe d’étriers à 10 pistons à l’avant, et 4 pistons à l’arrière. Le véhicule a droit à des jantes spécifiques OZ, de 20 pouces. La marque a voulu travailler sur la sonorisation de cette bête de rallye. Afin de l’entendre dans les spéciales, cette Skoda Enyaq RS Race, s’équipe d’un système extérieur audio, signé Havas. Un haut-parleur à l’avant, et deux à l’arrière, avec une sonorité rageuse selon le constructeur.








11 Juin 2025 : Fondée en 2014, la marque Xpeng est arrivée en Europe, il y a déjà quelques années, en débarquant en Norvège. La marque installe son réseau sur le vieux continent, et a infiltré le marché français en 2024. Pour la Réunion, il faudra sans doute, attendre encore un peu. Pour le moment, la gamme mise sur son crossover familial G6, et sur son gros SUV G9. La berline Mona M03, devrait arriver dans les prochains mois, et la berline haut de gamme P7, sera renouvelée très bientôt. Xpeng présentera dans quelques jours, officiellement, son nouveau crossover G7. Avec ses 4.89m de long, il est presque aussi grand que le G9, mais son style est bien plus racé. Grandes surfaces lisses et galbées, une lunette arrière inclinée, une face avant épurée, une signature lumineuse arrière stylée, elle peut également s’équiper de ces grandes jantes en forme de X. Pour le moment, Xpeng annonce l’arrivée d’une version propulsion de 296ch, associée à une batterie de 68.2kWh (510km d’autonomie) ou une batterie de 80.8kWh (600km). Le plus impressionnant, reste la technologie embarquée. Xpeng a développé son propre logiciel concernant les aides à la conduite et le système multimédia, et a fait appel à Huawei, pour développer le système AR-HUD. Le véhicule sera équipé d’un grand écran central de 15 pouces, mais cela semblait trop classique pour Xpeng. Pas d’instrumentation pour le conducteur, le système AR-HUD viendra pallier cette absence, avec un affichage tête-haute de 87 pouces, à réalité augmentée. Le but, est de disposer d’une vision très claire des données de conduite, grâce à une nouvelle technologie cristal liquide, permettant de disposer d’une image haute résolution, sur le pare-brise. Les données de navigation seront projetées au niveau du sol, afin d’éviter toute erreur de direction. Changement de voie, angle mort, piétons, stationnement, les informations parviendront de façon naturelle au conducteur, et ce Xpeng G7 peut même vous assister, lors de conditions météos difficiles. Toutes ses aides fonctionnent de concert, avec l’IA. Encore une fois, les entreprises chinoises semblent avoir une décennie d’avance, grâce à des investissements colossaux en recherche et développement.








10 Juin 2025 : Le MG EHS est disponible à la Réunion ou en France, uniquement en version Hybride rechargeable. Pour l’avoir testé il y a quelques jours, on ne peut qu’apprécier ses excellentes prestations, avec son moteur suffisamment pêchu, son couple omniprésent et son équipement archi-complet. Avec son énorme batterie, elle peut même parcourir une centaine de kilomètres, sans utiliser une goutte d’essence. Néanmoins, pour les allergiques à la prise électrique, MG propose sur certains marchés, une version full hybride non rechargeable. La motorisation ne change pas, avec toujours un 4 cylindres 1.5L Turbo de 142ch, et un moteur électrique de 198ch. La puissance cumulée est bien évidemment revue à la baisse, en passant de 272ch sur le modèle hybride rechargeable, à 224ch, sur cette version full hybride. Le couple de 340nm est toujours aussi généreux. La grosse batterie de 21.4kWh, est remplacée par une unité de 1.8kWh brut. Cette dernière se recharge en roulant bien sûr. On peut s’attendre à un poids en baisse, qui profitera au comportement routier. Le coffre est également plus généreux, avec une capacité de chargement qui passe de 425 à 507 litres. Les performances annoncées sont plus qu’honorables, avec un 0 à 100km/h effectué en 7.9s, et une consommation mixte de 5.5L pour des rejets de CO2 de 126g/km. Pour le moment, ce MG EHS 224ch, sera commercialisé au Royaume Uni.





09 Juin 2025 : C’est la fin d’une époque. La Honda Civic Type R, est la dernière berline compacte sportive, a quitté le marché européen. A partir du 1er janvier 2026, il sera presque impossible d’homologué ce type de véhicule, avec cette nouvelle norme Euro6e-bis. Elle est encore au catalogue du constructeur nippon pour quelques mois, en Europe. Les clients peuvent même s’offrir cette série limitée à 40 exemplaires. La France n’aura droit qu’à une seule unité. Pour se procurer cette Honda Civic Type R Ultimate Edition, il faudra avoir un peu de chance au tirage au sort. Elle sera affichée à 64 420€ (+ 7200€ par rapport à la version standard), mais il faudra ajouter 58 134€ de malus écologique. Elle dispose de quelques spécificités, avec un aileron en fibre de carbone, des rétroviseurs et un toit noir, et une teinte exclusive blanche à bandes rouges. Le logo type R est projeté au sol, à l’ouverture des portes, l’éclairage d’ambiance est revu à bord, et quelques touches de carbone habillent l’habitacle. Pas d’évolutions techniques, pour cette sportive, qui détient toujours le record de la traction la plus rapide, sur le Nurburgring. Caisse et amortissement rigides, différentiel autobloquant, bloc moteur 2.0L VTEC Turbo de 329ch et 420nm de couple, c’est du pur plaisir, à l’ancienne.







08 Juin 2025 : Ce n’est pas la première fois, que l’on peut retrouver, de véritables voitures de course, sur la route. Porsche a par exemple, homologué trois 917 dans les années 70. A la fin des années 90, les monstres de l’endurance, en catégorie GT1, devaient dériver d’une voiture de route. Porsche avait alors, commercialisé une vingtaine de 911 GT1. L’édition 2025 des 24 Heures de Mans, approche. Porsche nous dévoile la seule 963 RSP, qui a eu l’autorisation de prendre la route. Son propriétaire est le célèbre patron d’écurie, Roger Penske. C’est le pilote Timo Bernhard, qui a eu le privilège de faire les premiers tours de roue. Finalement, côté motorisation, l’homologation a été facilitée, puisque cette 963, embarque le bloc moteur de l’hypercar 918 Spyder, sortie en 2013. Le bloc thermique n’est plus atmosphérique, après l’adoption de deux turbos. Par rapport au modèle de compétition, ce V8 4.6L Bi-Turbo hybride, est plus souple à l’usage, avec une centrale MGU, assagie. Il développe 680ch, comme en course, et s’accouple à une boîte séquentielle Xtrac, à sept rapports. Le véhicule se dote évidemment, de clignotants et d’un klaxon. Porsche a relevé la hauteur de caisse, et a assoupli l’amortissement. L’habitacle a également été revisité, avec un habillage full cuir, et on a même droit à un porte-gobelet amovible.





06 Juin 2025 : La Renault 5 Electric, lancée en mai 2024, a fait sensation, mais elle n’était disponible qu’en version haut de gamme Iconic, puis en version Techno, avec le moteur de 150ch et la batterie de 52kWh. Les clients les plus à l’aise financièrement, se sont fait plaisir, et les ventes ont été à la hauteur, avec plus de 40 000 exemplaires, mis en circulation. Maintenant, la Renault 5 Electric, doit également séduire une clientèle lambda, qui souhaite simplement profiter des aptitudes routières et du look de cette dernière. La gamme sera complète en juillet, avec une R5 Five de 95ch (Batterie de 40kWh), une R5 (Evolution, Techno et Iconic) de 120ch, et une R5 (Evolution, Techno, Iconic, et Roland Garros) de 152ch. On va s’intéresser au modèle d’entrée de gamme de 95ch, en finition Five, avec batterie NMC de 40kWh, disponible à partir de 24 990€TTC en France Métropolitaine (Hors bonus écologique). L’affaire paraît juteuse. L’équipement comprend déjà, la climatisation manuelle, une petite instrumentation de 7 pouces pour le conducteur, l’écran central tactile de 10.1 pouces, les applications Androïd auto et Applecarplay, des roues de 18 pouces avec enjoliveurs, le radar de recul, ainsi que le détecteur de pluie et de luminosité. Même si quelques artifices manquent au niveau de l’habillage de la carrosserie, le véhicule paraît toujours aussi sympa. Le petit bloc électrique de 95ch et 215nm de couple, n'est pas une foudre de guerre, avec son 0 à 100km/h effectué en 12.0s, un 1000mDA en 36.0s, et une vitesse maximum de 130km/h. La batterie de 40kWh offre une autonomie de 312km, selon le cycle WLTP. Pour une entrée de gamme, les parcours quotidiens sont largement assurés, et on peut même penser à faire de l’autoroute. Le rêve s’arrête là, puisque cette finition d’entrée de gamme 95ch Five, propose uniquement une recharge de la batterie en courant alternatif de 11kW. Il faut plus de 2h30, pour charger la batterie, de 15 à 80%. Résultat, ce véhicule se cantonnera à une région, et n’a pas vocation à traverser la France. La version de 120ch, disponible à partir de 27 990€TTC, en finition Evolution, paraît alors, plus intéressante. La batterie encaisse une charge de 80kW en courant continu, permettant une recharge rapide sur autoroute. Les performances semblent beaucoup plus alléchantes, avec un 0 à 100km/h effectué en 9.0s, un 1000mDA en 31.5s, et une vitesse maxi de 150km/h. De nombreuses teintes de carrosserie supplémentaires sont disponibles, et la liste d’équipement est plus étoffée, avec un accès et démarrage mains-libres, la pompe à chaleur, les projecteurs 100% LED, et les feux de croisement/route automatique. Mais vous pourrez toujours choisir le moteur de 152ch, la grosse batterie de 52kWh, sa recharge acceptant 100kW, et ses tarifs variant de 31 490€TTC à 36 490€TTC, hors bonus.









05 Juin 2025 : La BMW i4, dispose déjà de prestations très respectables, dans le monde de la voiture électrique premium. La marque à l’hélice, souhaite néanmoins améliorer son modèle par petites touches, au fil des années. La gamme se compose de quatre versions, avec la eDrive35 de 286ch, la eDrive40 de 340ch, la xDrive40 de 401ch, et la M50 xDrive de 544ch. Cette dernière évolue, et se transforme en M60 xDrive de 601ch. Sur les deux versions d’entrée de gamme, BMW fait appel à de nouveaux semi-conducteurs en carbure de silicium. Résultat, les eDrive35 (batterie de 70kWh) et eDrive40 (Batterie de 84kWh), abaisse leur consommation de 4.5%. Les autonomies passent respectivement, de 500 à 513km, et de 600 à 612km. Pas de changement pour la xDrive40, qui annonce toujours 546km. La M60 xDrive améliore par contre, significativement son score, malgré la hausse de puissance. Elle passe de 520 à 551km, et le 0 à 100km/h gagne 0.2s (3.7s). La hausse de tarif est modérée, avec un surcoût de seulement 250€ (300€ pour la M60). La gamme commence à 57 850€TTC en Europe.






04 Juin 2025 : Petit cours d’histoire obligatoire, avant la présentation de cette McLaren 750S le Mans. On est en 1995, et après la folie Peugeot 905, au début de la décennie, les constructeurs n’ont que peu d’intérêts pour les courses d’endurance. Porsche est encore présent avec des teams semi-officiels, mais ce sont surtout les teams privés qui font le gros du plateau. McLaren a alors une folle idée, en engageant sa terrible hypercar, lors de cette surprenante édition 1995. Il s’agit de la McLaren F1, sortie en 1993 et conçue par Gordon Murray. Elle était propulsée par le fabuleux V12 6.1L d’origine BMW, qui développait alors, 627ch et 651nm de couple. C’était la voiture la plus rapide du monde, avec une vitesse de pointe de 391km/h. Avec sa coque en fibre de carbone, le véhicule pesait 1140kg. La position centrale du pilote, améliorait la précision de conduite. Le véhicule se mit aux normes de la catégorie GT1, et a réussi à s’imposer dès sa première participation. L’équipage, Yanick Dalmas, Masanori Sekiya et JJ Lehto, a réussi à devancer le proto Courage C34, motorisé par Porsche. Trois autres McLaren F1, finissent respectivement 3ème, 4ème et 5ème. La firme anglaise présente donc cette 750S le Mans, qui fête les 30 ans de cette mémorable victoire. Elle sera produite à 50 exemplaires. Le bouclier, les extracteurs d’air au-dessus des ailes avant, la prise d’air sur le toit, et l’aileron fixe, font partie de ses spécificités. Et puis, il y a les jantes 5 branches, qui rappellent la F1 originelle. Son V8 4.0L Bi-Turbo crache toujours 750ch et 800nm de couple, permettant un 0 à 100km/h en 3.2s et une vitesse de pointe de 332km/h.










03 Juin 2025 : La gamme du constructeur premium français, DS, n’est peut-être pas, encore tout à fait complète. Néanmoins, la marque a le mérite, de ne pas faire d’économies, en ce qui concerne la finition. Une nouvelle série spéciale, est donc, toujours très intéressante. DS met à l’honneur, le célèbre écrivain Français, Jules Verne, qui nous a quitté il y a 120 ans. Ses œuvres les plus connus sont mis en avant, avec une DS 3, qui s’inspire de « Vingt milles lieues sous les mers », une DS N°4 qui se décline en une version « Tour du monde en 80 jours », une DS 7 qui prend pour thème « Cinq semaines en ballon », et pour la toute nouvelle berline haut de gamme DS N°8, la marque a choisi « De la terre à la lune ». Les spécifications de ces différents modèles, concernent les badges, les cache-moyeux, les seuils de porte, la teinte de la carrosserie, et l’habillage de la planche de bord et des contre-portes. On retrouve sur tous les modèles, différentes teintes de bleu, et du beige. On a affaire à des versions suréquipées, mais il est temps de découvrir les premières images.














02 Juin 2025 : En 2022, Toyota lançait son Aygo X. La mini-citadine se donnait alors, des petits airs de crossovers. La plupart des constructeurs, abandonne le segment A, ne le trouvant pas assez rentable. Pour des marques internationales, telle que Toyota, il en est hors de question, et cela vaut également pour Hyundai ou Kia. La marque nippone nous propose déjà un restylage de mi-carrière, mais surtout, une grosse remise à jour technique. Côté style, la face avant semble moins fun, avec une signature lumineuse plus classique, un nouveau capot, et un bouclier redessiné. On peut personnaliser son Aygo X, selon le degré de finition, avec un toit en toile, des jantes en 18 pouces, une teinte bi-ton, et des badges GR. Dans l’habitacle, la planche de bord est assez rigolote, avec toutes ses rondeurs, mais les plastiques semblent toujours aussi durs. De série, on profite d’une instrumentation numérique de 7 pouces, et d’un grand écran central tactile, avec les applications courantes. Le coffre cube lui, toujours 231 litres. Et pourtant, la motorisation est toute nouvelle pour cette mini-citadine de 3.78m. Reposant sur la plate-forme TNGA-B de la Yaris depuis 2022, elle pouvait en théorie accueillir la même motorisation hybride. C’est maintenant chose faite. Elle troque son petit 3 cylindres 1.0L de 72ch, pour le bloc 1.5 Hybride de 116ch. C’est une sacrée montée en gamme. Elle se met à l’abri d’un quelconque malus écologique, la puissance est largement majorée, et les consommations sont en baisse. Néanmoins, cela affecte largement le tarif d’entrée de gamme, qui devrait dépasser les 20 000€TTC en Europe. Certains clients pourraient alors hésiter, et opter pour la catégorie supérieure. Affaire à suivre.











31 Mai 2025 : Le modèle de série, n’a pas encore débarqué sur nos routes. Et pourtant, Opel nous dévoile un concept typé tout-terrain, du nouveau SUV compact, Frontera. Dans quelques semaines, on pourra sans doute apercevoir la nouvelle génération d’Opel Frontera, qui viendra épauler le Mokka et le Grandland. Ce petit SUV 7 places, se dote de la plate-forme Smart Car du groupe Stellantis. Cette dernière équipe le Citroën C3 et la Fiat Panda. Elle pourrait, en théorie, accueillir un petit moteur électrique sur son essieu arrière. Résultat, l’Opel Frontera pourrait se transformer en un véritable baroudeur. Reste à savoir, si ce serait un véhicule 100% électrique, ou mild-hybrid. En attendant, la marque au blitz, s’est associée aux petits préparateurs XS et Blackfish, qui nous ont pondues cet intéressant Opel Frontera Gravel. Une galerie de toit, des rampes lumineuses sur le capot moteur et cette même galerie, des boucliers avec skis, à l’avant et à l’arrière, des supports latéraux pour un panel d’accessoires, un treuil, une garde au sol majoré, et des jantes de 16 pouces, avec pneus tout-terrain BF Goodrich, ce look de franchisseur, donne envie. Opel ajoute des stickers, et des éléments de carrosserie orange ou noir mat. Sans être aussi radicale, cette Opel Frontera Gravel pourrait voir le jour, et venir chatouiller ses cousines Jeep Avenger ou Alfa-Roméo Junior, qui disposent déjà de la transmission intégrale.





30 Mai 2025 : BMW nous présente officiellement sa M2 CS, à l’occasion du concours d’élégance de la Villa d’Este. C’est peut-être, le modèle le plus intéressant de la gamme à l’hélice. Par rapport à la M2, cette version CS s’allège de 30kg, grâce à plusieurs éléments de carrosserie en polymère de carbone. Les sièges baquets en carbone, participe également à cet allègement, tout comme la ligne d’échappement, en titane. Attention, l’engin pèse tout de même 1775kg, mais ça paraît presque raisonnable aujourd’hui. Contrairement à la M4 Compétion, cette M2 CS reste une pure propulsion. Elle est donc plus légère que sa grande sœur, et profite de la même motorisation. Le 6 cylindres 3.0L Bi-Turbo gagne donc 50ch par rapport à une M2 classique, en passant de 480 à 530ch, pour un couple de 650nm. La BMW M2 CS ne sera disponible, qu’avec la boîte Steptronic à 8 rapports. Les chronos progressent logiquement, avec un 0 à 100km/h effectué en 3.8s (-0.2s), et un 0 à 200, en 11.7s (-1.2s). La vitesse maxi est bridée à 302km/h. Il est assez simple de reconnaître cette version CS. Le becquet arrière en queue de canard saute aux yeux, mais on dispose aussi, d’un bouclier et d’une grille de calandre, spécifiques. On peut opter pour des jantes en alu forgé, couleur bronze, et un système de freinage en carbone céramique. BMW a abaissé la caisse de 8mm, a modifié les réglages de la suspension pilotée et de la direction. On aurait pu gagner quelques kilos supplémentaires sur la balance, mais la marque à l’hélice a préféré garder tous les équipements de confort, comme la banquette arrière, le système audio Harman Kardon, l’affichage tête-haute, et autres coquetteries. Le carbone est omniprésent dans l’habitacle. Avec un tarif de 119 900€TTC (hors options et hors malus écologique de 70 000€), elle est 30 000€ plus chère que la M2 classique.













29 Mai 2025 : Pour survivre, Alpine se devait d’élargir sa gamme. La berlinette A110 lancée en 2017, marquait la renaissance du petit constructeur. L’année dernière, Alpine a boosté la petite Renault 5 Electric, en sortant son A290. La firme de Dieppe, enchaîne en 2025, avec l’A390. Selon Alpine, il s’agit bien d’une berline surélevée, à l’instar d’une Peugeot 408, et non d’un SUV. Pour nous, il s’agira plutôt d’un crossover dynamique. Ce véhicule reprend la plate-forme AmpR Medium, de sa cousine, Renault Scenic E-Tech. Cela n’annonce rien de bon côté poids, mais les ingénieurs se sont employés à abaisser le centre de gravité. Effectivement, avec son style de coupé 4 portes, la garde au toit est de seulement 1.53m. Cette Alpine A390 est bien campée sur ses grandes jantes de 20 ou 21 pouces, selon la version choisie. On vous laisse juge du design général de l’engin. Absence de calandre, signature lumineuse traversante, des LED incrustés dans le bouclier, un discret bloc phare en partie basse, un capot creusé avec arête central, un profil racé, une lunette arrière qui se termine par un becquet et une élégante signature lumineuse arrière avec l’inscription Alpine, l’A390 ne s’en sort pas trop mal. Elle peut accueillir 5 passagers, mais il faut savoir que l’empattement (2.71m) a été raccourci de 7cm par rapport au Scenic. Le coffre lui, propose une capacité de chargement très confortable, de 532 litres. Pas de soucis sur ce point, on a affaire à une vraie familiale. La planche de bord en L, rappelle les dernières productions Renault. Néanmoins, l’instrumentation disposera d’un graphisme spécifique, et le système multimédia développé par Google, est toujours, très appréciable. Les boutons DNR pour la commande de boîte, les petites touches de carbone, le cuir, l’alcantara, les nombreuses surpiqûres, la présentation est définitivement très soignée. On note aussi, la présence de ce volant Alpine, avec molettes, pour les modes de conduite et la récupération d’énergie (RCH), ainsi que la touche OV, pour l’overboost. Justement, côté technique, l’A390 se dote d’un moteur électrique sur le train avant, et de deux blocs supplémentaires, sur l’essieu arrière. Cela permet de disposer de la transmission intégrale, mais également de la fonction Torque Vectoring, avec une gestion du couple indépendante sur les deux roues arrière. Alpine propose une version GT développant 400ch et 650nm, déjà excitante, avec son 0 à 100km/h avalé en 4.8s. Mais on peut opter pour une version GTS de 470ch et 808nm de couple, permettant un 0 à 100, en 3.9s. La batterie NMC d’origine Verkor, de 89kWh, promet une autonomie respective de 555 ou 520km. Elle encaisse une charge de 11kW, 22kW, ou 190kW sur borne rapide. Moteur fabriqué à Cléon, batterie produite à Dunkerque, système audio Devialet, pneumatique Michelin, et véhicule assemblé à Dieppe, on ne peut pas faire plus français que cette Alpine A390. Les tarifs de ce beau bébé de 2121kg, seront compris entre 65 000 et 76 000€TTC.











28 Mai 2025 : Comme chaque année, BMW profite du concours d’élégance de la Villa d’Este, pour présenter quelques modèles très exclusifs. On rappelle que la marque à l’hélice, est le partenaire officiel de ce concours. En 2024, BMW proposait à sa clientèle la plus fidèle et la plus argentée, la Skytop Concept, une décapotable très luxueuse, reprenant la base technique de la BMW Série 8. Le constructeur allemand a bien voulu fabriquer 50 exemplaires. Rebelote en 2025, avec la Speedtop, qui se présente elle, comme une GT bi-place, type break de chasse. Comme pour le prestigieux concours, c’est le mot élégance qui rime le mieux, concernant cette Speedtop. Aucune excentricité au niveau de sa ligne, son design fluide, sa calandre qui pointe vers l’avant, son regard perçant, son capot creusé avec extracteur, l’arête centrale qui habille ce dernier et une partie du toit, on ne peut qu’admirer le travail. Les ailes arrière très larges, la lunette particulièrement inclinée, le hayon sculpté, et la double canule d’échappement, tout est également parfait, au niveau de la poupe. Attention, ce style racé a évidemment quelques inconvénients. Le coffre ne semble pas disposer d’une grande capacité de chargement, et aux places arrière, la Speedtop remplace la banquette, par deux espaces de rangement. Justement, le fabricant italien Schedoni, s’est chargé de concevoir et produire pour l’occasion, une ligne de sacs. La BMW Speedtop reprend la planche de bord de la Série 8, mais comme on s’en doutait, l’habitacle profite d’une finition, qui sent bon le cuir. Les performances seront assurées par le bloc moteur V8 4.4L Bi-Turbo 625ch, de la M8. Dépêchez-vous, la marque mettra prochainement, 70 exemplaires en production.
















27 Mai 2025 : Qu’il est dur de faire une croix, sur un glorieux passé automobile. Alpina, la célèbre firme créée par Burkard Bovensiepen en 1965, passera définitivement, sous le contrôle de BMW, en 2026. Alpina prépare des BMW depuis des décennies, et ont décidé de s’associer en 2022. A partir de 2026, Alpina deviendra donc, une filiale de luxe, dont on ne connaît pas encore la mission exacte, dans le groupe allemand. Les fils Bovensiepen, Andreas et Florian, se lancent dans un autre projet, en créant leur propre marque. Elle se nomme, tout naturellement, Bovensiepen. On vous présente son premier modèle, sur base de BMW M4. Le véhicule a été totalement recarrossé par Zagato. On remarque la signature du studio de design, avec le double bossage au niveau du toit. La face avant est méconnaissable, le profil a été affiné, et la poupe fait penser à une BMW Série 8. Bovensiepen a travaillé sur les trains roulants, en partenariat avec Bilstein. Le bloc moteur 6 cylindres 3.0L Bi-Turbo, est plus véloce, puisqu’il développe 610ch et un couple de 700nm. La sonorité moteur, est assurée par une ligne d’échappement, signée Akrapovic. Cela promet un 0 à 100km/h en 3.3s, et une vitesse maxi de 300km/h en toute décontraction. La planche de bord est celle de la M4, mais côté finition, on est dans un autre monde. Qualité des matériaux exceptionnelle, cuir pleine fleur recouvrant une grande partie de l’habitacle, assemblage parfait, vous pourrez évidemment choisir votre teinte préférée. Cette Bovensiepen, fera ses grands débuts, au concours d’élégance de la Villa d’Este.












26 Mai 2025 : Un nouveau constructeur italien, vient de dévoiler son hypercar. Dans le monde du luxe, tout le monde veut sa part du gâteau. Giamaro Automobili, est une petite firme fondée en 2021. Elle a développé en interne, le châssis, les suspensions, et le moteur, de cette Katla. Il s’agit d’une supersportive, bi-place, qui porte le nom d’un volcan islandais. Le châssis se compose d’une structure monocoque en fibre de carbone, qui limite le poids du monstre, à 1450kg. Cette Giamaro Katla repose sur des jantes de 20 et 21 pouces, qui cachent un système de freinage, avec disque de 420mm et étriers 10 pistons, à l’avant. Les suspensions électroniques, sont en alliage d’aluminium massif. Le cœur de la bête est encore plus impressionnant, avec un V12 ouvert à 120°, de 6988cm3, gavé par quatre turbos. La puissance de 2157ch, est presque ridicule, et pourrait même effrayer la nouvelle Bugatti Tourbillon. La puissance est délivrée aux roues arrière, via une boîte à double embrayage à 11 rapports. Le style de la Katla n’est pas forcément très original, mais les concepteurs annoncent une aérodynamique particulièrement soignée. Un deuxième modèle, type crossover coupé, surnommé Albor, est à l’étude. Il devrait reprendre la même base technique.











24 Mai 2025 : Lors du week-end, Porsche a invité une partie de ses clients, à bruncher. C'était l'occasion de découvrir la très innovante Porsche 911 GTS T-Hybrid en version Targa. Le modèle présenté, arborait une magnifique teinte Exclusive Manufaktur, avec capote rouge et intérieur assorti. Vitrine technologique, elle se dote d’un Flat 6 3.6L avec un Turbo électrifié, développant 485ch. Dans la boîte PDK à 8 rapports, on a droit à un moteur électrique de 54ch et 150nm de couple. Il est alimenté par une batterie de 1.9kWh. Cette mécanique développe une puissance cumulée de 541ch et un couple de 610nm. Le 0 à 100km/h effectué en 3.1s et la vitesse maxi de 312km/h, sont des performances de supercar. On remarque les entrées d’air, spécifiques à cette GTS Hybride, tout comme la double sortie d’échappement centrale. Le véhicule dispose du système hydraulique de levage, pour les ralentisseurs, des roues arrière directrices, et du châssis PASM avec suspensions pilotés. Malheureusement, les rejets de CO2 compris entre 239 et 251g/km, impose le malus écologique maximal de 70 000€. On vous affiche les tarifs de la gamme 911 (malus compris) à la Réunion.
Porsche 911 Carrera 394ch à partir de 238 900€TTC
Porsche 911 Carrera S 480ch à partir de 259 900€TTC
Porsche 911 GTS T-Hybrid à partir de 313 500€TTC



On a pu également admirer une terrible Porsche 911 GT3 RS à l'entrée de la concession.

Et Maxime Dupuy, vainqueur surprise du Rallye de Ste Suzanne, était présent, avec sa bête de course.

24 Mai 2025 : BMW a été le premier constructeur premium allemand, à sérieusement travailler sur la technologie électrique. D’ailleurs, une grande partie de ses ventes, est assurée par sa gamme de véhicules 100% électrique. La marque souhaite néanmoins, faire évoluer cette technologie, et cela concerne principalement la batterie. En collaborant avec la start-up américaine « Solid Power », BMW a réussi à mettre sur la route, sa limousine i7, équipée d’une batterie solide. L’électrolyte liquide entre l’anode et la cathode, est tout simplement remplacé par un électrolyte solide, à base de sulfure. En théorie, ce type de batterie propose une densité énergétique plus intéressante, permettant d’abaisser la masse volumique et le poids de la batterie. BMW pourrait donc proposer un véhicule plus léger avec une autonomie inchangée, ou augmenter considérablement l’autonomie, avec une batterie de même taille, que les unités actuelles. Une batterie solide dispose également d’une plage de température plus sécurisante, allant de -20° à +100°, avec des risques d’incendie moindres, et on n’oublie pas la durée de vie majorée, concernant les cellules. L’empreinte carbone est en prime, réduite de 25 à 35%, avec une utilisation moins importante, de graphite et de cobalt. Le plus grand défi à venir pour la marque à l’hélice, c’est de pouvoir la fabriquer en grande série. Si certains experts annoncent une diminution des coûts à hauteur de 15 à 35%, BMW se concentre actuellement, sur le process de fabrication. Le constructeur annonce sa collaboration avec 300 partenaires supplémentaires (Entreprises, Start-up ou universités), afin de booster l’avancée du projet.




23 Mai 2025 : Certains constructeurs, mise sur la carte nostalgie. A l’instar d’une Renault 4 Savane 4x4 Concept, Fiat souhaite également proposer une déclinaison 4 roues motrices, pour sa toute nouvelle Grande Panda. Le principe est assez simple en théorie, puisque la plupart des plates-formes actuelles, peuvent accueillir un bloc électrique sur le train arrière, qui s’ajoutera à celui de l’avant. On rappelle que la célèbre Panda, a toujours proposé une version à transmission intégrale, dans sa gamme. C’est une originalité à sauvegarder pour le constructeur italien. Côté look, cette Fiat Grande Panda 4x4 Concept, ajoute des petits feux additionnels à LED, un insert noir siglé Panda sur les portières, des jantes en tôle blanches, et une galerie de toit, avec des feux supplémentaires. La garde au sol semble évidemment, plus élevée. Véhicule passe-partout, style vintage et baroudeur, un moteur électrique par essieu, on serait curieux de connaître le tarif, d’un éventuel modèle de série.


22 Mai 2025 : Malgré les désaccords profonds entre les deux marques, il arrive encore, que Renault et Nissan, collaborent. Renault commercialise sa petite R5 depuis déjà quelques mois. C’est maintenant au tour de Nissan, de profiter de cette base technique, avec la renaissance de la Micra. La petite nippone mise donc pour le moment, sur des motorisations 100% électriques. Si Renault dispose encore dans sa gamme, d’une Clio, thermique et hybride, en plus de la R5 Electric, Nissan devra uniquement compter sur sa Micra Electric, sur le marché très concurrentiel, des citadines compactes. Bien sûr, le style évolue par rapport à la française, avec une signature lumineuse en cercle, aussi bien à l’avant, qu’à l’arrière. Les boucliers sont spécifiques à cette Micra, tout comme les bas de caisse, ou le dessin des jantes. Néanmoins, peu importe l’angle sous lequel on la regarde, la ligne générale rappelle forcément la R5, avec de nombreux éléments communs, comme le vitrage. Mais c’est dans l’habitacle que la déception est la plus grande. On peut partager une base technique et quelques éléments de carrosserie, mais reprendre la même planche de bord, pour des véhicules aussi iconiques, ce n’est pas sérieux. Nissan modifie quelques inserts et matériaux, mais le dessin est exactement le même. Moins choquant, cette nouvelle Nissan Micra, profite des mêmes motorisations. Pour son lancement, on pourra choisir entre un bloc électrique de 120ch associé à une batterie de 40kWh (310km d’autonomie) ou le bloc de 150ch avec batterie de 52kWh (408km). Cette sixième génération de Micra, est un véhicule assez jovial au niveau de son look, ses prestations seront égales à la Renault 5, et son équipement est archi-complet, avec notamment toutes les fonctionnalités Google à l’écran. Elle sera construite à côté de sa cousine R5, dans l’usine de Douai, en France.











22 Mai 2025 : Véritable « Success Story » pour le Toyota RAV4. Avec la Corolla, le RAV4 fait partie des piliers de la gamme en Europe. C’est lui qui a lancé la mode des SUV. En 1994, il se présentait comme un petit SUV urbain avec ses 3.71m. Il a réussi à intéresser une large clientèle, mais avait également la réputation, d’être très fiable. Au fil des années, il s’est transformé en vraie familiale. En 2025, le constructeur nippon présente cette sixième génération, qui repose toujours sur la plate-forme TNGA GA-K. Résultat, il n’a pas pris un centimètre en longueur, avec ses 4.60m. Son style est toujours aussi anguleux. C’est ce qui fait toute son originalité. La face avant évolue dans les grandes largeurs, avec une signature lumineuse inspirée du bZ4X, son pendant électrique. La calandre est plus discrète, mais il faut savoir qu’elle sera différente selon la finition choisie. De profil, les ailes arrière sont très marquées, et les passages de roue sont toujours aussi carrés. La poupe arbore elle, un éclairage plus moderne, sur fond noir, avec l’inscription RAV4, en son centre. La finition GR Sport, proposera un design un peu plus agressif, avec une calandre et des jantes spécifiques. Les réglages châssis seront plus fermes. Dans l’habitacle, c’est du sérieux, avec une planche de bord anguleuse, une instrumentation numérique de 12.3 pouces sans casquette pour le conducteur, un écran central tactile de 12.9 pouces, et quelques touches physiques, qui profitera à l’ergonomie. Le système multimédia a été amélioré, grâce à un nouveau logiciel développé en interne, et de nouvelles fonctionnalités concernant les aides à la conduite. Pas mal d’améliorations côté mécanique, avec un 4 cylindres hybride et hybride rechargeable, qui s’adapte aux nouvelles normes. Ce Toyota RAV4 sera disponible en version Hybride 2WD de 183ch, Hybride 4WD de 191ch, Hybride rechargeable 2WD de 268ch, et Hybride Rechargeable 4WD de 304ch. Concernant les modèles rechargeables, on a droit à une batterie plus volumineuse, d’une capacité de 22.68kWh, qui permet de rouler en mode électrique, pendant une centaine de kilomètres. Elle encaisse une charge de 11kW en courant alternatif, et de 50kW en courant continu. Les fans du modèle devront être patients, avec un véhicule qui sera disponible en Europe, uniquement au deuxième trimestre 2026.















21 Mai 2025 : Il est dur de faire renaître une marque automobile, surtout, quand elle est aussi prestigieuse. La firme « De Tomaso » a été fondée en 1959, par un Argentin, installé en Italie. Ca nous rappelle un peu l’histoire de Pagani. S’il y a bien un modèle qui a marqué l’histoire du petit constructeur, c’est la fameuse Pantera, qui a été commercialisée de 1970 à 1995. La société a fait faillite en 2004, puis en 2012, avant d’être racheté pour une bouchée de pain, par un consortium chinois, en 2019. Bref, elle est maintenant entre de bonnes mains. Les nouveaux dirigeants ont pris leur temps, afin d’annoncer le lancement d’un nouveau modèle. La De Tomaso P72 a demandé six ans de gestation. Après le concept de 2019, on peut enfin découvrir la version de série et la fiche technique qui va avec. Le style rappelle les monstres de compétition des années 70, avec un design tout en courbe. Elle s’inspire également de la De Tomaso P70, qui a été produite qu’à un seul exemplaire, en 1965, et qui était le fruit d’une collaboration, entre Alejandro De Tomaso et Caroll Shelby. Le châssis est en fibre de carbone, tout comme la carrosserie. La teinte, blanche et or rose, est à craquer. L’habitacle reprend les mêmes couleurs. Métal sculpté, carbone apparent, tringlerie de boîte bien visible, ça claque énormément. Sous le capot, cette De Tomaso P72 fera appel à un bon vieux V8 américain, comme la Pantera à son époque. Il s’agit du V8 5.0L Ford Coyote, qui profitera d’une cure de vitamines. Grâce à un compresseur plus volumineux, la puissance atteint 700ch, pour un couple de 818nm. On a affaire à une propulsion, avec boîte manuelle à 6 rapports. La suspension est réglable manuellement. Les chronos, on s’en moque chez De Tomaso. C’est bien assez performant, le 0 à 100km/h sera rapidement expédié, et la vitesse maxi n’était pas une priorité. Le tarif, inutile de demander pour un véhicule totalement personnalisable, et qui sera produit à 72 exemplaires. Oubliez également les écrans tactiles ou un quelconque système audio, De Tomaso vous demande de vous concentrer sur la conduite, et le chant du V8.







20 Mai 2025 : La toute nouvelle Renault 4, commence à peine sa carrière. Ce petit SUV 100% électrique, est fidèle aux codes stylistiques du modèle originel. Il est plutôt sympa à regarder, ses prestations ont l’air satisfaisantes pour la catégorie, mais la philosophie a drastiquement changé. Il ne s’agit plus d’un petit véhicule fonctionnel, peu cher, et ultra-pratique. Renault mise sur ce look vintage, afin de capter une clientèle, beaucoup plus huppée. Bref, vu son tarif de base, à plus de 30 000€, on ne risque pas de la croiser à tous les coins de rue. Afin de parfaire la gamme, la marque au losange réfléchit à une version 4 roues motrices, et vient donc de présenter un concept, dont le modèle de série, pourrait débarquer en 2027. Ce Renault 4 Savane 4x4 Concept, se dote d’un bloc électrique supplémentaire sur le train arrière. La plate-forme Ampr Small accepte donc cette motorisation supplémentaire. La transmission intégrale est gérée électroniquement entre le train avant et arrière. La puissance pourrait atteindre 210ch, et la garde au sol passerait de 18cm à 19.6cm. Ce concept est équipé d’une monte pneumatique Goodyear en 225/55R18. Teinte de carrosserie vert Jade, bas de caisse noir laqué, insert type jerricane sur les boucliers, jantes pleines assombries, et un toit en tissu noir et gris, son look ne laisse pas indifférent. Renault personnalise également l’habitacle, avec une sellerie spécifique, une planche de bord et des contre-portes marron, et des inscriptions « 4 Savane ». Encore une fois, si ce modèle arrive en concession, il ne faudra certainement pas espérer, des tarifs low-cost.













19 Mai 2025 : La Jaguar Type E, qui a fait sa première apparition, au Salon de Genève de 1961, est encore considérée aujourd’hui, comme une des plus belles voitures au monde, si ce n’est la plus belle. Quand une société nous présente un restomod, on peut donc s’attendre au pire. Pas cette fois-ci, puisque cette version modernisée, provient du studio de design de Ian Callum. Le célèbre designer Britannique a longtemps collaboré avec Ford, Aston-Martin et Jaguar, avant de prendre son indépendance. Cette Jaguar Type E Restomod, reste fidèle à sa ligne d’origine, qui a été totalement lissée pour l’occasion. Son long capot avant, ses ailes arrière très galbées, sa double sortie d’échappement qui remonte sur le bouclier, tous les codes sont respectés. La caisse semble rabaissée, les feux sont à LED, et les jantes sont à la fois, originales et bien dimensionnées. Dans l’habitacle, on fait face à deux compteurs analogiques. Pas d’écran tactile qui pourrait polluer le champ visuel, Ian Callum a opté pour quatre mini-écrans numériques, qui intègrent entre autres, la navigation et le système audio. Les commandes type basculeur, le grand levier de vitesse, le frein à main traditionnel, et le grand volant en bois, tout respire la nostalgie. Si on considère les sorties d’échappement, on se doute, que ce véhicule ne sera pas électrique, mais on n’en sera pas plus pour le moment.





18 Mai 2025 : Etrange exercice de style de la part de Ford, avec cette Capri, qui met à l’honneur, l’ambassadeur de la marque, un certain Eric Cantona. Le footballeur français est une véritable légende en Angleterre. L’ancien joueur de Manchester United, a marqué les esprits par son talent, mais également par son caractère. On se rappelle, de ce coup de pied mémorable à un spectateur, qui a eu la mauvaise idée de l’insulter. Ce coup de pied, on le retrouve par exemple sur les appuis-tête des sièges avant. On retrouve sur le tunnel central, une phrase prononcée par Cantona, lors du lancement de cette Capri. L’habitacle est personnalisé, avec une couleur orange, sur le volant, les tapis de sol ou les sièges. Justement, cette teinte Signal orange, provient de la Capri Mk III des années 70 et 80. Elle recouvre la carrosserie, et on remarque quelques spécificités, comme la petite couronne sur le montant arrière, le numéro 7 au niveau des bas de caisse et la signature du champion, sur l’aile avant. Deux bandes noires habillent le capot. Etrangement, Ford ne commercialisera pas ce modèle, qui restera un exemplaire unique. Cette Ford Capri « King Eric », est équipée du bloc électrique de 286ch, positionné sur le train arrière. Il est alimenté par une batterie de 77kWh, permettant une autonomie de 627km.









17 Mai 2025 : Xpeng lançait en 2020, sa grande berline électrique P7 (dernière photo). Ce modèle chinois s’est écoulé à près de 200 000 exemplaires. Certains pays européens, comme la Belgique par exemple, ont pu disposer de quelques modèles. La puissance variait de 263 à 467ch, et l’autonomie était comprise entre 480 et 700km, selon le cycle CLTC. La Xpeng P7 se renouvellera en 2026, et le modèle de série fera son apparition, au dernier trimestre 2025. Comme pour la première génération, la nouvelle mouture sera dessinée par le designer français, Rafik Ferrag. Ce véhicule monte très clairement en gamme, avec une longueur qui frôle les 5 mètres, et une ligne aussi fluide que majestueuse. De grandes surfaces lisses, une ligne fuyante au niveau de la poupe, et une signature lumineuse qui épouse les angles du véhicule, le constructeur chinois veut un style fort pour cette nouvelle P7. Le dessin des jantes, en X, évoque bien sûr, le logo de la marque. La P7 reposera sur une nouvelle plate-forme dénommée « Kunpeng », avec une architecture 800V. La nouvelle génération de batterie, ultra-rapide 5C, serait capable d’encaisser une puissance de charge, permettant de récupérer un maximum d’énergie en moins d’un quart d’heure. Xpeng compte également proposer, un modèle hybride rechargeable, pouvant parcourir 1400km. Xpeng développe son nouveau système d’exploitation Xmart OS 2.0, avec affichage tête-haute à réalité augmentée, et un système de caméra à 360°, pouvant analyser l’environnement dans lequel évolue le véhicule. La marque promet une conduite semi-autonome de niveau 3.





15 Mai 2025 : Est-ce vraiment une surprise ? Toyota nous présente son bZ4X Touring, qui se présente tout simplement, comme une version break de son SUV, bZ4X. Mais on sait qu’il y a quelques jours, Subaru avait présenté son faux jumeau, le Trailseeker, partageant la même base technique que le Solterra et bZ4X. On croyait que c’est seulement Subaru qui jouerait la carte de l’originalité. Pas du tout, Toyota doit lui aussi, élargir sa gamme de véhicules électriques. Ce Toyota bZ4X Touring, reprend en grande partie, le style de son SUV de frère, à l’avant. C’est évidemment au niveau de la partie arrière, qu’il est transfiguré, avec un véhicule qui s’allonge de 14cm, comme le Subaru Trailseeker. Avec ses 4.83m de long, la capacité de chargement passe de 452 à 600 litres. Il s’équipe de barre de toit, pouvant accueillir une charge de 70kg. Pour ceux qui ne supportent pas la mode des SUV, ce break surélevé est un choix plutôt judicieux. En version simple traction, on disposera d’un bloc électrique de 224ch sur le train avant, associé à la nouvelle batterie de 74.7kWh. Elle encaisse une charge de 150kW, et elle est garantie 10 ans ou 1 million de kilomètres, avec un contrôle annuel obligatoire. Elle permet de parcourir 560km. Mais Toyota propose aussi, une version 4 roues motrices, avec une double motorisation électrique de 380ch. Le véhicule peut alors remorquer jusqu’à 1500kg.






15 Mai 2025 : L’heure du facelift a sonné pour la DS 4. D’ailleurs, ne l’appelez plus DS 4, mais plutôt, DS N°4. Ce nouveau nom s’inspire comme sa grande sœur N°8, du monde de la parfumerie de luxe. La berline compacte profite d’une face avant d’un nouveau genre. Le bloc phare principal n’évolue pas, mais la calandre est redessinée, avec un bandeau noir laqué en partie haute, et un nouveau maillage. Les feux de jour, débutant aux extrémités du bouclier, se prolongent à présent sur cette calandre. A l’arrière, pas de changement notable, à part l’inscription DS Automobile N°4, qui envahit le hayon. Dans l’habitacle, il faut savoir que cette DS N°4, est une véritable référence en termes de finition. Les matériaux sont toujours aussi cossus, et toutes les selleries sont qualitatives. L’écran central tactile de 10 pouces, profite de l’interface « DS Iris System », légèrement améliorée. Le petit écran « DS Smart Touch » situé sur le tunnel central, près du boîtier de vitesse, a disparu. DS a jugé qu’il n’apportait rien côté ergonomie. Il laisse place à un petit support. L’instrumentation numérique pour le conducteur passe elle, de 7 à 10.25 pouces, avec un graphisme particulièrement travaillé. Sous le capot, on a droit au nouveau bloc 1.2 Turbo Mild-Hybrid 48V de 145ch. Bonne nouvelle, les gros rouleurs pourront toujours profiter du bloc diesel BlueHDi de 130ch, qui a tendance à disparaître de la gamme de certains modèles, du groupe Stellantis. Le bloc hybride rechargeable de 225ch, profite de quelques modifications, avec un moteur électrique plus puissant, la nouvelle boîte eDSC7, et une batterie plus grosse passant de 10 à 14.6kWh, permettant une autonomie de 80km en mode électrique. Mais la grosse nouveauté pour cette DS N°4, c’est enfin l’arrivée d’une version 100% électrique, comptant un moteur de 213ch et une batterie de 61kWh brut (58.3kWh net). DS annonce une autonomie très respectable de 450km, et une puissance de charge de 120kW, permettant de passer de 20 à 80% de capacité, en moins de 30mn. Bref, la gamme s’élargit et le look évolue, pour cette berline qui représente, on le rappelle, un tiers des ventes de DS Automobiles.









14 Mai 2025 : Tout va très vite chez BYD. Le constructeur chinois adore maîtriser toute la chaîne de production de ses véhicules, jusqu’à la livraison de ces derniers. On le sait déjà, BYD possède des mines de lithium, notamment au Chili, ou au Brésil. BYD est également le deuxième plus gros fabricant de batterie au monde, derrière, l’autre géant chinois, CATL. Mais BYD est également le plus grand fabricant de véhicules électrifiés. D’ailleurs, sa production est passée de 3.02 millions d’unités en 2023, à plus de 4.2 millions d’unités en 2024. Pour le moment, 90% des ventes concernent la Chine, mais BYD veut améliorer son taux d’exportation. D’ici 2030, les dirigeants veulent vendre 50% de leur production totale, à l’étranger. Cela concerne bien évidemment l’Europe, mais également les pays émergents d’Amérique du Sud. Bref, le constructeur semble avoir une belle marge de progression. Pour parfaire tout ça, BYD souhaite réduire ses frais de transport. Son premier navire, BYD Explorer N°1, a pris la mer l’année dernière, et a vite été rejoint par deux autres (BYD Changzhou et BYD Hefei), en cours d’année. Ce n’est pas terminé, puisqu’un quatrième membre débarque en 2025. Si les trois premiers, d’une longueur de 200 mètres de long, peuvent embarquer 7000 voitures, le tout nouveau bébé, baptisé BYD Shenzhen, peut transporter lui, près de 9200 véhicules, grâce à ses 219 mètres de long, et sa largeur accrue. Bref, rien n’est laissé au hasard dans la stratégie des dirigeants chinois. A noter que ces quatre navires, peuvent fonctionner avec du gaz naturel liquéfié, légèrement moins polluant que le fioul. Le dernier-né peut lui, se déplacer en mode zéro émission quand il est en manœuvre dans les ports, grâce à une machinerie électrique, alimentée par des batteries BYD, bien sûr.






13 Mai 2025 : Skoda propose actuellement dans sa gamme, trois véhicules électriques, avec l’Enyaq, l’Enyaq Coupé et l’Elroq. Le constructeur Tchèque mise donc particulièrement, sur une gamme de SUV électriques, pour coller aux envies du moment. Ces trois modèles disposent d’une version RS. On a découvert il y a quelques semaines, l’inédit Elroq RS. L’Enyaq et l’Enyaq Coupé RS, profite donc d’un gros facelift et d’une remise à jour technique, pour ne pas se faire larguer par leur petit frère. Et bien sûr, on retrouve cette face avant de nouvelle génération chez Skoda, avec la calandre affinée, la disparition du logo, remplacé par le marquage Skoda, et la signature lumineuse en pointillé, séparée du bloc phare principal. On a également droit à tout l’attirail de la gamme RS, avec une caisse rabaissée de 15mm à l’avant et 10mm à l’arrière, des boucliers spécifiques, mais également des jantes, de 20 ou 21 pouces, aux choix. A bord, le simili-cuir et la suédine, habillent ce bel habitacle, à la finition soignée. Le siège baquet, côté conducteur, propose des réglages électriques, et une fonction massante. Vous pouvez contrôler toutes les fonctions du véhicules, grâce à l’écran central tactile de 13 pouces. Ces Skoda Enyaq et Enyaq Coupé RS, embarquent toujours, la double motorisation de 340ch. La batterie gagne de 2kWh (84kWh brut et 79kWh net). Skoda annonce une autonomie en légère hausse de 13km (560km au total) pour la version Coupé. La puissance de charge passe de 175 à 185kW (10 à 80% en 26mn). Le 0 à 100km/h est effectué en 5.4s et la vitesse maxi est bridée à 180km/h.









12 Mai 2025 : Le Toyota Corolla Cross se refait une petite beauté en 2025. Ce SUV compact sorti en 2020, épaule le dynamique C-HR dans la gamme du constructeur nippon. Le Corolla Cross se veut plus classique, mais surtout, plus pratique. Ce véhicule n’a jamais été commercialisé en France, contrairement à la plupart des pays européens. A la Réunion, il est bien présent, et fait le bonheur de pas mal de familles. Il sera toujours disponible en version 1.8 Hybrid de 140ch, ou 2.0 Hybrid de 197ch. Toyota propose même en option, la transmission intégrale AWD-i. Ce millésime 2025, ajoute le mode de conduite Snow Extra, qui permet d’activer de façon permanente, le moteur électrique, positionné sur le train arrière. Le Corolla Cross profite d’un aménagement intérieur légèrement revu, avec une console centrale modifié, accueillant un nouveau boîtier de vitesse, un espace de rangement plus généreux, et un chargeur par induction plus performant. On a toujours droit à l’instrumentation de 12.3 pouces, et à un écran HD central de 10.25 pouces. Le système d’info-divertissement « Toyota Smart Connect », se veut plus réactif. Le véhicule se veut également plus silencieux, grâce à de nouveaux isolants. Le style est revu au niveau de la face avant, avec un tout nouvel éclairage full LED adaptatif, un bandeau lumineux central, et une calandre en nid d’abeille. A l’arrière, on note la présence de toute petites ailettes au niveau des feux, qui profitent eux, d’une nouvelle signature lumineuse. Ce n’est pas tout, puisque vous pourrez dorénavant opter pour une finition GR Sport, qui ajoute une calandre plus agressive, un badge Toyota assombri, une sellerie en cuir synthétique GR Sport, et des jantes en 19 pouces noires.








10 Mai 2025 : Les constructeurs français cherchent toujours des solutions, pour mettre en avant leur modèle, et particulièrement les véhicules haut de gamme, qui n’ont que rarement connu, le succès à l’internationale. La solution, c’est de faire appel aux plus hautes instances du pays. On parle évidemment du président de la République. On a pu faire connaissance avec une certaine DS 7 présidentielle, puis, Renault a enchaîné avec son Rafale. DS est de retour avec sa N°8. La toute nouvelle berline premium française a fait ses débuts, avec à son bord, le président Français, lors des commémorations de ce 8 mai. La teinte bleu saphir et le toit noir, lui vont à ravir. Une petite première pour l’occasion, puisque c’est la première fois, que le chef d’état se promenait dans un véhicule 100% électrique, lors d’un événement officiel. Bien évidemment, cette DS N°8 présidentielle, est entièrement blindée, et profite d’une finition aux petits oignons. Même si nous n’avons pas encore testé cette berline, on sait déjà que sa finition sera exceptionnelle. Le véhicule présidentiel ajoute quelques spécificités, avec une planche de bord d’une marqueterie de paille de céréales, fabriquée par les ateliers Lison de Caunes, des garnitures en satin bleu signé Hermès, et un tissu plissé bleu de l’atelier Lognon, pour les contre-portes. C’est la meilleure façon de mettre en avant, le savoir-faire français, dans le monde du luxe. Le toit ouvrant est sécurisé, et le système audio Focal, est également spécifique à ce modèle unique. Bien sûr, le Président a droit au modèle le plus haut de gamme, avec batterie de 97.2kWh. Vu le poids de l’engin, avec son blindage, l’autonomie ne doit pas égaler les 750km, du modèle de série.







10 Mai 2025 : Le Directeur général de Renault, Luca de Meo, et le service marketing de la marque, veulent frapper fort, concernant la fin de carrière de la très populaire Clio 5. On rappelle que ce véhicule, est tout simplement, le modèle le plus vendu en France en 2024, devant la Citroën C3 et la Peugeot 208. Avant de découvrir la sixième génération, prévue au début de l’année 2026, Renault souhaite booster une dernière fois, les ventes de sa citadine compacte. On a donc droit à cette nouvelle finition, dénommée Génération. La Renault Clio Evolution représentait l’entrée de gamme. La marque au losange frappe plus fort, avec cette Renault Clio Génération, qui est disponible à un tarif de 16 900€ en France (-2700€), tout en étant, mieux équipée. Renault propose des jantes alu 16 pouces en supplément, les vitres arrière surteintées, et quatre teintes de carrosserie (Orange Valencia de série, et Noir étoilé, Gris shiste ou Bleu iron en option). Cette Clio sera disponible à partir de 16 900€ en version SCE 65ch BVM5, à 18 500€ en version 1.0TCe 90ch BVM6, ou 18 000€ en version GPL 1.0TCe 100ch. L’équipement de série comprend entre autres, les feux arrière à LED, le système multimédia Easy Link 7 pouces avec réplication du smartphone, l’instrumentation numérique 7 pouces, l’aide au maintien dans la voie, le régulateur de vitesse, et la climatisation manuelle. Qui dit mieux ?





09 Mai 2025 : A croire que le monde automobile était mieux avant. Les avancées technologiques, les systèmes connectés, les designs innovants, n’ont pas d’effets sur certaines personnes, et elles commencent à être nombreuses. Résultat, on voit naître un panel de restomods. Aujourd’hui, on s’intéresse à l’Audi Sport Quattro, le fameux coupé de la firme à l’étoile, qui faisait des heureux sur la route, mais également en course. ABT, spécialisé dans la préparation des Audi, nous présente sa vision de la bête. Cette dernière a été conçu, en partenariat avec LCE Performance. La base technique, est un châssis d’Audi 80. ABT a modifié les trains roulants, et retravaillé les réglages de suspensions, par rapport à LCE Performance. Elle reprend trait pour trait, le look du modèle originel, mais la carrosserie fait appel au carbone et kevlar. Les jantes sont un peu plus grandes également, et les pneus plus larges. D’ailleurs, il faut bien ça, pour essayer de contrôler l’engin. Le bloc 5 cylindres 2.1L Turbo de l’époque, développant 306ch, n’est plus d’actualité. ABT et LCE, font appel au 5 cylindres 2.5L Turbo des Audi RS3 et TTRS, mais avec une puissance majorée, de 530ch. ABT prévoyait de commercialiser 25 exemplaires, mais a dû ajouter cinq véhicules à sa production, afin de combler ses plus fidèles clients. Cette ABT Audi uR-Quattro, n’est donc plus disponible à la vente.




08 Mai 2025 : Brad Pitt sera à l’affiche du film F1, au mois de juin 2025, avec à ses côtés, le jeune acteur, Damson Idris. Pour tous les passionnés de Formule 1, l’attente est grande, mais il faut bien reconnaître que l’industrie cinématographique mondiale, n’a jamais véritablement réussi à nous pondre un film digne de la Formule 1. Le film Rush, de Ron Howard, sorti en 2013, est néanmoins une magnifique exception à la règle. Ce nouveau film, porté par Brad Pitt, a été réalisé avec le concours de Mercedes AMG. On rappelle que l’équipe de tournage, a réussi à se fondre dans la masse en 2024, en intégrant le paddock de Formule 1, lors de certains Grand-Prix. En attendant de voir ce que ça donne sur grand écran, Mercedes a décidé de proposer une série limitée, de son coupé GT 63. Cette Mercedes-AMG GT 63 APXGP (pour APEX Grand-Prix : équipe fictive du film), se concentre sur un certain nombre d’éléments stylistiques. On a droit à une carrosserie de couleur gris mat, avec stickers au niveau de la poupe. Une teinte Race Gold, habille la calandre Panamerica, les ailes avant, les bas de caisse, le diffuseur, et les jantes exclusives en 21 pouces. Le véhicule est équipé d’un aileron arrière fixe, en fibre de carbone, et d’étriers de frein noir, avec système carbone céramique. Le noir et le doré, ornent également l’habitacle de cette GT 63 APXGP. Du cuir nappa et de la microfibre sur les sièges, avec surpiqûres assorties, un éclairage d’ambiance spécifique, de nombreux inserts en carbone, des seuils de porte qui s’illuminent en doré, des tapis de sol APXGP, une console centrale numérotée, le client profitera en prime, d’une housse de protection extérieure personnalisée par AMG. Ce petit monstre est toujours propulsé par son V8 4.0L Bi-Turbo de 585ch et 800nm de couple, avec transmission intégrale et boîte automatique MCT 9G. Ce futur collector sera produit à seulement 52 exemplaires.











07 Mai 2025 : Tous les véhicules qui sortent des ateliers de Singer, sont pratiquement des œuvres d’art. Le prestigieux préparateur américain, restaure et magnifie, la mythique Porsche 911, depuis déjà quelques années. Cette fois-ci, Singer rend hommage à la fabuleuse 911 Carrera Turbo Look, de 1984. A l’époque, on avait donc droit au look de la 930 Turbo, avec voies et ailes élargies, le système de freinage, mais pas au moteur turbocompressé. On vous présente donc, la réinterprétation de Singer. Comme d’habitude, le préparateur reprend le châssis de la 911 Type de 964, sortie en 1989, et l’arrange à sa sauce. Cette Singer Carrera Coupé profite d’une carrosserie sur mesure, en fibre de carbone, avec des ailes particulièrement larges, deux types de bouclier avant, trois types d’aileron, des jantes Fuchs de 18 pouces à écrou central, et une magnifique double sortie d’échappement en titane. On note également, la présence de ces petits feux escamotables, sur le capot avant. Le client pourra donc, modifier certains éléments de la carrosserie, tout comme l’habitacle de son véhicule. On peut choisir une version extrême, avec arceau de sécurité à l’arrière, ou opter pour deux jolies assises d’appoint. La finition frise la perfection, avec un intérieur fabriqué à la main, une instrumentation vintage, un boîtier de vitesse avec mécanisme apparent, et un large choix de sellerie. Sous le capot moteur, on retrouve un Flat 6 de 4.0L, développé par Cosworth, qui développe 420ch à 8000tr/mn. La culasse dispose d’un refroidissement liquide. La suspension pilotée et le système de freinage en carbone céramique, sont de série. Singer produira 100 exemplaires de sa Carrera Coupé, à un tarif de plusieurs centaines de milliers d’euro, comme à son habitude.

















06 Mai 2025 : Subaru vient tout juste de restyler son premier SUV 100% électrique, le Solterra. Ce cousin du Toyota bZ4X, propose les mêmes caractéristiques techniques, mais Subaru le commercialise à présent, uniquement en version 4 roues motrices. Un modèle électrique dans la gamme, ce n’est pas suffisant à l’heure actuelle. Subaru a décidé de diversifier son offre, en proposant une seconde déclinaison. Il s’agit du Trailseeker, une sorte de break surélevé électrique, qui sera commercialisée en Amérique du Nord, dès 2026. Ce dernier pourrait bien arriver en Europe par la suite, et prendre la place du Forester. Pas de révolution côté mécanique donc, puisque ce Subaru Trailseeker, reposera donc, sur la plate-forme e-TNGA de Toyota, appelée e-SGP, pour e-Subaru Global Platform. L’empattement n’évolue pas, mais avec ses 2.85m, l’habitabilité est assurément confortable. Le véhicule prend néanmoins 14cm par rapport au Solterra, en passant de 4.69m à 4.83m. Cela permet de disposer d’un coffre bien plus vaste, dont la valeur n’est pas encore communiquée. Le style est assez intéressant, avec de nombreux galbes de profil, des passages de roue en plastique brut, une poupe assez carrée avec bandeau lumineux, et une face avant, en grande partie carénée. Ce Subaru Trailseeker ne mise pas sur l’élégance, mais sur son look de baroudeur. Ce break dispose en prime, d’une garde au sol de 21cm et des quatre roues motrices. Il profite de nouveaux réglages de suspensions et de direction, se dote de plusieurs modes de conduite, et d’un contrôle de descente. Le système EyeSight, s’occupera de votre sécurité, avec un panel d’aides à la conduite. Le Trailseeker propose une double motorisation électrique de 375ch, et une batterie de 74.7kWh brut, offrant plus de 500km d’autonomie. Le 0 à 100km/h est expédié en 4.4s. La puissance de charge de 150kW en courant continu, permet de passer de 10 à 80% de capacité, en 35mn. Aux places avant, on retrouve les atouts du Solterra, avec une petite instrumentation placée en hauteur pour le conducteur, et le nouvel écran central tactile de 14 pouces.






05 Mai 2025 : Face aux normes de pollution, de plus en plus strictes, notamment en Europe, le marché des pick-ups est clairement menacé. Ford a opté pour la technologie hybride rechargeable concernant son Ranger, et Nissan a fait de même, pour son Frontier. Isuzu a choisi une autre voie, celle du 100% électrique. Son D-Max abandonne donc son classique bloc diesel à l’occasion du Salon de Birmingham 2025, pour une machinerie zéro émission. On retrouve sous le capot avant, un bloc électrique de 58ch, et le train arrière accueille une unité de 132ch. La puissance cumulée est de 188ch pour un couple de 325nm. Le véhicule dispose donc, d’une transmission intégrale permanente. Le tout est associé à une batterie de 66.9kWh. Cet Isuzu D-Max EV mise donc sur une batterie de petite taille, afin de réduire le poids de l’engin. Cela profite à la charge utile dans la benne, qui est d’une tonne. La capacité de remorquage est de 3.5 tonnes. Si on ajoute sa garde au sol de 21cm, et sa capacité de franchissement de gué de 600mm, ce D-Max EV affiche exactement les mêmes atouts que la version diesel. L’autonomie est par contre, beaucoup moins intéressante, avec ses 263km, selon le cycle WLTP. Résultat, il s’adresse surtout à une clientèle professionnelle (artisan ou agriculteur), qui utilisera ce pick-up de 2350kg, dans la limite de leur région. Traverser la France à son volant sera assez compliqué, avec sa batterie, qui encaisse une charge de 11kW en courant alternatif (0 à 100% en 10H) et de seulement, 50kW en courant continu (20 à 80% en 1H).






04 Mai 2025 : Stellantis mise sur des plates-formes communes pour toute sa gamme, et c’est une logique normalisée dans tous les groupes automobiles. On connaît les Peugeot 3008 et 5008, l’Opel Grandland, et on vient juste de faire connaissance avec le Citroën C5 Aircross, cette semaine. Le cinquième modèle à profiter de la plate-forme STLA Medium, sera une Jeep. Il s’agit du Compass de nouvelle génération, qui évolue en profondeur. Bien sûr, on ne connaît pas encore les fiches techniques complètes, mais on sait qu’il sera disponible, en version micro-hybride, hybride rechargeable, ou 100% électrique. On peut donc miser sur des puissances variant de 145ch à 375ch. Stellantis nous dévoile quelques photos, de ce nouveau SUV compact. Il paraît plus musculeux que la génération actuelle, et son style est plus affirmé. On dirait un Jeep Avenger sous stéroïdes. Le constructeur semble avoir opté pour une garde au sol élevée, correspondant à la philosophie de la marque. Ce Jeep Compass 2025, arbore des LEDs, au niveau de sa calandre, rappelant les sept fentes de l’époque. On note également, le soin apporté à l’habitacle, avec des matériaux et des technologies, qui montent en gamme. Jeep prévoit un lancement à la fin de cette année 2025 en Europe, avec une chaîne de fabrication en Italie. Pour l’Amérique du Nord, ça semble plus compliqué, puisque ce modèle devait être à la base, assemblé au Canada, le pays disposant de l’infrastructure et des compétences adéquates. Les droits de douane américains, posent évidemment de sérieux problèmes, et sa commercialisation risque d’être fortement retardée.








03 Mai 2025 : Les constructeurs les plus prestigieux au monde, adorent se provoquer. Aston-Martin nous présente la dernière évolution de sa DBX. Depuis 2019, le modèle a gagné pas mal de chevaux, en passant de 550ch à 707ch, après la sortie de la DBX707 en 2022. La marque de Gaydon en rajoute une couche aujourd’hui, avec sa DBX S. Le V8 4.0L Bi-Turbo d’origine AMG, développe à présent, 727ch. C’est 2ch de plus que la Ferrari Purosangue, mais 11ch de moins, que le Porsche Cayenne Turbo Hybrid, et 21ch de moins, que le BMW XM Red Label. On ne comprend pas vraiment la course à la puissance pour ce genre d’engin, qui n’a à l’origine, pas la prétention d’être de véritables sportives. Aston-Martin annonce un 0 à 100km/h en 3.3s, et 310km/h en pointe. Le style a été retravaillé, avec des boucliers, des bas de caisse, et un diffuseur, redessinés. On note la présence d’un liseré rouge autour du véhicule, et l’adoption d’une nouvelle ligne d’échappement, avec deux doubles sorties, à la verticale. Le client pourra alléger ce SUV, en optant pour une calandre en polycarbonate, des jantes en magnésium, un toit, un diffuseur, et des boucliers, en carbone. Le gain est d’environ 47kg. Attention, ce monstre frôlera de toute façon, les 2.2 tonnes. L’habitacle de cette Aston-Martin DBX S, est personnalisable à l’envie, avec des sièges bi-ton, en alcantara et cuir, ou 100% cuir, des motifs spécifiques, des touches de rouge, un nouvel éclairage d’ambiance, et un système audio de 800W à 14HP, ou de 1600W à 23HP.









02 Mai 2025 : Un nouvel acteur automobile s’apprête à voir le jour aux Etats-Unis. Slate Auto, est une nouvelle start-up, spécialisée dans la conception de véhicules électriques. Son avantage, c’est certainement son actionnaire principal, le multimilliardaire, Jeff Bezos. Après avoir conquis l’espace, comme son alter-ego Elon Musk, Jeff Bezos a peut-être envie de venir le titiller sur le marché des véhicules électriques. Ce n’est pas vraiment l’objectif en fait, puisque ce futur modèle de la gamme, est en quelque sorte, une anti-Tesla. Dans ce monde, boulimique aux SUV, aux crossovers, et aux nouvelles technologies, Slate Auto souhaite clairement prendre une autre direction. C’est sans doute le début de cette fameuse décroissance économique, dont on entend parler. Ce concept de pick-up que nous vous présentons aujourd’hui, est avant tout, un produit essentiel et très basique dans sa conception. Il est même convertible, et peut prendre l’apparence d’un 4x4 classique avec une cabine normale pour le transport de passagers, ou se transformer en un engin ultra-fun, sans portières et avec arceau. Son design néo-rétro, son style très rectiligne, ses feux ronds, ses jantes en tôle, ses gros pneus à flanc large, on pourrait supposer que ce vilain petit canard n’a rien pour lui. Et pourtant, ce véhicule serait une véritable bouffée d’oxygène, sur un marché automobile très, ou trop, conventionnel. Cette future Slate-Auto, dont on ne connaît pas encore le nom, a autant de charme qu’un Ford Bronco, Land-Rover 90 ou Jeep Wrangler. Dans l’habitacle, c’est exactement la même philosophie, avec une mini-instrumentation pour le conducteur, une absence totale d’écran tactile, et même, des manivelles pour les vitres. Les trois molettes pour les réglages de la climatisation, semblent bien esseulées. Vous aurez tout de même le loisir, d’ajouter quelques options, et on rappelle, qu’il est modulable et transformable à souhait. La petite firme, basée à Troy, dans le Michigan, a fourni quelques données techniques. Le moteur électrique d’une puissance de 200ch, sera alimenté par une batterie de 57.2kWh (Autonomie de 241km) ou de 84.3kWh (386km). Ce véhicule sera assemblé dans une ancienne imprimerie de Varsovie, dans l’Indiana, avec 2000 emplois à la clé. Néanmoins, de nombreuses pièces, proviendront de Chine. Les droits de douane de l’administration américaine, ne réjouit pas forcément Jeff Bezos. Il faut savoir que les dirigeants de Slate Auto et le milliardaire, ont déjà annoncé un tarif de base de 25 000$. Si Trump n’annule pas le crédit d’impôt pour l’achat de ce type d’engin, la facture pourrait passer sous les 20 000$. Véhicule basique, électrique, durable et fiable, Slate-Auto, réussira-t-elle à nous surprendre ?











01 Mai 2025 : Comme par le passé, Ferrari se devait de proposer une version extrême de sa berlinette actuelle. Les 296GTB et 296GTS, ont donc droit à une petite cure de vitamines et à un petit régime. On vous présente les Ferrari 296 Speciale pour le coupé, et 296 Speciale A, pour la version cabriolet. Le coupé perd 60kg sur la balance, et le cabriolet, 50kg. Carbone, fibre de carbone tressé et aluminium à tous les étages, ces véhicules ont été allégés, mais la liste d’équipements reste égale à celle du modèle classique. Le V6 3.0L Bi-Turbo s’offre des pistons renforcés et un nouveau vilebrequin, pour un gain de 37ch, alors que le bloc électrique MGU-K, gagne 13ch. Résultat, la puissance culmine à présent à 880ch (+50ch), pour un couple de 755nm (+15nm). La batterie rechargeable de 7.45kWh, permet de rouler en mode zéro émission, pendant 25km. Cette énergie sera habituellement mise, au service de la performance. Ces 296 Speciale et Speciale A, profite d’un nouveau package aérodynamique, avec un bouclier avant en carbone redessiné, des bas de caisse plus larges, et des ailettes supplémentaires au niveau de la poupe, en plus de l’aileron mobile. La monte pneumatique Michelin Pilot Sport Cup 2, vous ravira certainement sur circuit. D’ailleurs, avec un 0 à 100km/h effectué en 2.8s (-0.1s), un 0 à 200km/h en 7.0s (-0.3s), et une vitesse maxi de 330km/h, vous aurez du mal à exploiter ce potentiel sur route ouverte. Pour être honnête, 99% d’entre-nous, ne détecterait pas les différences, avec le modèle originel. Ce véhicule se destine à des passionnés de la marque, ou carrément, à de vrais pilotes.











30 Avril 2025 : Citroën n’est pas dans la meilleure forme de son histoire, alors c’est toujours une fête, quand un nouveau modèle débarque. La deuxième génération de C5 Aircross, et ce n’est pas une surprise, reprend la plate-forme STLA Medium, de ses cousins, Peugeot 3008, Peugeot 5008, et Opel Grandland. Avec ses 4.65m de long, 1.90m de large, et son empattement de 2.78m, il choisit de se rapprocher du Grandland sur ce point. Au niveau de son style, il est très fidèle au concept, présenté au Mondial de Paris 2024. On a droit aux nouveaux codes stylistiques Citroën, avec une signature lumineuse très fine, avec des barrettes, en grande partie, horizontales. Le design est beaucoup plus tendu sur cette nouvelle génération, le capot avant est creusé, les bas de caisse sont travaillés au niveau de la portière avant, et les feux arrière semblent faire office, d’éléments aérodynamiques. Dans l’habitacle, ce Citroën C5 Aircross est bardé de plastiques et de tissus recyclés. Du plastique noir laqué, habille le tunnel central. Le dessin rectiligne de la planche de bord, l’instrumentation numérique de 10 pouces, l’écran central tactile de 13 pouces, le volant deux branches avec touches à retour haptique, les nombreux rangements, la présentation est tout simplement moderne, sans être d’une grande originalité. A l’arrière, il perd ses trois sièges indépendants, pour une banquette classique 40/20/40. De série, on dispose des sièges « Advanced Confort », avec cette fameuse mousse interne à haute densité. La capacité de chargement de 565 litres, est dans la bonne moyenne. On rappelle que le véhicule a pris 15cm en longueur. Pas de surprise non plus sous le capot moteur, avec la présence du bloc 1.2 Micro-Hybrid 48V eDSC6 de 145ch, le bloc hybride rechargeable 1.6L de 195ch, avec batterie de 21kWh (86km en mode électrique), et deux versions électriques. La première s’équipe d’un bloc électrique de 210ch avec batterie de 73kWh, offrant une autonomie de 520km. Une version longue autonomie de 230ch, se dote d’une batterie de 97kWh, pour une autonomie de 680km. Cette batterie de 97kWh, construite en France, est fournie par ACC (Automotive Cells Company), une société détenue par Stellantis, Mercedes-Benz et Total, à parts égales. Encore un cocorico pour ce Citroën C5 Aircross, qui sera produit à Rennes. Et pourtant, le ticket d’entrée à seulement 35 000€, est surprenant pour un SUV de cette taille. Le C5 Aircross semble avoir dans sa ligne de mire, un certain Dacia Bigster.











29 Avril 2025 : Nissan est dans la tourmente, mais pas résignée pour autant. Le constructeur nippon prépare l’arrivée sur le marché chinois, de son premier pick-up Hybride rechargeable. Ce nouveau modèle a été conçu par la coentreprise chinoise de la marque, Zhengzhou Nissan. Ce Nissan Frontier Pro s’équipe donc d’une plate-forme spécifique, capable d’accueillir une motorisation thermique et un gros bloc électrique. Cette double motorisation fournit une puissance de 408ch et un couple confortable de 800nm. Pas de données sur les capacités de la batterie, mais le véhicule peut parcourir 135km en mode électrique. Bien évidemment, il s’équipe d’une transmission intégrale intelligente, avec blocage électromécanique arrière. Ce baroudeur dispose de quatre modes de conduite (Hybride, Electric, Performance, Neige). La suspension arrière à cinq bras, améliore le confort et le comportement routier. Ce pick-up est un excellent utilitaire et véhicule de loisirs. On peut même aller très loin, avec un habitacle spacieux et confortable. Le Nissan Frontier Pro PHEV s’équipe d’une instrumentation numérique de 10 pouces, d’un écran central tactile de 14.6 pouces, d’un toit panoramique, de sièges chauffants, ventilés et massants, et de la fonction V2L, permettant d’alimenter des appareils électriques. Nissan prévoit de le commercialiser un peu plus tard, sur d’autres marchés. Ce pick-up hybride rechargeable, serait parfaitement adapté au marché français par exemple. On finit par le style, avec son dessin moderne et musculeux, et ce petit clin d’œil au Nissan Navarra D21, avec les trois barres centrales lumineuses.










29 Avril 2025 : Un petit point sur la santé économique du monde de l’automobile. Une des marques les plus en difficultés ces derniers mois, s’appellent Nissan. Après avoir pris la confiance, il y a quelques années, en essayant d’éjecter son investisseur principal, le groupe Renault, le constructeur nippon se retrouve aujourd’hui, la tête dans l’eau, comme dans les années 90. Le directeur général, Makoto Uchida, a été limogé il y a quelques semaines, après l’échec des négociations avec Honda, concernant une éventuelle fusion. La firme, prédisait déjà une perte d’environ 80 milliards de Yen (500 000 millions d’euro). Le nouveau patron, Ivan Espinosa, a souhaité rétablir la vérité. La perte ne sera pas de 500 millions, mais plutôt de 4.5 milliards d’euro. Pionnier des voitures électriques avec sa Leaf, Nissan est à présent très en retard concernant cette technologie. Un partenariat avec un grand constructeur chinois, serait une solution envisagée. Nissan souhaite également, réouvrir les discussions avec Honda, afin de réduire ses frais de développement, en vue de renouveler sa gamme. A cela s’ajoutent les frais de douanes de l’administration américaine, qui posent de sérieux soucis à Nissan, sur ce marché capital, pour sa survie.


Il faut parfois des décennies avant qu’une nouvelle marque automobile, soit reconnue, et respectée, dans le monde. Tesla, ce petit constructeur, né en 2003, à San Carlos, en Californie, a réussi le pari, de s’imposer rapidement sur la planète. A l’époque, les stars d’Hollywood, étaient fières de pouvoir s’afficher au volant du petit roadster de la marque, ou de la grande berline, Model S. C’était une mode, mais également une philosophie écologique, à long terme. En seulement quelques mois, son dirigeant, a réussi à tout gâcher. Depuis son implication dans la campagne présidentielle américaine, et son soutien à plusieurs parties d’extrême droite européens, Elon Musk a durablement abîmé l’image de Tesla. Peu importe votre partie politique, on sait qu’une très grande majorité de personnes, ne prendront pas le risque d’investir dans un modèle de la firme californienne. Les résultats catastrophiques du premier trimestre 2025, le prouvent. Les ventes sont inférieures de 13% par rapport à l’année dernière, mais c’est surtout le bénéfice qui est en chute libre, avec -71%. On rappelle que la capitalisation boursière de l’entreprise, a été divisée par deux, depuis décembre 2024. Et pourtant, Tesla reste une marque totalement surcotée, par rapport à son chiffre d’affaires. Elon Musk, à la tête du DOGE (Département de l’efficacité gouvernementale américain), a décidé de consacrer plus de temps à Tesla, mais il est sûrement trop tard. Vu sa réputation en berne, le milliardaire pourrait causer encore plus de dégâts à la marque. Tesla a besoin de se faire une virginité, et sa destitution à la tête de l’entreprise est maintenant sur la table, selon de nombreux économistes.

Contrairement à BMW, qui produit la plupart de ses SUV à Spartenburg, en Caroline du Sud, Audi est beaucoup plus en difficulté sur le marché américain. Effectivement, la star de la gamme aux anneaux en Amérique du Nord, s’appelle Q5, et ce dernier est fabriqué au Mexique, depuis de nombreuses années. Audi est dans l’attente, concernant le marché américain, en bloquant l’importation vers les Etats-Unis, de certains modèles de la gamme. Concernant son Q5, Audi prévoit une hausse des tarifs substantielle, avec un prix de base qui passe de 46 695$ à 53 495$, soit 6800$ de plus. Cela risque forcément d’impacter les ventes, mais Audi compte néanmoins rester sur le marché étatsunien, sans pour autant déménager. On ne construit pas une usine en quelques mois, ni une ligne de production. Le plus gros problème, reste la formation des ouvriers. On connaît le cahier des charges, très stricte, des constructeurs allemands. Quitter le Mexique, poserait également quelques soucis diplomatiques, à long terme. On rappelle qu’une multitude de pièces détachées, proviennent du Mexique et du Canada.

27 Avril 2025 : Ca innove encore du côté de la Chine. A l’occasion du Salon de Shanghai, MG nous dévoile le concept Cyber X. Et en Chine, tout va très vite, puisque le constructeur a déjà annoncé la commercialisation du modèle de série, dans quelques mois. Pour dessiner ce concept, MG a embauché Josef Kaban, un designer de renom, ayant déjà œuvré chez Skoda, Seat, Volkswagen et Bugatti. Le MG Cyber X, arbore un look de 4x4 pur et dur, avec ses formes cubiques, sa carrosserie lissée, et ses jantes bicolores de 20 pouces, armées de pneus tout-terrain. Les feux avant escamotables, s’inspirent des années 80. Bien sûr, il est un peu tôt pour connaître la fiche technique complète de ce futur baroudeur. Néanmoins, MG annonce l’avoir équipé de la nouvelle plate-forme E3 du groupe SAIC. La batterie de type « Cell-to-body » participe à la rigidité du châssis. Pour l’interface du système d’info-divertissement, MG a fait appel, au constructeur chinois de smartphone, OPPO. Le but est de rester connecter en permanence avec son véhicule, mais également avec le monde extérieur, une fois en route. Il faudra attendre un peu avant de découvrir l’habitacle de ce SUV compact 100% électrique, de 4.30m de long.






26 Avril 2025 : Porsche propose une série limitée de plus, concernant sa 911. Le constructeur s’inspire des années 70, et modifie sa 911 Carrera GTS Cabriolet, en conséquence. Ce véhicule, dont la production sera limitée à 1500 exemplaires, arbore une teinte vert olive, et une multitude de détails. Une teinte grise or, nommé Bronzite, recouvre les magnifiques jantes Fuchs, et une partie des boucliers. Impossible de rater l’inscription 911 sur le capot avant, prolongée par des bandes. On a également le numéro sur les portières, au choix du client. Dans l’habitacle, les motifs sur les sièges, le long de la planche de bord, dans la boîte à gants, le tapis de sol du coffre, et sur les contre-portes, risquent de ne pas faire l’unanimité, avec un sentiment de vertige quand on les fixe un peu trop longtemps. La sellerie se pare également, de cuir noir basalte, et de surpiqûre olive neo. L’instrumentation à chiffre vert, est spécifique. Cette Porsche 911 GTS Spirit 70, dispose de la motorisation hybride, flat6 3.6L Turbo, de 541ch. Le tout est associé à la boîte PDK à 8 rapports. Porsche proposera une teinte de carrosserie noire, et un intérieur noir et gris, pour les plus discrets d’entre-nous. Enfin, quand je dis nous, cela concerne les personnes, qui pourront débourser la coquette somme de 247 200€ (Hors malus écologique de 70 000€). C’est un surcoût de 52 400€, par rapport à la classique GTS Cabriolet.















25 Avril 2025 : Lexus, voilà une marque extrêmement discrète en Europe, et quasiment inexistante à la Réunion. La filiale premium de Toyota, a toujours préféré se concentrer sur son marché domestique, la Chine, ou l’Amérique du Nord. Il va y avoir du changement dans la gamme, à l’occasion de la sortie de la Lexus ES de huitième génération. Elle vient d’être dévoilée au Salon de Shanghai, et semble vouloir changer de catégorie. Elle doit logiquement se renouveler, afin de remplacer son aïeul, qui date de 2019, mais elle doit également se préparer à pallier la disparition de sa grande sœur, la limousine LS. Elle grandit donc de 16cm, en passant de 4.98m à 5.14m. On remarque immédiatement, cette lunette arrière très inclinée, qui lui donne des airs de coupé. On note aussi la présence de cette découpe au niveau des portières, avec des éléments noir laqué. La signature lumineuse très agressive, le capot plongeant, les petits losanges au niveau des entrées d’air avant, les plis de carrosserie au niveau du pare-chocs arrière et de la malle, le design est plutôt intéressant. Néanmoins, cette nouvelle berline premium, ne pourra certainement pas concurrencer, à elle seule, des véhicules tels que l’Audi A6, Audi A7 ou Audi A8. Cela vaut aussi, pour les autres constructeurs allemands. Dans l’habitacle, c’est propre et net, avec uniquement certains boutons à retour haptique, une instrumentation numérique de 12.3 pouces, et un écran central de 14 pouces. Sous le capot, le bloc hybride 4cylindres de 2.5L, équipe le modèle 300h de 201ch, et la version 350h de 247ch. Cette dernière peut disposer d’une transmission intégrale en option. Mais ce Lexus ES, sera à présent disponible, en version 100% électrique. Lexus propose une version monomoteur traction 350e, de 224ch, et une double motorisation 4WD 500e, de 343ch. Le constructeur nippon n’a pas encore communiqué sur la capacité de la batterie et l’autonomie.












24 Avril 2025 : Après MG et BYD, la prochaine marque chinoise à s’imposer en Europe, sera peut-être Leapmotor. On rappelle qu’il s’agit d’une filiale chinoise du groupe Stellantis. Le géant franco-italo-américain, a compris qu’une association avec un groupe chinois, était la meilleure solution à long terme. Après la citadine T03, le SUV compact B10, et le SUV familial C10, Leapmotor nous propose une grande berline très consensuelle, dénommée B01. Elle repose sur la même plate-forme technique que le SUV B10, mais la berline est bien plus imposante, avec ses 4.75m. Elle est même plus grande qu’une Tesla Model 3, et ses 4.72m. Avec une inflation galopante et une conjoncture économique toujours plus compliquée, Leapmotor souhaite proposer un véhicule simple, mais technologique, à prix d’ami. Côté technique, on sait qu’elle proposera deux niveaux de puissance au choix, de 180 ou 218ch. Elle disposera également de deux types de batterie LFP, produits par CALB (China Aviation Lithium Battery). La Leapmotor B01, promet une autonomie minimum, comprise entre 400 et 450km, et bien plus encore, si elle reprend la grosse batterie de la B10. L’architecture LEAP 3.5 promet une belle connectivité avec le monde extérieur, une compatibilité logicielle améliorée, et des assistances à la conduite dernier cri. En option, on peut l’équiper d’un Lidar, avec une conduite semi-autonome avancée de Niveau 2+. Sous ses airs de berline sage, cette B01 est un véritable ordinateur sur roue. Mais c’est surtout au niveau des tarifs, qu’elle va faire mal. Si elle est proposée entre 13 000 et 20 000€ en Chine, Leapmotor souhaite la commercialiser en Europe, à un tarif d’entrée de gamme, d’à peine 30 000€. C’est le type de véhicule, qui pourrait démocratiser une fois pour toute, le marché des voitures électriques.





23 Avril 2025 : Les Mercedes Vito et Classe V actuelles, datent de 2014, et ça commence à faire long, même pour un véhicule à usage professionnel. La marque à l’étoile s’apprête à renouveler son monstre en 2026, et nous livre déjà un petit aperçu, de l’engin. Bien sûr, ce concept Vision V, doit vous en mettre plein la vue, et le constructeur se concentre principalement sur le Classe V, le transporteur de passagers. Ce futur modèle reposera sur la nouvelle plate-forme VAN.EA pour la version 100% électrique. Ce châssis sera modifié, et se nommera VAN.CA, pour les moteurs thermiques. On a donc affaire à un modèle multi-énergie. Ce concept de 5.48m de long et 2.10m de large, arbore un style fort, avec une calandre gigantesque rétro-éclairée, à lamelles, et un logo lumineux sur le capot. L’éclairage traversant à LED, en partie haute, rappelle le tout nouveau CLA. De profil, les portes creusées au niveau des bas de caisse, les ailes galbées, les jantes de 24 pouces, et l’entourage chromé des vitres, lui donnent une sacrée allure. Le hayon dispose d’une énorme surface vitrée, et d’un pourtour lumineux à 450 LEDs. L’habitacle, en blanc cristal, est tout aussi impressionnant, avec des sièges ergonomiques, aussi bien à l’avant qu’à l’arrière, des vitrines latérales, et une tablette centrale faisant office d’échiquier. On peut opacifier la paroi, donnant sur le conducteur. Justement, à l’arrière, on peut profiter d’un immense écran 4K de 65 pouces, et d’une installation phonique Surround Dolby Atmos à 42 haut-parleurs. Afin de parfaire votre séance cinéma, Mercedes a installé des vitres latérales qui s’opacifient, et pas moins de sept projecteurs, au niveau du sol et du plafond, pour une immersion totale à 360°.











22 Avril 2025 : Il y a quelques jours, Mazda dévoilait son premier SUV familial 100% électrique, l’EZ-60. Sur le vieux continent, le constructeur nippon a décidé de le nommer, CX-6e. On connaît aujourd’hui, les caractéristiques techniques de ce véhicule, mais on peut également découvrir son habitacle, qui marque une vraie évolution par rapport au reste de la gamme. Ce Mazda CX-6e proposera trois motorisations à l’international. Le continent européen privilégiera très certainement, les deux versions électriques, de 215 ou 255ch, associées à des batteries de 68.8 ou 80kWh. Dans le meilleur des cas, l’autonomie sera de 500km. Un modèle R-EV, avec prolongateur d’autonomie, fera le bonheur des gros rouleurs. Ce dernier accueille un moteur thermique 1.5L, associé à un bloc électrique de 255ch, et une batterie LFP de 31.73kWh. En mode électrique, le véhicule peut parcourir jusqu’à 160km. Si vous activez d’entrée de jeu, le mode hybride, vous pourrez parcourir alors, 1300km, d’une seule traite. Mais la révolution se passe surtout à l’intérieur de ce véhicule. Mazda a toujours misé sur des habitacles traditionnels et ergonomiques. Sur ce CX-6e, c’est tout l’inverse, avec une planche de bord qui se pare, d’une énorme dalle 5K de 26.45 pouces. Les commandes physiques ont pratiquement toutes disparues, sauf sur le volant. Sur le pare-brise, on a droit à une multitude d’informations de conduite, grâce à un affichage tête-haute de 100 pouces. On remarque aussi, les deux petits écrans supplémentaires, pour les rétroviseurs caméras. Avec une longueur de 4.85m et un empattement de 2.90m, on ne se fait pas de soucis pour l’habitabilité. Les passagers pourront en prime, profiter d’un système audio Dolby Atmos à 23 haut-parleurs. Dommage, le coffre est véritablement petit avec ses 350 litres, mais le frunk de 126 litres, sous le capot avant, sauve la mise. Côté tarifs, Mazda est plutôt agressif, avec une gamme qui devrait se situer, entre 43 000 et 48 000€.







20 Avril 2025 : En Europe, Ford semble essentiellement se concentrer sur ces modèles électriques. On a vu apparaître ces derniers mois sur notre marché, le Ford Explorer, la Capri, et la petite Puma Gen-E. On verra à long terme, si la stratégie est bonne, mais pour le moment, les parts de marché du constructeur, sur le vieux continent, se sont effondrées. Ford remet à jour, son tout premier modèle électrique, la controversée Mustang Mach-E. Ce n’est évidemment pas la plus belle des Mustang, mais on a droit à un nouveau choix de jantes pour les modèles d’entrée de gamme. Pour la finition GT, Ford ajoute une calandre plus agressive, et des jantes optionnelles en 19 pouces, noires. Trois teintes supplémentaires sont au programme, avec le rouge magenta, le bleu velocity et le jaune sable. L’agencement intérieur est légèrement modifié, au niveau du sélecteur de boîte, et de certaines commandes. Le système multimédia SYNC4 propose une nouvelle interface, et on peut opter pour un hotspot Wifi 5G pour 10 personnes, via un abonnement. La conduite semi-autonome est améliorée, avec un changement de voie automatisé. Le véhicule peut décider de dépasser de façon autonome, s’il ne détecte aucun danger. Le conducteur peut en théorie, lâcher le volant, sur certaines parties du réseau routier, mais sans quitter la route des yeux. Côté technique, Ford l’équipe enfin d’une pompe à chaleur, permettant des économies d’énergie, et une meilleure autonomie. On rappelle que cette Ford Mustang Mach-E dispose de motorisations, allant de 258 à 487ch, et de deux types de batterie (75.7 et 98.7kWh brut).







19 Avril 2025 : Mercedes propose une série spéciale de son Classe G. Ce dernier sera produit à 460 exemplaires, rappelant le code produit W460, de la première génération. Justement, cette série limitée joue la carte de la nostalgie, avec un look issu des années 80. Le constructeur allemand a tenu à atténuer le côté « bling bling » de la seconde génération, et reprend les anciens codes stylistiques, avec un vrai look d’aventurier. Bien sûr, ce véhicule repose sur la plate-forme actuelle, qui dispose comme à l’époque, d’un châssis séparé. On a donc affaire à un Classe G moderne, mais avec un design rétro. On compte des boucliers, une calandre, des bas de caisse, des passages de roue, des baguettes et poignées de portes, tous en plastique noir. On remarque les clignotants orange sur le capot avant, les jantes en 18 pouces 5 branches, avec des pneus tout-terrain, et le choix entre trois anciennes teintes (Vert agave, Blanc cassé, ou beige colorado). On peut accentuer son style baroudeur, en optant pour des grilles de phares, une bonne vieille galerie de toit, et une échelle sur le hayon. Le Mercedes Classe G « Stronger than the 1980s », dispose bien sûr d’une transmission intégrale permanente et paramétrable, et du bloc moteur mild-hybrid 48V du G500. Il s’agit d’un 6 cylindres 3.0L Bi-Turbo, de 449ch et 560nm de couple. L’habitacle est assez sobre, avec une sellerie noire et du tissu avec motifs à carreaux, mais la finition est toujours aussi soignée, et l’équipement, très moderne. Dommage, malgré son style vintage, le tarif est lui, très actuel. Il faudra débourser plus 170 000€ minimum, hors options. S’il arrive sur le marché français, n’oubliez pas de rajouter les 70 000€ de malus écologique.










18 Avril 2025 : Genesis présentera dès ce 18 avril, au Salon de New-York, un concept-car, qui interroge énormément, sur le style futur de la gamme. Luc Donckerwolke, chef designer très expérimenté, a clairement joué, la carte de l’originalité. Le Genesis X Gran Equator Concept, se présente comme un énorme SUV, avec un look de pur 4x4 sous la ceinture de caisse, et une allure de break, en partie haute. Il s’agit normalement d’un véhicule électrique. On se demande alors, que peut bien cacher, cet immense capot avant. La signature lumineuse typique de Genesis, avec les deux faisceaux lumineux horizontaux, se prolonge un peu plus sur les ailes avant. Les jantes de 24 pouces typées baroudeur, et la garde au sol très généreuse, annoncent de belles capacités en tout-chemin, malgré un empattement, qui semble très très long. Là où l’on est immédiatement charmé, c’est quand on découvre les photos de l’habitacle. Les quatre passagers profiteront de toits vitrés personnels. Le luxe règne à bord, avec une panoplie de matériaux, mêlant cuir, métal, et tissu. De nombreuses surpiqûres, recouvrent la sellerie, ou encore, le ciel de pavillon. La teinte bicolore, bleu et crème, parfait l’atmosphère. Genesis veut absolument réduire la taille de ses écrans. On retrouve donc, sept unités rondes, totalement numériques. Trois pour le conducteur, et quatre sur le haut de la planche de bord, qui affichent essentiellement, des données de conduite. C’est beau, c’est classe, avec un petit côté vintage, en prime.








16 Avril 2025 : Comme on pouvait s’y attendre, la révolutionnaire Dodge Charger Daytona EV, fait un flop aux Etats-Unis. Si une motorisation électrique, convient parfaitement à une citadine, une berline, un SUV, et même, à une ultra-sportive, elle est parfaitement inadaptée à une Muscle-Car. Dans ce type de véhicule, c’est le look bestial et le bruit, qui caractérisent l’engin. La version électrique, développe entre 496 et 670ch. La batterie de 100.5kWh, promet une autonomie comprise entre 420 et 510km. Malgré un poids frôlant les 2.5 tonnes, les performances sont ahurissantes, avec un 0 à 100km/h avalé en 3.3s, pour la version la plus puissante. Et pourtant, la mayonnaise n’a pas pris, et les clients ont préféré se tourner vers les anciennes générations de Charger et Challenger, propulsées par un bon gros V8. La nouvelle génération de Charger, est également disponible en thermique, avec un V6 3.0 Bi-Turbo, développant entre 420 et 550ch, mais l’accueil est assez mitigé en Amérique du Nord. Du coup, la marque souhaite modifier son châssis STLA Large, afin qu’il puisse accueillir l’antique bloc V8 Hemi de 5.7L ou 6.4L.




15 Avril 2025 : La Toyota GR Yaris est une espèce en voie de disparition, particulièrement en France. Il s’est écoulé 300 exemplaires dans le pays, en 2024. Pour 2025, on aura droit uniquement à 50 exemplaires. En cause, le malus écologique de 70 000€, qui fait monter la note à 120 000€TTC. C’est évidemment horriblement cher pour une citadine ultra-sportive de ce genre. Elle se destine à de sacrés passionnés. Ce petit monstre connaît pourtant son lot de modifications. Le trois cylindres 1.6L Turbo crache toujours 280ch, et est accouplé à une boîte manuelle à 6 rapports, ou une unité automatique à convertisseur de couple, à 8 rapports. Le client pourra opter pour un frein à main vertical, sur la console centrale, permettant quelques dérives, pour les plus excités. La direction assistée et les réglages de suspension, ont été revus. Toyota utilise également de nouveaux boulons, pour les bras de suspension, les rotules inférieures, les amortisseurs arrière, et la carrosserie. Cela apporte un surplus de rigidité, évite toute forme de desserrages lors d’une utilisation intensive du véhicule, et promet un meilleur feeling à la conduite. On remarque également quelques évolutions au niveau de la carrosserie, comme ces extracteurs sur les ailes avant et le pare-chocs arrière. Le gros aileron positionné sur le hayon, est à présent réglable.













14 Avril 2025 : Ce n’est pas parce que vous achetez un utilitaire, que le voyage doit être désagréable. Opel nous présente une série spéciale, de son Vivaro. Ce fourgon est disponible également, en version cabine approfondie. L’Opel Vivaro Sportive profite d’un look soigné, et de quelques attentions à bord. On remarque les stickers jaune et noir, sur le capot avant, les portières et les bas de caisse, les poignées de portes couleur carrosserie, et les jantes diamantées de 17 pouces. Le surcoût de 4000€, par rapport à un Vivaro classique, s’explique facilement, quand on analyse la liste des équipements. Eclairage full Led, rétroviseurs chauffants et rabattables électriquement, instrumentation numérique et écran central tactile de 10 pouces, navigation, rétroviseur intérieur numérique, accès et démarrage sans clé, climatisation bi-zone, chargeur par induction, volant et sièges avant chauffants, cet utilitaire ou véhicule de loisir, ne manque de rien. Sous le capot, vous pourrez opter pour le modèle électrique de 136ch, associé à la batterie de 75kWh (352km d’autonomie). Les gros rouleurs et les vacanciers, choisiront certainement, le bloc diesel 2.0HDi de 180ch, associé à la boîte automatique EAT8. Il faudra débourser entre 39 600 et 42 600€ (cabine approfondie) pour la version diesel, et entre 48 900 et 51 900€, pour la version 100% électrique.



12 Avril 2025 : Après la berline électrique 6e, Mazda s’apprête à présenter son SUV compact EZ-60, lui aussi, électrique. Quand le Japon et la Chine s’allient, ça peut donner des produits intéressants. Le constructeur nippon n’est pas un spécialiste des véhicules électriques, et ne proposait en 2024, dans sa gamme, qu’un seul modèle. Il s’agissait du petit SUV MX-30, très peu diffusé, à cause d’une autonomie bien trop limitée. Un petit prolongateur d’autonomie thermique, n’a pas permis de relancer les ventes. Mazda a donc signé un partenariat avec Changan, un poids lourd de l’industrie automobile chinoise. On a donc pu découvrir la Mazda 6e, au début de l’année. L’EZ-60, devrait être présentée officiellement, lors du Salon de l’automobile de Shangai, à la fin de ce mois d’avril. On a déjà droit à quelques clichés, qui nous permettent d’analyser le design de ce futur SUV. Elle reprend les lignes du concept Arata de 2024. Comme d’habitude chez Mazda, c’est pratiquement un sans-faute au niveau du style. Une signature lumineuse traversante qui épouse la calandre, un capot et un bouclier sculptés, des rétroviseurs caméras, des poignées de porte affleurantes, et une lunette arrière inclinée, ce Mazda EZ-60 devrait afficher un coefficient de pénétration dans l’air, et de traînée, assez avantageux. On retrouve des éléments de carrosserie, noirs laqués, au niveau des bas de caisse et des passages de roue. Ces derniers accueillent des jantes de 21 pouces. Il faudra encore patienter pour connaître la fiche technique, même si on peut supposer, qu’elle reprenne la mécanique de la 6e (Moteur électrique de 244 ou 252ch, et autonomie de 552km).









11 Avril 2025 : Les constructeurs chinois sont confrontés à certaines taxes aujourd’hui en Europe. Cela dépend des subventions accordées par le gouvernement chinois, à ses acteurs automobiles. On rappelle que les subventions gouvernementales, sont interdites, pour les pays faisant partie de l’OMC (Organisation mondiale du commerce). Résultat, tous les véhicules électriques fabriqués en Chine, se voient imposer une taxe douanière comprise entre 7.8% et 35.3%, en plus des 10%, déjà en vigueur. En France, pas de taxes douanières supplémentaires, évidemment, mais une inéligibilité au bonus écologique, pour ce type de véhicule. La filiale européenne de Leapmotor, a tenté de contourner le problème, en assemblant sa petite citadine électrique T03, en Pologne. On rappelle que Leapmotor Europe, est détenu à 51%, par le groupe Stellantis. Ca marche très bien concernant les taxes douanières, mais la France a décidé de durcir les règles, concernant le bonus écologique. La France a travaillé sur le score environnemental de la T03, en se basant sur le lieu de fabrication, et non pas sur le lieu d’assemblage. Résultat, exporter un véhicule en pièces détachées depuis la Chine, n’est plus du tout, une bonne idée. Avec l’absence de bonus écologique, la Leapmotor T03, n’est plus véritablement compétitive sur notre marché, face à une concurrence qui s’organise, petit à petit. Le constructeur chinois arrête donc les frais, et produira à nouveau la T03 en Chine. Les coûts de production sont bien moins élevés, mais elle sera taxée à hauteur de 21%, à son arrivée, en Europe. Attention, Leapmotor passera la vitesse supérieure très bientôt, grâce à son SUV compact électrique B10, qui devrait être lui, construit en Espagne, dans une nouvelle usine, basée à Saragosse.



10 Avril 2025 : La Smart #5, est sortie il y a déjà quelques mois. Avec ses 4.69m de long, 1.92m de large, et un empattement de 2.90m, elle n’a plus rien d’une Smart. Le constructeur Sino-Allemand, détenu par Geely et Daimler, vise une clientèle familiale, avec ce SUV 100% électrique. La #5 offre cinq belles places à bord, et un coffre gigantesque de 630 litres, secondé par un frunk de 47 litres sous le capot avant. La gamme propose 3 motorisations, avec la 340ch (RWD et 74.4kWh), la 363ch (RWD et 94kWh) et la 583ch (4WD et 94kWh). Brabus, le célèbre préparateur allemand, nous propose une #5, un peu plus épicée. La double motorisation électrique atteint la puissance de 646ch (710nm de couple), et est évidemment associée, à la grosse batterie de 94kWh net. Cela permet une autonomie de 540km. Grâce à sa plate-forme 800V, elle encaisse une charge de 400kW, permettant de passer de 10 à 80% de capacité, en 18mn. Malgré son poids de 2378kg à vide, elle abat le 0 à 100km/h en 3.8s, et la vitesse maxi est bridée à 210km/h. Toujours typé baroudeur, Brabus ajoute quelques éléments de design rouges, sur le bouclier, les bas de caisse, le toit, ou les rétroviseurs. Les jantes de 21 pouces sont spécifiques. Dans l’habitacle, comme à l’extérieur, on retrouve encore des logos Brabus, et de nombreuses surpiqûres rouges. Petite instrumentation pour le conducteur, un écran central de 13 pouces, et un écran supplémentaire de même taille pour le passager, cette Smart #5 Brabus est à la pointe de la technologie. Conduite assistée, stationnement semi-autonome, assistant vocal, avatar pour vous aider à maitriser les différentes fonctionnalités, toit panoramique, Brabus ajoute un système audio Sennheiser 20HP. Construite en Chine, elle ne bénéficie pas du bonus écologique. Le constructeur a donc été agressif au niveau des tarifs, avec un véhicule disponible en Europe, à partir de 46 600€.








09 Avril 2025 : Quand un grand groupe automobile, s’allie à deux géants de la Tech, ça peut faire mal. La SAIC, Alibaba, et Zhangjiang Hi-Tech, proposent depuis 2023 en Chine, l’IM LS6, un SUV familial électrique à la fois, performant et technologique. Ce dernier sera également commercialisé à l’international, et c’est la Thaïlande, la première cible. Pour l’occasion, elle change de patronyme, et s’appelle, MG IM6. La fiche technique laisse rêveur. Le design n’est pas forcément très expressif, mais la marque annonce un coefficient de traînée de 0.237. Ce véhicule de 4.90m de long et 1.99m de large, dispose d’un empattement de 2.95m. Ca annonce une habitabilité plutôt exceptionnelle. Pour parfaire la maniabilité, le MG IM6 propose les quatre roues directrices. Les trois versions à propulsion arrière, seront disponibles avec des motorisations de 294ch (Batterie de 75kWh et 550km d’autonomie), de 337ch (83kWh et 640km) et de 408ch (100kWh et 740km). Une version haut de gamme, à double motorisation (4WD), propose 787ch, et des performances de supercar, avec un 0 à 100km /h effacé en 3.48s, et une vitesse de pointe de 252km/h. Dans l’habitacle, c’est digne de la guerre des étoiles, avec un microprocesseur NVIDIA DRIVE Orin pour une intelligence artificielle de pointe, un écran HD intelligent (Qualcomm), et une conduite assistée (avec Lidar) en ville et sur autoroute, comprenant un stationnement autonome selon 300 scénarios.








08 Avril 2025 : Genesis, filiale premium du groupe Hyundai, commence à disposer d’une gamme très intéressante, avec ses modèles G, typés berline, et GV, typés SUV. Pour le moment, c’est la Genesis G90 qui fait office de porte-étendard. Le constructeur travaille depuis quelques années, sur un futur coupé prestigieux, et un cabriolet, tout aussi luxueux. Au Salon de Seoul, on peut apercevoir ces deux concepts, qui semblent prêts à être commercialisés. Il s'agit des Genesis X Coupé et Cabriolet. Le châssis et la mécanique, nous viennent de la G90. La caisse semble avoir été rabaissée, la calandre est plus fine, mais les codes stylistiques restent les mêmes, avec notamment, cette double signature lumineuse horizontale. Le pare-brise incliné, la garde au toit rabaissée, l’absence de montant central, les voies élargies et les jantes spécifiques, donnent de la sportivité et une grande élégance, à ces deux concepts. La planche de bord rappelle la berline G90. Genesis propose néanmoins, du bois et une teinte Olive pour le coupé, alors que le cabriolet, opte pour une teinte extérieure rappelant le raisin pressé, et un intérieur bleu profond, type Cabernet Sauvignon d'Italie. Sous le capot, Genesis propose le classique V6 3.5L Bi-Turbo de 415ch, associé à une boîte automatique à 8 rapports.








07 Avril 2025 : Il y a quelques mois, Skoda nous présentait l’Elroq, son premier SUV compact 100% électrique. Il venait épauler le Karoq, uniquement disponible en version thermique. Le constructeur tchèque, annonçait trois versions propulsions, de 170, 204 ou 285ch. Skoda a décidé de pimenter un peu plus la gamme, avec une version 4 roues motrices RS, de 340ch. L’Elroq dispose des nouveaux codes stylistiques de la marque, avec une calandre affinée par rapport au reste de la gamme, et des feux à double étage. Cette version RS ajoute son lot d’artifices, avec des boucliers plus agressifs, des éléments de carrosserie en noir glossy, et de superbes jantes en 21 pouces. Le client pourra opter pour cette nouvelle teinte de carrosserie, vert Mamba. La présentation intérieure est tout aussi soignée, avec de la suédine sur les sièges et la planche de bord, des touches d’aluminium, et des inserts type carbone. La petite instrumentation de 5 pouces, le grand écran central tactile de 13 pouces, les sièges électriques et massants, ou le système audio à 12 haut-parleurs, le client sera gâté, surtout s’il opte pour le pack Maxx. Le Skoda Elroq RS, avec ses 4.49m de long, propose un coffre de 470 litres. Au niveau mécanique, on retrouve donc la double motorisation électrique de 340ch, déjà disponible sur son grand frère, l’Enyaq RS. Dotée d’une batterie de 84kWh (79kWh net), il peut parcourir 550km, selon le cycle WLTP. La batterie encaisse une charge de 185kW, permettant de passer de 10 à 80% de capacité, en 26mn. Avec un 0 à 100km/h effectué en 5.4s, Skoda a modifié le châssis, avec des suspensions abaissées de 15mm à l’avant et de 10mm à l’arrière, la dote d’un amortissement piloté DCC, et d’un système de freinage renforcé.






06 Avril 2025 : Après le lifting du Renault Espace, on pouvait s’attendre au même résultat pour l’Austral millésime 2025. On retrouve donc cette face avant plus anguleuse, au niveau du bouclier notamment. La nouvelle calandre arbore une multitude de losange, le bloc phare principal s’est affiné, et les feux de jours en demi-losange, font leur apparition. Même topo à l’arrière, avec de nouveaux feux type glaçons, et un hayon redessiné. Au niveau des bas de caisse, on note la présence d’une petite lame, censée protéger les ailes arrière, de certaines projections. A bord, Renault a travaillé sur de nouvelles teintes et matériaux, les sièges ont été redessinés, et comme dans l’Espace, une petite caméra, placée au niveau du montant du pare-brise, dispose d’une reconnaissance faciale. Cela permet d’adopter les réglages adéquates, en fonction du conducteur. Modifications au niveau de l’amortissement, les joints de portes, les supports moteurs, et le vitrage feuilleté, Renault a apparemment amélioré le confort de son SUV compact. Pour finir, il faut savoir que ce Renault Austral, ne proposera qu’une seule motorisation. On note donc la disparition des blocs micro-hybrides de 130 et 160ch. C’est le bloc full Hybrid de 200ch, qui reste au catalogue, puisqu’il représente près de 95% des ventes.









05 Avril 2025 : Le « Seoul Mobility Show 2025 » a ouvert ses portes ce week-end. Hyundai profite de l’occasion pour présenter le nouveau visage de son Ioniq 6. La berline dynamique, sortie en 2022, connaît donc son premier lifting, avec un style qui s’affirme un peu plus. La face avant est totalement redessinée, avec une signature lumineuse très fine à la base du capot, et un bloc phare principal discret, qui intègre le bouclier. Justement, ce bouclier est entièrement remanié dans son dessin, aussi bien à l’avant, qu’à l’arrière. Vous pouvez opter pour la finition N-Line, qui se pare d’éléments, encore plus agressifs. Les bas de caisse sont plus larges, et le pare-choc arrière, est de couleur sombre. On note également le becquet en forme de queue de canard. Dans l’habitacle, la planche de bord, déjà très moderne, n’évolue pas, mais Hyundai a décidé d’améliorer l’ergonomie, en ajoutant quelques boutons physiques, sur la console centrale. Cela concerne les sièges et le volant chauffant, les commandes vitres, et les aides au stationnement. Hyundai n’annonce pas d’évolutions techniques, avec un véhicule qui repose toujours sur une plate-forme 800V, disposant d’une batterie de 77kWh, et d’une puissance de 229ch pour la version propulsion, et de 325ch pour la 4 roues motrices. Néanmoins, si vous analysez les photos, vous remarquerez le premier cliché de la future version N. On attend une puissance approchant les 650ch, et un panel d’éléments aérodynamiques, supplémentaire.









04 Avril 2025 : Hyundai présentait il y a quelques mois, un drôle de prototype à châssis tubulaire, doté de la mécanique du Ioniq 5N, dénommé RN24. L’idée semble faire son chemin dans la tête des ingénieurs coréens, sans doute inspirés par Renault, et sa monstrueuse R5 Turbo 3E. Hyundai dévoile donc ce deuxième prototype, qui se présente sous la forme, d’un Inster bodybuildé. D’ailleurs, son patronyme est évocateur. Il s’agit du Hyundai Insteroid, un concept-car, qui rappelle le monde du rallye des années 80, avec les fameuses groupe B. L’Insteroid sera bien évidemment électrique, et on suppose qu’il s’agit encore du bloc du Ioniq 5N, qui crache 650ch. Ailes élargies à l’extrême, pneus surdimensionnés, prise d’air sur le toit, énorme aileron sur le hayon, et diffuseur tout aussi impressionnant, le look est très suggestif. L’habitacle est totalement dépouillé, à l’image d’un véhicule de rallye, et on note la présence d’une instrumentation minimum, et d’une étrange figurine rappelant le jeu Pac-Man, juste au-dessus de la colonne de direction. Connaissant l’audace du constructeur coréen, il n’est pas impossible de retrouver sur la route, dans un ou deux ans, un véhicule de série assez dingue. Un étrange système audio dans le coffre, a pour mission, de fournir le son d'un moteur thermique.






03 avril 2025 : Les crises politiques et économiques, commencent fortement à se faire sentir, sur le marché automobile français. Depuis le début de l’année, tous les grands groupes sont à la peine, avec des immatriculations en baisse de 7.83%. Attention, Renault et Volkswagen, réussissent néanmoins, à faire mieux qu’au premier trimestre 2024. Mais on va surtout s’intéresser au mois de mars, qui n’a épargné personne. Renault s’en sort avec les honneurs, avec une baisse de -0.66% pour la marque au losange, et une baisse de -0.99% pour le groupe, si on ajoute Alpine (+111.34%) et Dacia (-3.70%). Volkswagen réduit les dégâts, avec une baisse des ventes de -3.53% pour la marque, et de -4.83% pour le groupe. Suzuki connaît une baisse de -8.52%, et Nissan, de -10.67%. Pour les autres, c’est la dégringolade, avec le groupe Stellantis qui voit ses ventes diminuer de -17.06%. Peugeot est à -6.67%, mais c’est surtout Fiat (-54.57%), Opel (-35.28%) et Citroën (-20.13%), qui font plonger le groupe. Toyota n’est pas au mieux, avec une baisse de -15.89%. Le groupe Hyundai/Kia est également dans le dur, avec -28.14%. Ford, la marque généraliste par excellence, perd encore du terrain chez nous, avec -31.20%. BMW, Mini et Rolls-Royce, font un plongeon de -33.02%, et c’est encore pire pour le groupe Daimler (Mercedes et Smart), avec -48.41%. Le groupe Geely, comptant principalement la marque Volvo, est à -59.62%. Le groupe Tata (Jaguar et Land-Rover) devient à peu près inexistant en France, avec une baisse de -97.11%. Pour Tesla, la baisse des ventes était prévisible, avec -36.83% pour le mois de mars. Bref, avec les incertitudes politiques et financières, les Français ont repris leur bonne habitude, épargner en attendant des jours plus heureux.
La Renault Clio est toujours en tête des ventes en France

02 Avril 2025 : Les américains font souvent les choses en grand, et parfois même, avec excès. Il y a quelques mois, Cadillac présentait son monstrueux SUV électrique, IQ. La marque en remet une couche, avec une version IQL, carrément hors norme. Le véhicule prend 10cm en longueur, et mesure à présent 5.80m. La lunette arrière est plus verticale, afin d’améliorer l’habitabilité au dernier rang. Le véhicule est toujours aussi haut avec ses1.93m, et large, avec ses 2.17m. L’habitabilité est ultra généreuse pour les 7 passagers, et c’est indiscutable. Les passagers pourront profiter d’une multitude d’écrans, totalisant 55 pouces. Le système audio AKG à 42 haut-parleurs avec fonction Dolby Atmos, améliore l’expérience. Les deux moteurs électriques développent une puissance cumulée de 761ch pour un couple de 1064nm. Le Cadillac IQL dispose de la plus grosse batterie, sur le marché automobile, avec une capacité de 205kWh. Avec le luxe qui vous entoure, et une batterie de ce type, le véhicule frise tout simplement les 4 tonnes. Le problème, c’est qu’un tel poids, demande énormément d’énergie, quand on sollicite ce véhicule (0 à 100km/h en 5.0s). Le véhicule peut parcourir 720km maximum sans escale, mais on s’attendait à mieux sur ce point. Pour les véhicules électriques, le but est de trouver le bon compromis, entre grosse batterie (donc poids titanesque) et consommation d’énergie. Pour recharger cet engin, il faudra attendre 30 heures sur une prise de 7kW, 13 heures sur une prise de 19kW, et 50mn, de 10 à 80%, sur une charge rapide 350kW. N’oublions pas que cet IQL, pourra alimenter votre maison en énergie. La capacité de chargement de 686 litres, en configuration 7 places, et les 3546 litres, quand vous rabattez toutes les banquettes, vous rendront pas mal de services. On peut aussi compter sur le frunk de 345 litres, sous le capot avant. Si vous ne trouvez pas encore ce monstre, assez lourd, vous pourrez tracter 3.4 tonnes supplémentaires.








01 Avril 2025 : L’autonomie, c’est le premier argument de vente, concernant les véhicules électriques, et ce critère est capital, surtout pour les citadines, souvent limités sur ce point. La Renault R5 Electric 150ch, annonce une autonomie de 410km, avec sa grosse batterie de 52kWh. C’était aussi le cas de la Peugeot e-208 et de l’Opel Corsa-e, ses premières concurrentes sur notre marché. Stellantis veut prendre l’avantage, et modifie donc, ses deux modèles. Pour la Peugeot e-208 156ch, l’ancienne batterie de 51kWh brut disparaît, remplacée par l’unité de 54kWh, brut déjà disponible sur la e-308 ou le e-2008. L’autonomie est de 433km, un score très confortable pour ce type de véhicule. L’Opel Corsa-e 156ch, propose étrangement, une autre solution. Elle garde sa batterie de 51kWh brut, mais le constructeur a modifié la chimie de cette dernière, permettant une baisse des consommations. L’autonomie atteint les 429km.




31 Mars 2025 : Vous pensez peut-être que la Chine n’est pas encore prête à investir la catégorie des voitures de luxe. Ce n’est évidemment pas le cas. Ce Denza N9 en est la démonstration parfaite. Et cette marque, c’est du solide, puisque la maison mère, s’appelle BYD, le groupe qui n’arrête pas de monter. La filiale premium Denza, dévoile donc son SUV premium, qui n’aura aucun mal à venir titiller des modèles aussi prestigieux que le Range-Rover Classic, ou un véhicule plus exotique, comme le Lincoln Navigator. Ce monstre de 5.26m de long, et 2.03m de large, peut engloutir 7 passagers, dans un confort royal, surtout avec son empattement de 3.20m. Cet engin fait appel à une motorisation hybride rechargeable, qui se compose, d’un 4 cylindres 2.0L Turbo, et de trois moteurs électriques, alimentés par une batterie de 47kWh (165km en mode zéro émission). La puissance cumulée atteint les 920ch, permettant à ce mammouth, un 0 à 100km/h en 3.9s. Une version 100% électrique, est également au programme, avec une puissance qui devrait atteindre les 965ch. Enfin, côté sécurité active, c’est sans doute un des véhicules les plus assistés au monde. On compte autour de cette carrosserie, 14 caméras, 5 radars à ondes millimétriques et un Lidar, pour ce système DiPilot300, aussi appelé « Eye of God ».






29 Mars 2025 : MG s’apprête à dégainer son tout nouveau SUV compact électrique. Nous venons tout juste d’essayer le nouveau MG ZS, qui sera maintenant disponible, uniquement en version full Hybride. Il fallait donc un modèle, qui puisse pallier l’absence du ZS EV 100% électrique. On vous présente donc ce MGS5 EV, qui débarquera en Europe dès le deuxième trimestre de cette année. Il reprend la plate-forme MSP, de la berline compacte, MG 4. On a donc affaire à une architecture propulsion, qui devrait lui donner un certain dynamisme à la conduite. Deux motorisations électriques sont au programme. Pour commencer, on peut choisir la version de 170ch et 250nm de couple, associée à une batterie de 47.1kWh net (Autonomie de 340km et puissance de charge de 120kW en courant continu). On peut monter en gamme, et opter pour un bloc de 231ch et 350nm de couple, avec batterie de 62.1kWh net (Autonomie de 480km et puissance de charge de 139kW). Avec ses 4.48m de long, le MGS5 EV propose un espace habitable très confortable à l’arrière, grâce à son châssis dédié au véhicule électrique, et son empattement de 2.73m. La capacité de chargement n’est pas extraordinaire avec ses 453 litres, mais c’est dû à la présence du moteur, sur l’essieu arrière. La planche de bord s’équipe d’un grand écran tactile de 12.3 pouces, et d’une instrumentation numérique de 10 pouces, qui semble bien lisible et intégrée. Côté look, le MGS5 EV a un petit air de famille avec son grand frère, le Marvel. Bien sûr, côté équipements, MG met le paquet, comme à son habitude, avec une conduite semi-autonome, toutes les fonctionnalités téléphone, un GPS connecté ou une surveillance des angles-morts. Ce SUV compact électrique ne souhaite pas révolutionner la catégorie, sauf peut-être, côté tarif. Pour le savoir, il faudra encore attendre quelques jours.













28 Mars 2025 : Nous vous l’annoncions il y a quelques mois déjà, les nouvelle Audi A5 et A5 Avant, remplacent dans la gamme, l’Audi A4, l’Audi A4 Avant, et l’Audi A5 Sportback. Portant un chiffre impair, ce modèle disposera de motorisations thermiques essence ou diesel, micro-hybrides, avec le 2.0TFSi et 2.0TDi de 204ch, et un V6 3.0TFSi de 367ch. Néanmoins, la marque aux anneaux prévoyait, de proposer deux versions hybrides rechargeables, dont on peut découvrir à présent, les nouvelles caractéristiques techniques. L’Audi A5 e-Hybrid, dispose donc, d’un bloc essence 4 cylindres 2.0L Turbo de 252ch, et d’un moteur électrique de 143ch. Audi propose deux niveaux de puissance, soit 299ch (450nm de couple) ou 367ch (500nm de couple). Le moteur électrique intègre la boîte de vitesse S-Tronic. Il est alimenté par une énorme batterie de 25.9kWh brut (20.7kWh net). Cela permet une autonomie très confortable de 109km en mode zéro émission selon le cycle WLTP, à une vitesse maximum de 140km/h. Cette batterie, de type Cell-to-pack, encaisse une charge de 11kW en courant alternatif. Pas de charge rapide en courant continu, selon les premières données. Elle prend également un peu de place dans cette Audi A5. On rappelle que la plate-forme PPC, propose la transmission intégrale, mais avec cette batterie en plus, le coffre se veut assez petit. Par rapport à une version micro-hybride, la capacité de chargement de ces versions PHEV, passent de 445 à 331 litres pour la berline, et de 476 à 361 litres, pour le break. En Europe, elle sera disponible à partir de 62 150€ pour la version de 299ch. Pour disposer des 367ch, il faudra ajouter environ 12 000€.








27 Mars 2025 : Si vous avez les moyens de vous payer un des coupés les plus chers et les plus puissants du monde, alors pourquoi pas amplifier le plaisir, et opter pour une version découvrable ? Chez Aston-Martin, on peut donc choisir la fabuleuse Vanquish et son fabuleux V12, mais également ajouter la prestigieuse appellation « Volante », qui désigne certains cabriolets de la gamme, depuis 60 ans. L’Aston-Martin Vanquish Volante se dévoile donc, et on peut dire qu’elle a une sacrée gueule. On vous avait déjà parlé de ce style lors de la sortie du coupé. La face avant monstrueuse, les nombreux galbes de profil, et cette poupe inédite, avec nouvelle signature lumineuse, elle attire immédiatement les regards. La version « Volante » ajoute encore une dose de charme, surtout quand vous rangez le toit en toile dans le coffre. L’opération prend seulement 16 secondes, tout en roulant à 50km/h maxi. Vous pourrez alors pleinement profiter du V12 5.2L Bi-Turbo de 835ch et 1000nm de couple, qui envoie toute sa puissance au train arrière, grâce à la boîte automatique ZF à 8 rapports. Le surpoids de cette version cabriolet, est de 95kg. Malgré les 1880kg de l’engin, le 0 à 100km/h est effacé en 3.4s, et la bête croise à 345km/h. Afin de maîtriser au mieux l’engin, on dispose d’un différentiel à blocage électronique, de suspensions pilotées Bilstein DTX, et de disques de frein en carbone céramique, avec étriers 6 pistons, à l’avant. Le niveau de luxe à bord, est une évidence pour une Aston-Martin, où le cuir et l’alcantara, règnent en maître. Le système audio Bowers&Wilkins 15HP est de série. Mais certains clients ajouteront sûrement l’option échappement en titane, afin de jouir d’un autre type de musique. On peut également faire appel au département spécial Q, qui vous permet de personnaliser votre véhicule, à l’envie.









26 Mars 2025 : Nissan doit absolument remonter la pente en Europe. C’est sans doute, son ancien partenaire Renault, qui va sauver les meubles. Le but, est de développer, au plus vite, une gamme cohérente de véhicules électriques. Trois projets sont en étude, à commencer par le Nissan Juke EV, dont on ne connaît pas encore la plate-forme, les données techniques ou le style. Concernant le deuxième modèle, c’est la Micra de nouvelle génération. La petite citadine empruntera les dessous techniques de sa cousine, Renault 5 Electric. On s’attend évidemment à un design spécifique, mais on aura toujours droit à la même gamme de motorisation avec des puissances de 95, 120 ou 150ch, associée à une batterie de 40 ou 52kWh. Mais c’est surtout le renouvellement de la Leaf, qui pourrait relancer la marque. On se rappelle, qu’au début des années 2010, c’était elle, la voiture électrique, la plus vendue dans le monde. Elle ne connaîtra plus jamais ce type de gloire, mais Nissan annonce une Leaf de troisième génération, disposant de belles aptitudes. Elle devrait reprendre la plate-forme CMF-EV du Nissan Ariya et futur Alpine A390. Le constructeur annonce déjà un coefficient de pénétration dans l’air de 0.25, une longueur de 4.35m (15cm de moins qu’aujourd’hui), et une autonomie de 600km au maximum, selon le cycle WLTP. On peut déjà admirer la face avant, avec ce style classique mais moderne, qui conviendra au plus grand nombre. Cette Nissan Leaf III sera commercialisée sur toute la planète, à l’exception de la Chine. Le but, est d’amortir évidemment, les frais de développement, en faisant un maximum de volume. Si la future Micra Electric doit être fabriquée dans l’usine Renault de Douai, en France, la nouvelle Leaf, elle, prendra ses quartiers en Angleterre, dans l’usine de Sunderland.



25 Mars 2025 : Le groupe Stellantis peut se féliciter, de son partenariat avec le constructeur chinois, Leapmotor. L’industrie automobile européenne, a bien dix ans de retard, dans la conception de véhicules électriques. Conception de plates-formes, fabrication de batteries, logiciel dédié, usine moderne et adaptée, la Chine est sur une autre planète. Pour rester dans la course, le partenariat et les partages de technologies, deviennent obligatoires. Stellantis a donc mis son orgueil occidental de côté, en signant, il y a déjà un moment, la responsabilité de la commercialisation des véhicules Leapmotor, sur le vieux continent. Afin de contourner les taxes douanières, appliquées aux véhicules électriques provenant de Chine, Leapmotor et Stellantis s’apprêtent à investir près de 200 millions d’euros en Europe, en construisant une usine. Après des discussions avec l’Allemagne ou la Slovaquie, c’est certainement l’Espagne qui rapportera la mise. Stellantis vise la région de Saragosse pour implanter cette nouvelle usine. Subventions intéressantes concernant les énergies propres, et coûts salariaux acceptables, reste à savoir, quel modèle de la gamme, y sera fabriqué. On rappelle que Leapmotor propose déjà sa petite citadine T03 et son SUV familial C10, sur notre marché. Le C10 pourrait disposer à moyen terme, d’une motorisation hybride rechargeable, moins taxée à la douane. Enfin, le constructeur mise également beaucoup, sur son tout nouveau SUV compact, le B10.






24 Mars 2025 : Sur le marché chinois, le MG 4 évolue grandement. Cette nouvelle mouture n’est pas destinée à l’Europe, les attentes clients, n’étant pas les mêmes sur les deux continents. Cette nouvelle MG 4 se dote d’une nouvelle plate-forme, avec une nouvelle architecture, plaçant le moteur, à l’avant. On a donc affaire à une traction. Le véhicule est bien plus grand avec 4.40m de long (+11cm), plus large de 6cm, et plus haut de 5cm, et son empattement est de 2.75m (+4cm). Le MG 4 chinois sera donc, bien plus vaste et confortable, mais le style perd en originalité. Plus de rondeurs, des arêtes de carrosserie moins tranchantes, des feux avant et arrière bien plus classiques dans leur dessin, et des boucliers moins agressifs, le véhicule paraît beaucoup plus sage. Le constructeur ne dévoile pas totalement la fiche technique, mais on parle d’un moteur électrique de 163ch et d’une batterie LFP de la société chinoise, Rept Battero Energy. Malgré des dimensions en forte hausse, MG semble avoir travaillé sur le poids de sa nouvelle compacte familiale. Par rapport à la version Européenne, cette nouvelle mouture a perdu environ 130kg sur la balance, avec ses 1485kg.






21 Mars 2025 : Deux ans seulement après son lancement, le Renault Espace VI profite déjà d’un gros lifting. En gros, il ressemble de mois en moins à un Austral, et se rapproche du modèle le plus haut de gamme du losange, le Rafale. Les changements sont donc nombreux, avec un capot moins bombé, un bouclier avant totalement remanié, des feux Led adaptatifs plus fins, et une signature lumineuse en demi-losange, comme sur les dernières créations de la marque. La calandre est également entièrement nouvelle, mais le maillage n’est pas aussi stylé que sur le Rafale. De profil, certains éléments comme les bas de caisse sont modifiés, mais ça reste très discret. La poupe est revue de fond en comble, avec un tout nouveau hayon, et des feux d’un nouveau genre, type « Ice Cube ». Le Renault Espace était déjà un véhicule ultra-moderne, avec son système multimédia OpenR Link développé avec Google. Côté confort, Renault la dote de sièges avant plus enveloppants, l’insonorisation est améliorée grâce de nouveaux joints de portières et un vitrage feuilleté, et le toit panoramique opacifiant Solar Bay équipe à présent l’Espace. L’Espace se pare également, d’une petite caméra dans le montant gauche du pare-brise. Cette dernière reconnaît le conducteur, effectue les réglages nécessaires à son bien-être (Position de conduite, radio, applications Google préférées), et surveille son état de fatigue. Sous le capot, la marque au losange mise toujours sur son bloc full hybride 1.2 Turbo, qui développe 200ch, associé à une batterie de 2kWh et une boîte multimode à crabots. Sur la finition Esprit Alpine et Iconic, ce Renault Espace VI millésime 2025, profite du système 4 Control Advanced (4 roues directrices).










